Bonsoir, pouvez vous svppp m'aider en français svppp erci beaucoup. Le Médecin malgré lui, Molière SCÈNE III

Texte :

MARTINE, seule.— Va, quelque mine que je fasse, je n'oublie pas mon ressentiment: et je brûle en moi-même, de trouver les moyens de te punir des coups que tu me donnes. Je sais bien qu'une femme a toujours dans les mains de quoi se venger d'un mari: mais c'est une punition trop délicate pour mon pendard. Je veux une vengeance qui se fasse un peu mieux sentir: et ce n'est pas contentement, pour l'injure que j'ai reçue.

Explication :

La scène III se résume au petit monologue de Martine. Elle est seule sur scène. On a un changement de scène à chaque entrée et sortie d’un personnage. Sganarelle vient de partir après que le voisin a voulu défendre Martine des coups de bâtons de son mari. Un monologue, c’est quand un personnage parle seul sur scène. Mono = un seul, logue < logos (en grec) qui veut dire « parole », « discours ». La mise en scène est l’art de représenter la pièce de théâtre par différents moyens: les tons, les gestes, les accessoires, les costumes, les décors participent des choix du metteur en scène. (C’est un peu comme le réalisateur pour le cinéma.)

Questions :

1. Quelle est la fonction du monologue ? / A quoi sert-il ?
2. A qui parle Martine ?
3. Que décide Martine ? Soulignez les mots qui permettent de comprendre son projet. (4 mots)
4. Trouvez les mots qui montrent que Martine est encore en colère.
5. Imaginez la posture, les gestes, le ton, le regard de Martine. Comment auriez-vous représenté cette mini-scène ? Réfléchissez à la mise en scène. 6. A votre avis, comment Martine va-t-elle se venger ? Imaginez.
Please enter comments
Please enter your name.
Please enter the correct email address.
You must agree before submitting.
More Questions From This User See All
Bonsoir, pouvez vous svp m'aider à faire cette exercice svp. J'ai rien compris svp. Merci d'avance et bonne journée. Question : 1. Quel est le titre de l’histoire ? 2. Qu’est-ce que le titre signifie? 3. Que trouve Poil de carotte sur son chemin et que fait-il avec ? 4. Lignes 6 et 7, cherche des synonymes de « casser ». 5. Qu’est ce qui est cassé ? 6. A quoi compare-t-on la taupe à la ligne 2 ? 7. A quoi est comparé son ventre lignes 12-13 ? 8. Finalement la taupe est-elle morte ou non ? 9. Qu’est-ce qui provoque l’illusion de la vie ? 10. Relève le champ lexical lié à la mort. 11. Pourquoi Poil de carotte a-t-il les larmes aux yeux ? Qu’avez-vous compris de son comportement ? Qu’en pensez-vous ? Pouvez-vous expliquer son geste ? Texte : La taupe Poil de Carotte trouve dans son chemin une taupe, noire comme un ramonat (raifort). Quand il a bien joué avec, il se décide à la tuer. Il la lance en l'air plusieurs fois, adroitement, afin qu'elle puisse retomber sur une pierre. D'abord, tout va bien et rondement. Déjà la taupe s'est brisé les pattes, fendu la tête, cassé le dos, et elle semble n'avoir pas la vie dure. Puis, stupéfait, Poil de Carotte s'aperçoit qu'elle s'arrête de mourir. Il a beau la lancer assez haut pour couvrir une maison, jusqu'au ciel, ça n'avance plus. --Mâtin de mâtin! elle n'est pas morte, dit-il. En effet, sur la pierre tachée de sang, la taupe se pétrit; son ventre plein de graisse tremble comme une gelée, et, par ce tremblement, donne l'illusion de la vie. --Mâtin de mâtin! crie Poil de Carotte qui s'acharne, elle n'est pas encore morte! Il la ramasse, l'injurie et change de méthode. Rouge, les larmes aux yeux, il crache sur la taupe et la jette de toutes ses forces, à bout portant, contre la pierre. Mais le ventre informe bouge toujours. Et plus Poil de Carotte enragé tape, moins la taupe lui parait mourir.
Responda
Bonsoir, pouvez- vous svp m'aider. Je vous en supplie aider moi. SVP Le texte de Musset : « Mon cher George, J'ai quelque chose de bête et de ridicule à vous dire. Je vous l'écris sottement, au lieu de vous l'avoir dit au retour de cette promenade, j'en serai désolé ce soir. Vous allez me rire au nez, me prendre pour un faiseur de phrases dans tous mes rapports avec vous jusqu'ici. Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens : je suis amoureux de vous, je le suis depuis le premier jour où j'ai été chez vous. J'ai cru que je m'en guérirais, en vous voyant tout simplement à titre d'ami. Il y a beaucoup de choses dans votre caractère qui pouvaient m'en guérir. J'ai tâché de me le persuader tant que j'ai pu ; mais je paye trop cher les moments que je passe avec vous. J'aime mieux vous le dire, et j'ai bien fait, parce que je souffrirai bien moins pour m'en guérir à présent, si vous me fermez votre porte. Cette nuit j'avais résolu de vous faire dire que j'étais à la campagne ; mais je ne veux pas vous faire de mystères ni avoir l'air de me brouiller sans sujet. Maintenant George, vous allez dire : « Encore un qui va m'ennuyer », comme vous dîtes. Si je ne suis pas tout à fait le premier venu pour vous, dîtes-moi, comme vous me l'auriez dit hier en me parlant d'un autre, ce qu'il faut que je fasse ; mais, je vous en prie, si vous voulez me dire que vous doutez de ce que je vous écris, ne me répondez plutôt pas du tout. Je sais comme vous pensez de moi, et j'espère rien en vous disant cela. Je ne puis qu'y perdre une amie et les seules heures agréables que j'aie passées depuis un mois. Mais je sais que vous êtes bonne, que vous avez aimé, et je me confie à vous non pas comme à une maîtresse, mais comme un camarade franc et loyal. George, je suis fou de me priver du plaisir de vous voir pendant le peu de temps que vous avez encore à passer à Paris avant votre voyage à la campagne et votre départ pour l'Italie, où nous aurions passé de belles nuits, si j'avais de la force. Mais la vérité est que je souffre et que la force me manque. Alfred de Musset » Questions : 1. Qui écrit la lettre ? 2. A qui ? 3. Quand ? 4. Dans quel but ? /A quoi sert la lettre ? A quelle ligne avez-vous trouvé la réponse ? 5.  Comment voit-on que ce texte est une lettre ? 6. Comment Musset qualifie-t-il son entreprise ? Relève le champ lexical du risible. 7. Pourquoi Musset parle-t-il de sa déclaration de cette manière ? 8. (Lignes 5 et 6) : « Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens » : Quel est le temps des verbes soulignés ? Donnez leur infinitif. 9. (Ligne 14) : « dites-moi, (…) ce qu’il faut que je fasse ». Quel est le mode et le temps du verbe souligné ? 10. A part le sentiment amoureux, comment se sent Alfred de Musset en avouant son amour ? 11. Imaginez la réponse de George Sand. Merci d'avance et bonne journée.
Responda
Bonsoir, pouvez- vous svp m'aider. Je vous en supplie aider moi. SVP Le texte de Musset : « Mon cher George, J'ai quelque chose de bête et de ridicule à vous dire. Je vous l'écris sottement, au lieu de vous l'avoir dit au retour de cette promenade, j'en serai désolé ce soir. Vous allez me rire au nez, me prendre pour un faiseur de phrases dans tous mes rapports avec vous jusqu'ici. Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens : je suis amoureux de vous, je le suis depuis le premier jour où j'ai été chez vous. J'ai cru que je m'en guérirais, en vous voyant tout simplement à titre d'ami. Il y a beaucoup de choses dans votre caractère qui pouvaient m'en guérir. J'ai tâché de me le persuader tant que j'ai pu ; mais je paye trop cher les moments que je passe avec vous. J'aime mieux vous le dire, et j'ai bien fait, parce que je souffrirai bien moins pour m'en guérir à présent, si vous me fermez votre porte. Cette nuit j'avais résolu de vous faire dire que j'étais à la campagne ; mais je ne veux pas vous faire de mystères ni avoir l'air de me brouiller sans sujet. Maintenant George, vous allez dire : « Encore un qui va m'ennuyer », comme vous dîtes. Si je ne suis pas tout à fait le premier venu pour vous, dîtes-moi, comme vous me l'auriez dit hier en me parlant d'un autre, ce qu'il faut que je fasse ; mais, je vous en prie, si vous voulez me dire que vous doutez de ce que je vous écris, ne me répondez plutôt pas du tout. Je sais comme vous pensez de moi, et j'espère rien en vous disant cela. Je ne puis qu'y perdre une amie et les seules heures agréables que j'aie passées depuis un mois. Mais je sais que vous êtes bonne, que vous avez aimé, et je me confie à vous non pas comme à une maîtresse, mais comme un camarade franc et loyal. George, je suis fou de me priver du plaisir de vous voir pendant le peu de temps que vous avez encore à passer à Paris avant votre voyage à la campagne et votre départ pour l'Italie, où nous aurions passé de belles nuits, si j'avais de la force. Mais la vérité est que je souffre et que la force me manque. Alfred de Musset » Questions : 1. Qui écrit la lettre ? 2. A qui ? 3. Quand ? 4. Dans quel but ? /A quoi sert la lettre ? A quelle ligne avez-vous trouvé la réponse ? 5.  Comment voit-on que ce texte est une lettre ? 6. Comment Musset qualifie-t-il son entreprise ? Relève le champ lexical du risible. 7. Pourquoi Musset parle-t-il de sa déclaration de cette manière ? 8. (Lignes 5 et 6) : « Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens » : Quel est le temps des verbes soulignés ? Donnez leur infinitif. 9. (Ligne 14) : « dites-moi, (…) ce qu’il faut que je fasse ». Quel est le mode et le temps du verbe souligné ? 10. A part le sentiment amoureux, comment se sent Alfred de Musset en avouant son amour ? 11. Imaginez la réponse de George Sand. Merci d'avance et bonne journée.
Responda

Helpful Social

Copyright © 2025 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.