Bonsoir, pouvez vous svp m'aider à faire cette exercice svp. J'ai rien compris svp. Merci d'avance et bonne journée. Question : 1. Quel est le titre de l’histoire ? 2. Qu’est-ce que le titre signifie? 3. Que trouve Poil de carotte sur son chemin et que fait-il avec ? 4. Lignes 6 et 7, cherche des synonymes de « casser ». 5. Qu’est ce qui est cassé ? 6. A quoi compare-t-on la taupe à la ligne 2 ? 7. A quoi est comparé son ventre lignes 12-13 ? 8. Finalement la taupe est-elle morte ou non ? 9. Qu’est-ce qui provoque l’illusion de la vie ? 10. Relève le champ lexical lié à la mort. 11. Pourquoi Poil de carotte a-t-il les larmes aux yeux ? Qu’avez-vous compris de son comportement ? Qu’en pensez-vous ? Pouvez-vous expliquer son geste ? Texte : La taupe Poil de Carotte trouve dans son chemin une taupe, noire comme un ramonat (raifort). Quand il a bien joué avec, il se décide à la tuer. Il la lance en l'air plusieurs fois, adroitement, afin qu'elle puisse retomber sur une pierre. D'abord, tout va bien et rondement. Déjà la taupe s'est brisé les pattes, fendu la tête, cassé le dos, et elle semble n'avoir pas la vie dure. Puis, stupéfait, Poil de Carotte s'aperçoit qu'elle s'arrête de mourir. Il a beau la lancer assez haut pour couvrir une maison, jusqu'au ciel, ça n'avance plus. --Mâtin de mâtin! elle n'est pas morte, dit-il. En effet, sur la pierre tachée de sang, la taupe se pétrit; son ventre plein de graisse tremble comme une gelée, et, par ce tremblement, donne l'illusion de la vie. --Mâtin de mâtin! crie Poil de Carotte qui s'acharne, elle n'est pas encore morte! Il la ramasse, l'injurie et change de méthode. Rouge, les larmes aux yeux, il crache sur la taupe et la jette de toutes ses forces, à bout portant, contre la pierre. Mais le ventre informe bouge toujours. Et plus Poil de Carotte enragé tape, moins la taupe lui parait mourir.
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Bonsoir, pouvez- vous svp m'aider. Je vous en supplie aider moi. SVP Le texte de Musset : « Mon cher George, J'ai quelque chose de bête et de ridicule à vous dire. Je vous l'écris sottement, au lieu de vous l'avoir dit au retour de cette promenade, j'en serai désolé ce soir. Vous allez me rire au nez, me prendre pour un faiseur de phrases dans tous mes rapports avec vous jusqu'ici. Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens : je suis amoureux de vous, je le suis depuis le premier jour où j'ai été chez vous. J'ai cru que je m'en guérirais, en vous voyant tout simplement à titre d'ami. Il y a beaucoup de choses dans votre caractère qui pouvaient m'en guérir. J'ai tâché de me le persuader tant que j'ai pu ; mais je paye trop cher les moments que je passe avec vous. J'aime mieux vous le dire, et j'ai bien fait, parce que je souffrirai bien moins pour m'en guérir à présent, si vous me fermez votre porte. Cette nuit j'avais résolu de vous faire dire que j'étais à la campagne ; mais je ne veux pas vous faire de mystères ni avoir l'air de me brouiller sans sujet. Maintenant George, vous allez dire : « Encore un qui va m'ennuyer », comme vous dîtes. Si je ne suis pas tout à fait le premier venu pour vous, dîtes-moi, comme vous me l'auriez dit hier en me parlant d'un autre, ce qu'il faut que je fasse ; mais, je vous en prie, si vous voulez me dire que vous doutez de ce que je vous écris, ne me répondez plutôt pas du tout. Je sais comme vous pensez de moi, et j'espère rien en vous disant cela. Je ne puis qu'y perdre une amie et les seules heures agréables que j'aie passées depuis un mois. Mais je sais que vous êtes bonne, que vous avez aimé, et je me confie à vous non pas comme à une maîtresse, mais comme un camarade franc et loyal. George, je suis fou de me priver du plaisir de vous voir pendant le peu de temps que vous avez encore à passer à Paris avant votre voyage à la campagne et votre départ pour l'Italie, où nous aurions passé de belles nuits, si j'avais de la force. Mais la vérité est que je souffre et que la force me manque. Alfred de Musset » Questions : 1. Qui écrit la lettre ? 2. A qui ? 3. Quand ? 4. Dans quel but ? /A quoi sert la lettre ? A quelle ligne avez-vous trouvé la réponse ? 5.  Comment voit-on que ce texte est une lettre ? 6. Comment Musset qualifie-t-il son entreprise ? Relève le champ lexical du risible. 7. Pourquoi Musset parle-t-il de sa déclaration de cette manière ? 8. (Lignes 5 et 6) : « Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens » : Quel est le temps des verbes soulignés ? Donnez leur infinitif. 9. (Ligne 14) : « dites-moi, (…) ce qu’il faut que je fasse ». Quel est le mode et le temps du verbe souligné ? 10. A part le sentiment amoureux, comment se sent Alfred de Musset en avouant son amour ? 11. Imaginez la réponse de George Sand. Merci d'avance et bonne journée.
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Bonsoir, pouvez- vous svp m'aider. Je vous en supplie aider moi. SVP Le texte de Musset : « Mon cher George, J'ai quelque chose de bête et de ridicule à vous dire. Je vous l'écris sottement, au lieu de vous l'avoir dit au retour de cette promenade, j'en serai désolé ce soir. Vous allez me rire au nez, me prendre pour un faiseur de phrases dans tous mes rapports avec vous jusqu'ici. Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens : je suis amoureux de vous, je le suis depuis le premier jour où j'ai été chez vous. J'ai cru que je m'en guérirais, en vous voyant tout simplement à titre d'ami. Il y a beaucoup de choses dans votre caractère qui pouvaient m'en guérir. J'ai tâché de me le persuader tant que j'ai pu ; mais je paye trop cher les moments que je passe avec vous. J'aime mieux vous le dire, et j'ai bien fait, parce que je souffrirai bien moins pour m'en guérir à présent, si vous me fermez votre porte. Cette nuit j'avais résolu de vous faire dire que j'étais à la campagne ; mais je ne veux pas vous faire de mystères ni avoir l'air de me brouiller sans sujet. Maintenant George, vous allez dire : « Encore un qui va m'ennuyer », comme vous dîtes. Si je ne suis pas tout à fait le premier venu pour vous, dîtes-moi, comme vous me l'auriez dit hier en me parlant d'un autre, ce qu'il faut que je fasse ; mais, je vous en prie, si vous voulez me dire que vous doutez de ce que je vous écris, ne me répondez plutôt pas du tout. Je sais comme vous pensez de moi, et j'espère rien en vous disant cela. Je ne puis qu'y perdre une amie et les seules heures agréables que j'aie passées depuis un mois. Mais je sais que vous êtes bonne, que vous avez aimé, et je me confie à vous non pas comme à une maîtresse, mais comme un camarade franc et loyal. George, je suis fou de me priver du plaisir de vous voir pendant le peu de temps que vous avez encore à passer à Paris avant votre voyage à la campagne et votre départ pour l'Italie, où nous aurions passé de belles nuits, si j'avais de la force. Mais la vérité est que je souffre et que la force me manque. Alfred de Musset » Questions : 1. Qui écrit la lettre ? 2. A qui ? 3. Quand ? 4. Dans quel but ? /A quoi sert la lettre ? A quelle ligne avez-vous trouvé la réponse ? 5.  Comment voit-on que ce texte est une lettre ? 6. Comment Musset qualifie-t-il son entreprise ? Relève le champ lexical du risible. 7. Pourquoi Musset parle-t-il de sa déclaration de cette manière ? 8. (Lignes 5 et 6) : « Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens » : Quel est le temps des verbes soulignés ? Donnez leur infinitif. 9. (Ligne 14) : « dites-moi, (…) ce qu’il faut que je fasse ». Quel est le mode et le temps du verbe souligné ? 10. A part le sentiment amoureux, comment se sent Alfred de Musset en avouant son amour ? 11. Imaginez la réponse de George Sand. Merci d'avance et bonne journée.
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Bonsoir, pouvez vous svppp m'aider en français svppp erci beaucoup. Le Médecin malgré lui, Molière SCÈNE III Texte : MARTINE, seule.— Va, quelque mine que je fasse, je n'oublie pas mon ressentiment: et je brûle en moi-même, de trouver les moyens de te punir des coups que tu me donnes. Je sais bien qu'une femme a toujours dans les mains de quoi se venger d'un mari: mais c'est une punition trop délicate pour mon pendard. Je veux une vengeance qui se fasse un peu mieux sentir: et ce n'est pas contentement, pour l'injure que j'ai reçue. Explication : La scène III se résume au petit monologue de Martine. Elle est seule sur scène. On a un changement de scène à chaque entrée et sortie d’un personnage. Sganarelle vient de partir après que le voisin a voulu défendre Martine des coups de bâtons de son mari. Un monologue, c’est quand un personnage parle seul sur scène. Mono = un seul, logue < logos (en grec) qui veut dire « parole », « discours ». La mise en scène est l’art de représenter la pièce de théâtre par différents moyens: les tons, les gestes, les accessoires, les costumes, les décors participent des choix du metteur en scène. (C’est un peu comme le réalisateur pour le cinéma.) Questions : 1. Quelle est la fonction du monologue ? / A quoi sert-il ? 2. A qui parle Martine ? 3. Que décide Martine ? Soulignez les mots qui permettent de comprendre son projet. (4 mots)4. Trouvez les mots qui montrent que Martine est encore en colère. 5. Imaginez la posture, les gestes, le ton, le regard de Martine. Comment auriez-vous représenté cette mini-scène ? Réfléchissez à la mise en scène. 6. A votre avis, comment Martine va-t-elle se venger ? Imaginez.
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Bonsoir, pouvez vous svpppp m'aider en français svppp. Merci beaucoup et bonne journée. Texte : Il était une fois une petite fille de village, la plus éveillée qu’on eût su voir : sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le petit Chaperon rouge. Un jour, sa mère ayant cuit et fait des galettes, lui dit : « Va voir comment se porte ta mère-grand, car on m’a dit qu’elle était malade. Porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. » Le petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre village. En passant dans un bois, elle rencontra compère le Loup, qui eut bien envie de la manger ; mais il n’osa, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il lui demanda où elle allait. La pauvre enfant, qui ne savait pas qu’il était dangereux de s’arrêter à écouter un loup, lui dit : Je vais voir ma mère-grand, et lui porter une galette, avec un petit pot de beurre, que ma mère lui envoie. — Demeure-t-elle bien loin ? lui dit le loup. — Oh ! oui, dit le petit Chaperon rouge ; c’est par delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la première maison du village. — Eh bien ! dit le Loup, je veux l’aller voir aussi : je m’y en vais par ce chemin-ci, et toi par ce chemin-là ; et nous verrons à qui plus tôt y sera. Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu’elle rencontrait. Le Loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la mère-grand ; il heurte : toc, toc. — Qui est là ? — C’est votre fille, le petit Chaperon rouge, dit le Loup en contrefaisant sa voix, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre, que ma mère vous envoie. — La bonne mère-grand, qui était dans son lit, à cause qu’elle se trouvait un peu mal, lui cria : Tire la chevillette, la bobinette cherra. — Le Loup tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme, et la dévora en moins de rien, car il y avait plus de trois jours qu’il n’avait mangé. Ensuite il ferma la porte, et s’alla coucher dans le lit de la mère-grand, en attendant le petit Chaperon rouge, qui, quelque temps après, vint heurter à la porte : toc, toc. — Qui est là ? — Le petit Chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du Loup, eut peur d’abord, mais, croyant que sa mère-grand était enrhumée, répondit : C’est votre fille, le petit Chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre, que ma mère vous envoie. — Le Loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : Tire la chevillette, la bobinette cherra. — Le petit Chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Le Loup, la voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit, sous la couverture : Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi. Le petit Chaperon rouge se déshabille, et va se mettre dans le lit, où elle fut bien étonnée de voir comment sa mère-grand était faite en son déshabillé. — Elle lui dit : Ma mère-grand, que vous avez de grands bras ! — C’est pour mieux t’embrasser, ma fille ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes ! — C’est pour mieux courir, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles ! — C’est pour mieux écouter, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ! — C’est pour mieux te voir, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents ! — C’est pour te manger ! Et, en disant ces mots, ce méchant Loup se jeta sur le petit Chaperon rouge, et la mangea. Questions : T 1. Que fait la petite fille sur le chemin ? (lignes 26 à 30) 2. Que veut dire : heurter ? (ligne 31) 3. Qui arrive en premier à la maison de la grand-mère ? 4. Que veut dire « contrefaire » (ligne 34) : coupe le mot en 2 pour trouver les deux mots qui le composent et cherche le sens du mot dans le dictionnaire. Trouve un synonyme. 5. Que répond la grand-mère pour que la porte s’ouvre ? (ligne 38) 6. Trouve un synonyme de dévorer. 7. Que fait le loup pour que le petit Chaperon rouge ne le reconnaisse pas ? 8. Lignes 57-58, souligne les verbes, quelle est la forme verbale utilisée ? C'est la réplique :" Mais la galette ....va te cocher " 9. De quoi s’étonne la petite fille ? (Nomme les parties du corps !)
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Bonsoir, pouvez vous svpppp m'aider en français svppp. Merci beaucoup et bonne journée. Texte : Il était une fois une petite fille de village, la plus éveillée qu’on eût su voir : sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le petit Chaperon rouge. Un jour, sa mère ayant cuit et fait des galettes, lui dit : « Va voir comment se porte ta mère-grand, car on m’a dit qu’elle était malade. Porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. » Le petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre village. En passant dans un bois, elle rencontra compère le Loup, qui eut bien envie de la manger ; mais il n’osa, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il lui demanda où elle allait. La pauvre enfant, qui ne savait pas qu’il était dangereux de s’arrêter à écouter un loup, lui dit : Je vais voir ma mère-grand, et lui porter une galette, avec un petit pot de beurre, que ma mère lui envoie. — Demeure-t-elle bien loin ? lui dit le loup. — Oh ! oui, dit le petit Chaperon rouge ; c’est par delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la première maison du village. — Eh bien ! dit le Loup, je veux l’aller voir aussi : je m’y en vais par ce chemin-ci, et toi par ce chemin-là ; et nous verrons à qui plus tôt y sera. Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu’elle rencontrait. Le Loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la mère-grand ; il heurte : toc, toc. — Qui est là ? — C’est votre fille, le petit Chaperon rouge, dit le Loup en contrefaisant sa voix, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre, que ma mère vous envoie. — La bonne mère-grand, qui était dans son lit, à cause qu’elle se trouvait un peu mal, lui cria : Tire la chevillette, la bobinette cherra. — Le Loup tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme, et la dévora en moins de rien, car il y avait plus de trois jours qu’il n’avait mangé. Ensuite il ferma la porte, et s’alla coucher dans le lit de la mère-grand, en attendant le petit Chaperon rouge, qui, quelque temps après, vint heurter à la porte : toc, toc. — Qui est là ? — Le petit Chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du Loup, eut peur d’abord, mais, croyant que sa mère-grand était enrhumée, répondit : C’est votre fille, le petit Chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre, que ma mère vous envoie. — Le Loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : Tire la chevillette, la bobinette cherra. — Le petit Chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Le Loup, la voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit, sous la couverture : Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi. Le petit Chaperon rouge se déshabille, et va se mettre dans le lit, où elle fut bien étonnée de voir comment sa mère-grand était faite en son déshabillé. — Elle lui dit : Ma mère-grand, que vous avez de grands bras ! — C’est pour mieux t’embrasser, ma fille ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes ! — C’est pour mieux courir, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles ! — C’est pour mieux écouter, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ! — C’est pour mieux te voir, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents ! — C’est pour te manger ! Et, en disant ces mots, ce méchant Loup se jeta sur le petit Chaperon rouge, et la mangea.
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Bonsoir, pouvez vous svp m'aider en français svpppppp aider moi svpp. Merci beaucoup et bonne journée. Sujet : Prenant le cœur de l'amoureux pour une proie, le faucon de la dame agresse l'homme pour le lui arracher des mains. L'homme résiste, mais en vain. Il s'ensuit un dialogue entre l'amoureux et la dame.( minimum 50 lignes car c'est une rédaction de 5éme) Quelques explications: Les personnages : Une femme, assise, un homme debout. Leurs vêtements luxueux montrent qu'ils sont riches, ce sont de puissants personnages, sans doute des nobles. Ce que l'homme tient à la main, ce n'est pas une fraise, c'est son cœur : il est en train de l'offrir à la dame. Il y a aussi des animaux : Sur son poing, la dame tient un faucon. Les nobles dressaient ces rapaces et les utilisaient pour la chasse. Observez que ce faucon regarde le cœur. Symboliquement il représente sans doute le désir de la dame : elle veut bien prendre ce cœur qui s'offre à elle. La dame a aussi un chien, qui semble vouloir jouer ou réclamer un câlin. Peut-être est-il ici le symbole de la fidélité. Et puis parmi l'herbe et les fleurs on voit des lapins. Ces animaux sont doux et féconds ... Il y a trois personnages : la femme, l'homme et le faucon. Votre devoir comportera deux parties : - Un récit : le vol du cœur (c'est un combat dont le faucon sort vainqueur). - Un dialogue entre l'homme et la femme. Il n'est pas interdit de traiter le sujet avec humour. Il y a personne qui a commencer la rédaction mais il me manque la fin c'est tous . Svpppp aider moi Svpppp. Et si vous voulez voir la réponse dans mon profil. Svppp ( Et svpp je remerci infiniment niogret2m pour ça réponse)
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Bonsoir, pouvez vous svp m'aider en français . Merci beaucoup et bonne journée.Sujet :Prenant le cœur de l'amoureux pour une proie, le faucon de la dame agresse l'homme pour le lui arracher des mains. L'homme résiste, mais en vain. Il s'ensuit un dialogue entre l'amoureux et la dame.( minimum 50 lignes car c'est une rédaction de 5éme) Quelques explications:Le sujet s'appuie sur la lecture d'une image. Il s'agit d'une tapisserie, c'est-à-dire que c'est le tissage des fils de couleur entrecroisés qui produit l'image.Je donne quelques explications, et vous la regarderez ensuite à nouveau.Les personnages :Une femme, assise, un homme debout.Leurs vêtements luxueux montrent qu'ils sont riches, ce sont de puissants personnages, sans doute des nobles.Ce que l'homme tient à la main, ce n'est pas une fraise, c'est son cœur : il est en train de l'offrir à la dame.Il y a aussi des animaux :Sur son poing, la dame tient un faucon. Les nobles dressaient ces rapaces et les utilisaient pour la chasse. Observez que ce faucon regarde le cœur. Symboliquement il représente sans doute le désir de la dame : elle veut bien prendre ce cœur qui s'offre à elle.La dame a aussi un chien, qui semble vouloir jouer ou réclamer un câlin. Peut-être est-il ici le symbole de la fidélité.Et puis parmi l'herbe et les fleurs on voit des lapins. Ces animaux sont doux et féconds ...Il y a trois personnages : la femme, l'homme et le faucon.Votre devoir comportera deux parties :- Un récit : le vol du cœur (c'est un combat dont le faucon sort vainqueur).- Un dialogue entre l'homme et la femme.Il n'est pas interdit de traiter le sujet avec humour.N'oubliez pas que dans l'amour courtois, la femme aimée est comme une suzeraine (sur l'image, elle est assise et l'home est debout).Dans le dialogue,exploitez les possibilités offerte par l'attitude et par l'humeur des personnages :L'homme est-il en colère, humilié, embarrassé, affolé ... ?La femme est-elle hautaine, amusée voire moqueuse, compatissante ... ?
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Bonsoir, pouvez vous svppppp en français svppp merci beaucoup et bonne journée. La Petit Chaperon Rouge Texte : Il était une fois une petite fille de village, la plus éveillée qu’on eût su voir : sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le petit Chaperon rouge. Un jour, sa mère ayant cuit et fait des galettes, lui dit : « Va voir comment se porte ta mère-grand, car on m’a dit qu’elle était malade. Porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. » Le petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre village. En passant dans un bois, elle rencontra compère le Loup, qui eut bien envie de la manger ; mais il n’osa, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il lui demanda où elle allait. La pauvre enfant, qui ne savait pas qu’il était dangereux de s’arrêter à écouter un loup, lui dit : Je vais voir ma mère-grand, et lui porter une galette, avec un petit pot de beurre, que ma mère lui envoie. — Demeure-t-elle bien loin ? lui dit le loup. — Oh ! oui, dit le petit Chaperon rouge ; c’est par delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la première maison du village. — Eh bien ! dit le Loup, je veux l’aller voir aussi : je m’y en vais par ce chemin-ci, et toi par ce chemin-là ; et nous verrons à qui plus tôt y sera. Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu’elle rencontrait. Le Loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la mère-grand ; il heurte : toc, toc. — Qui est là ? — C’est votre fille, le petit Chaperon rouge, dit le Loup en contrefaisant sa voix, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre, que ma mère vous envoie. — La bonne mère-grand, qui était dans son lit, à cause qu’elle se trouvait un peu mal, lui cria : Tire la chevillette, la bobinette cherra. — Le Loup tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme, et la dévora en moins de rien, car il y avait plus de trois jours qu’il n’avait mangé. Ensuite il ferma la porte, et s’alla coucher dans le lit de la mère-grand, en attendant le petit Chaperon rouge, qui, quelque temps après, vint heurter à la porte : toc, toc. — Qui est là ? — Le petit Chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du Loup, eut peur d’abord, mais, croyant que sa mère-grand était enrhumée, répondit : C’est votre fille, le petit Chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre, que ma mère vous envoie. — Le Loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : Tire la chevillette, la bobinette cherra. — Le petit Chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Le Loup, la voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit, sous la couverture : Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi. Le petit Chaperon rouge se déshabille, et va se mettre dans le lit, où elle fut bien étonnée de voir comment sa mère-grand était faite en son déshabillé. — Elle lui dit : Ma mère-grand, que vous avez de grands bras ! — C’est pour mieux t’embrasser, ma fille ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes ! — C’est pour mieux courir, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles ! — C’est pour mieux écouter, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ! — C’est pour mieux te voir, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents ! — C’est pour te manger ! Et, en disant ces mots, ce méchant Loup se jeta sur le petit Chaperon rouge, et la mangea.
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Bonsoir, pouvez vous svppppppp m'aider en français merci beaucouppppp Texte : SGANARELLE.— Non je te dis que je n'en veux rien faire; et que c'est à moi de parler et d'être le maître. MARTINE.— Et je te dis moi, que je veux que tu vives à ma fantaisie: et que je ne me suis point mariée avec toi, pour souffrir tes fredaines. SGANARELLE.— Ô la grande fatigue que d'avoir une femme: et qu'Aristote a bien raison, quand il dit qu'une femme est pire qu'un démon! MARTINE.— Voyez un peu l'habile homme, avec son benêt d'Aristote. SGANARELLE.— Oui, habile homme, trouve-moi un faiseur de fagots, qui sache, comme moi, raisonner des choses, qui ait servi six ans, un fameux médecin, et qui ait su dans son jeune âge, son rudiment par cœur. MARTINE.— Peste du fou fieffé. SGANARELLE.— Peste de la carogne. MARTINE.— Que maudit soit l'heure et le jour, où je m'avisai d'aller dire oui. SGANARELLE.— Que maudit soit le bec cornu de notaire qui me fit signer ma ruine. MARTINE.— C'est bien à toi, vraiment, à te plaindre de cette affaire: devrais-tu être un seul moment, sans rendre grâces au Ciel de m'avoir pour ta femme, et méritais-tu d'épouser une personne comme moi? SGANARELLE.— Il est vrai que tu me fis trop d'honneur: et que j'eus lieu de me louer la première nuit de nos noces. Hé! morbleu, ne me fais point parler là-dessus, je dirais de certaines choses… MARTINE.— Quoi? que dirais-tu? SGANARELLE.— Baste, laissons là ce chapitre, il suffit que nous savons ce que nous savons: et que tu fus bien heureuse de me trouver. MARTINE.— Qu'appelles-tu bien heureuse de te trouver? Un homme qui me réduit à l'hôpital, un débauché, un traître qui me mange tout ce que j'ai? SGANARELLE.— Tu as menti, j'en bois une partie. MARTINE.— Qui me vend, pièce à pièce, tout ce qui est dans le logis. SGANARELLE.— C'est vivre de ménage. MARTINE.— Qui m'a ôté jusqu'au lit que j'avais. SGANARELLE.— Tu t'en lèveras plus matin. MARTINE.— Enfin qui ne laisse aucun meuble dans toute la maison. SGANARELLE.— On en déménage plus aisément. MARTINE.— Et qui du matin jusqu'au soir, ne fait que jouer, et que boire. SGANARELLE.— C'est pour ne me point ennuyer. MARTINE.— Et que veux-tu pendant ce temps, que je fasse avec ma famille? SGANARELLE.— Tout ce qu'il te plaira. MARTINE.— J'ai quatre pauvres petits enfants sur les bras. SGANARELLE.— Mets-les à terre. MARTINE.— Qui me demandent à toute heure, du pain. SGANARELLE.— Donne-leur le fouet. Quand j'ai bien bu, et bien mangé, je veux que tout le monde soit saoul dans ma maison. MARTINE.— Et tu prétends ivrogne, que les choses aillent toujours de même? SGANARELLE.— Ma femme, allons tout doucement, s'il vous plaît. MARTINE.— Que j'endure éternellement, tes insolences, et tes débauches? SGANARELLE.— Ne nous emportons point ma femme. MARTINE.— Et que je ne sache pas trouver le moyen de te ranger à ton devoir? SGANARELLE.— Ma femme, vous savez que je n'ai pas l'âme endurante: et que j'ai le bras assez bon. MARTINE.— Je me moque de tes menaces. SGANARELLE.— Ma petite femme, ma mie, votre peau vous démange, à votre ordinaire. MARTINE.— Je te montrerai bien que je ne te crains nullement. SGANARELLE.— Ma chère moitié, vous avez envie de me dérober quelque chose. MARTINE.— Crois-tu que je m'épouvante de tes paroles? SGANARELLE.— Doux objet de mes vœux, je vous frotterai les oreilles. MARTINE.— Ivrogne que tu es. SGANARELLE.— Je vous battrai. MARTINE.— Sac à vin. SGANARELLE.— Je vous rosserai. MARTINE.— Infâme. SGANARELLE.— Je vous étrillerai. MARTINE.— Traître, insolent, trompeur, lâche, coquin, pendard, gueux, belître, fripon, maraud, voleur…! SGANARELLE.— Il prend un bâton, et lui en donne.— Ah! vous en voulez, donc. MARTINE7.— Ah, ah, ah, ah. SGANARELLE.— Voilà le vrai moyen de vous apaiser. Questions : 10. A l’avant-dernière réplique : « Ah ! vous en voulez donc ? », quel mot remplace « en » ? 11. « Un homme qui me mange tout ce que j’ai » à Quelle est la nature de la phrase soulignée ? 12. « On en déménage plus aisément » : Quelle est la nature du mot « aisément » ? « Aisé » veut dire : facile. Peux-tu remplacer « aisément » par un autre mot de la même nature construit sur l’adjectif « facile » ? 13. « trouve-moi un faiseur de fagots, qui sache, comme moi, raisonner des choses… » : Quelle est la forme du verbe souligné ? 14. « Que maudit soit l'heure et le jour, où je m'avisai d'aller dire oui. » : Quelle est la nature du mot souligné ? Quel est l’antécédent de la proposition subordonnée relative : « où je m’avisai d’aller dire oui » ? 15. « Je vous frotterai les oreilles » : A quel temps est conjugué le verbe « frotter » ? Qu’est-ce que cela signifie ? 16. Trouve un synonyme de « battre » dans le texte.
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Bonsoir, pouvez vous svppppppp m'aider en français. ACTEURS SGANARELLE, mari de Martine. MARTINE, femme de Sganarelle. M. ROBERT, voisin de Sganarelle. VALÈRE, domestique de Géronte. LUCAS, mari de Jacqueline. GÉRONTE, père de Lucinde. JACQUELINE, nourrice chez Géronte, et femme de Lucas. LUCINDE, fille de Géronte. LÉANDRE, amant de Lucinde. THIBAUT, père de Perrin. PERRIN, fils de Thibaut, paysan. Texte : SGANARELLE.— Non je te dis que je n'en veux rien faire; et que c'est à moi de parler et d'être le maître. MARTINE.— Et je te dis moi, que je veux que tu vives à ma fantaisie: et que je ne me suis point mariée avec toi, pour souffrir tes fredaines. SGANARELLE.— Ô la grande fatigue que d'avoir une femme: et qu'Aristote a bien raison, quand il dit qu'une femme est pire qu'un démon! MARTINE.— Voyez un peu l'habile homme, avec son benêt d'Aristote. SGANARELLE.— Oui, habile homme, trouve-moi un faiseur de fagots, qui sache, comme moi, raisonner des choses, qui ait servi six ans, un fameux médecin, et qui ait su dans son jeune âge, son rudiment par cœur. MARTINE.— Peste du fou fieffé. SGANARELLE.— Peste de la carogne. MARTINE.— Que maudit soit l'heure et le jour, où je m'avisai d'aller dire oui. SGANARELLE.— Que maudit soit le bec cornu de notaire qui me fit signer ma ruine. MARTINE.— C'est bien à toi, vraiment, à te plaindre de cette affaire: devrais-tu être un seul moment, sans rendre grâces au Ciel de m'avoir pour ta femme, et méritais-tu d'épouser une personne comme moi? SGANARELLE.— Il est vrai que tu me fis trop d'honneur: et que j'eus lieu de me louer la première nuit de nos noces. Hé! morbleu, ne me fais point parler là-dessus, je dirais de certaines choses… MARTINE.— Quoi? que dirais-tu? SGANARELLE.— Baste, laissons là ce chapitre, il suffit que nous savons ce que nous savons: et que tu fus bien heureuse de me trouver. MARTINE.— Qu'appelles-tu bien heureuse de te trouver? Un homme qui me réduit à l'hôpital, un débauché, un traître qui me mange tout ce que j'ai? SGANARELLE.— Tu as menti, j'en bois une partie. MARTINE.— Qui me vend, pièce à pièce, tout ce qui est dans le logis. SGANARELLE.— C'est vivre de ménage. MARTINE.— Qui m'a ôté jusqu'au lit que j'avais. SGANARELLE.— Tu t'en lèveras plus matin. MARTINE.— Enfin qui ne laisse aucun meuble dans toute la maison. SGANARELLE.— On en déménage plus aisément. MARTINE.— Et qui du matin jusqu'au soir, ne fait que jouer, et que boire. SGANARELLE.— C'est pour ne me point ennuyer. MARTINE.— Et que veux-tu pendant ce temps, que je fasse avec ma famille? SGANARELLE.— Tout ce qu'il te plaira. MARTINE.— J'ai quatre pauvres petits enfants sur les bras. SGANARELLE.— Mets-les à terre. MARTINE.— Qui me demandent à toute heure, du pain. SGANARELLE.— Donne-leur le fouet. Quand j'ai bien bu, et bien mangé, je veux que tout le monde soit saoul dans ma maison. MARTINE.— Et tu prétends ivrogne, que les choses aillent toujours de même? SGANARELLE.— Ma femme, allons tout doucement, s'il vous plaît. MARTINE.— Que j'endure éternellement, tes insolences, et tes débauches? SGANARELLE.— Ne nous emportons point ma femme. MARTINE.— Et que je ne sache pas trouver le moyen de te ranger à ton devoir? SGANARELLE.— Ma femme, vous savez que je n'ai pas l'âme endurante: et que j'ai le bras assez bon. MARTINE.— Je me moque de tes menaces. SGANARELLE.— Ma petite femme, ma mie, votre peau vous démange, à votre ordinaire. MARTINE.— Je te montrerai bien que je ne te crains nullement. SGANARELLE.— Ma chère moitié, vous avez envie de me dérober quelque chose. MARTINE.— Crois-tu que je m'épouvante de tes paroles? SGANARELLE.— Doux objet de mes vœux, je vous frotterai les oreilles. MARTINE.— Ivrogne que tu es. SGANARELLE.— Je vous battrai. MARTINE.— Sac à vin. SGANARELLE.— Je vous rosserai. MARTINE.— Infâme. SGANARELLE.— Je vous étrillerai. MARTINE.— Traître, insolent, trompeur, lâche, coquin, pendard, gueux, belître, fripon, maraud, voleur…! SGANARELLE.— Il prend un bâton, et lui en donne.— Ah! vous en voulez, donc. MARTINE7.— Ah, ah, ah, ah. SGANARELLE.— Voilà le vrai moyen de vous apaiser. Questions : 1. Qui sont les personnages sur scène ? 2. Que font-ils ? Par quoi commence la pièce ? 3. Pourquoi Martine est-elle en colère ? Comment voit-on sa colère ? 4. Pourquoi il n’y a plus aucun meuble dans sa maison ? 5. Que signifie à la 4ème réplique « habile homme » ? Que pense réellement Martine de son mari ? Comment s’appelle ce procédé dans lequel on dit le contraire de ce que l’on pense pour mieux critiquer ? 6. Peux-tu décrire son mari en quelques mots? (caractère, métier, défauts…) 7. Que pourrait faire Sganarelle « pour ne point s’ennuyer » au lieu de jouer et de boire ? 8. Quels mots peuvent faire rire ? Trouve et explique un jeu de mots. 9. Comment Sganarelle a-t-il « apaisé » sa femme finalement ?
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Bonsoir, pouvez vous svppppppp m'aider en français svppppppp. Texte : SGANARELLE.— Non je te dis que je n'en veux rien faire; et que c'est à moi de parler et d'être le maître. MARTINE.— Et je te dis moi, que je veux que tu vives à ma fantaisie: et que je ne me suis point mariée avec toi, pour souffrir tes fredaines. SGANARELLE.— Ô la grande fatigue que d'avoir une femme: et qu'Aristote a bien raison, quand il dit qu'une femme est pire qu'un démon! MARTINE.— Voyez un peu l'habile homme, avec son benêt d'Aristote. SGANARELLE.— Oui, habile homme, trouve-moi un faiseur de fagots, qui sache, comme moi, raisonner des choses, qui ait servi six ans, un fameux médecin, et qui ait su dans son jeune âge, son rudiment par cœur. MARTINE.— Peste du fou fieffé. SGANARELLE.— Peste de la carogne. MARTINE.— Que maudit soit l'heure et le jour, où je m'avisai d'aller dire oui. SGANARELLE.— Que maudit soit le bec cornu de notaire qui me fit signer ma ruine. MARTINE.— C'est bien à toi, vraiment, à te plaindre de cette affaire: devrais-tu être un seul moment, sans rendre grâces au Ciel de m'avoir pour ta femme, et méritais-tu d'épouser une personne comme moi? SGANARELLE.— Il est vrai que tu me fis trop d'honneur: et que j'eus lieu de me louer la première nuit de nos noces. Hé! morbleu, ne me fais point parler là-dessus, je dirais de certaines choses… MARTINE.— Quoi? que dirais-tu? SGANARELLE.— Baste, laissons là ce chapitre, il suffit que nous savons ce que nous savons: et que tu fus bien heureuse de me trouver. MARTINE.— Qu'appelles-tu bien heureuse de te trouver? Un homme qui me réduit à l'hôpital, un débauché, un traître qui me mange tout ce que j'ai? SGANARELLE.— Tu as menti, j'en bois une partie. MARTINE.— Qui me vend, pièce à pièce, tout ce qui est dans le logis. SGANARELLE.— C'est vivre de ménage. MARTINE.— Qui m'a ôté jusqu'au lit que j'avais. SGANARELLE.— Tu t'en lèveras plus matin. MARTINE.— Enfin qui ne laisse aucun meuble dans toute la maison. SGANARELLE.— On en déménage plus aisément. MARTINE.— Et qui du matin jusqu'au soir, ne fait que jouer, et que boire. SGANARELLE.— C'est pour ne me point ennuyer. MARTINE.— Et que veux-tu pendant ce temps, que je fasse avec ma famille? SGANARELLE.— Tout ce qu'il te plaira. MARTINE.— J'ai quatre pauvres petits enfants sur les bras. SGANARELLE.— Mets-les à terre. MARTINE.— Qui me demandent à toute heure, du pain. SGANARELLE.— Donne-leur le fouet. Quand j'ai bien bu, et bien mangé, je veux que tout le monde soit saoul dans ma maison. MARTINE.— Et tu prétends ivrogne, que les choses aillent toujours de même? SGANARELLE.— Ma femme, allons tout doucement, s'il vous plaît. MARTINE.— Que j'endure éternellement, tes insolences, et tes débauches? SGANARELLE.— Ne nous emportons point ma femme. MARTINE.— Et que je ne sache pas trouver le moyen de te ranger à ton devoir? SGANARELLE.— Ma femme, vous savez que je n'ai pas l'âme endurante: et que j'ai le bras assez bon. MARTINE.— Je me moque de tes menaces. SGANARELLE.— Ma petite femme, ma mie, votre peau vous démange, à votre ordinaire. MARTINE.— Je te montrerai bien que je ne te crains nullement. SGANARELLE.— Ma chère moitié, vous avez envie de me dérober quelque chose. MARTINE.— Crois-tu que je m'épouvante de tes paroles? SGANARELLE.— Doux objet de mes vœux, je vous frotterai les oreilles. MARTINE.— Ivrogne que tu es. SGANARELLE.— Je vous battrai. MARTINE.— Sac à vin. SGANARELLE.— Je vous rosserai. MARTINE.— Infâme. SGANARELLE.— Je vous étrillerai. MARTINE.— Traître, insolent, trompeur, lâche, coquin, pendard, gueux, belître, fripon, maraud, voleur…! SGANARELLE.— Il prend un bâton, et lui en donne.— Ah! vous en voulez, donc. MARTINE7.— Ah, ah, ah, ah. SGANARELLE.— Voilà le vrai moyen de vous apaiser. Questions : 1. Qui sont les personnages sur scène ? 2. Que font-ils ? Par quoi commence la pièce ? 3. Pourquoi Martine est-elle en colère ? Comment voit-on sa colère ? 4. Pourquoi il n’y a plus aucun meuble dans sa maison ? 5. Que signifie à la 4ème réplique « habile homme » ? Que pense réellement Martine de son mari ? Comment s’appelle ce procédé dans lequel on dit le contraire de ce que l’on pense pour mieux critiquer ? 6. Peux-tu décrire son mari en quelques mots? (caractère, métier, défauts…) 7. Que pourrait faire Sganarelle « pour ne point s’ennuyer » au lieu de jouer et de boire ? 8. Quels mots peuvent faire rire ? Trouve et explique un jeu de mots. 9. Comment Sganarelle a-t-il « apaisé » sa femme finalement ?
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