aidez moi svp 1) Le narrateur est-il intérieur à l'histoire. Justifie ta réponse. 2) Identifie un passage qui ralentit le rythme de la narration. Justifie ton choix. 3) Identifie deux passages où le narrateur a choisi d'accélérer le temps. Justifie tes choix. 4) L'histoire est-elle racontée dans l'ordre chronologique ? Explique.
1) Le narrateur est intérieur à l’histoire. On peut le justifier par le fait qu’il utilise la première personne du singulier pour raconter les événements. Par exemple, il dit: “Je me souviens encore de cette nuit-là” ou “Je n’avais pas peur de mourir”. Il exprime aussi ses sentiments et ses pensées tout au long du récit.
2) Un passage qui ralentit le rythme de la narration est celui où le narrateur décrit le paysage qu’il voit depuis la fenêtre de sa chambre. Il utilise des phrases longues et des adjectifs qui créent une atmosphère calme et paisible. Par exemple, il dit: “La lune éclairait les champs de blé et les collines verdoyantes. Le vent faisait frémir les feuilles des arbres et les étoiles scintillaient dans le ciel. C’était un spectacle magnifique, qui me remplissait d’une douce mélancolie”.
3) Deux passages où le narrateur a choisi d’accélérer le temps sont ceux où il raconte son arrestation par la police et son procès. Il utilise des phrases courtes et des verbes d’action qui créent une impression de rapidité et de tension. Par exemple, il dit: “Ils ont défoncé la porte et m’ont menotté. Ils m’ont jeté dans une voiture et m’ont emmené au poste. Là, ils m’ont interrogé pendant des heures, sans me laisser parler” ou “Le juge m’a condamné à mort sans écouter ma défense. Il a prononcé la sentence avec un air de dégoût. Je n’ai pas eu le temps de dire un mot”.
4) L’histoire n’est pas racontée dans l’ordre chronologique. Le narrateur commence par évoquer la nuit où il a commis le meurtre, puis il revient en arrière pour expliquer les circonstances qui l’ont poussé à agir ainsi. Il alterne ensuite entre le présent, où il attend son exécution, et le passé, où il raconte les différentes étapes de son parcours judiciaire. Il utilise des indicateurs temporels pour marquer les changements de période. Par exemple, il dit: “C’était il y a six mois” ou “Aujourd’hui, c’est le jour de mon exécution”.
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Réponse:
1) Le narrateur est intérieur à l’histoire. On peut le justifier par le fait qu’il utilise la première personne du singulier pour raconter les événements. Par exemple, il dit: “Je me souviens encore de cette nuit-là” ou “Je n’avais pas peur de mourir”. Il exprime aussi ses sentiments et ses pensées tout au long du récit.
2) Un passage qui ralentit le rythme de la narration est celui où le narrateur décrit le paysage qu’il voit depuis la fenêtre de sa chambre. Il utilise des phrases longues et des adjectifs qui créent une atmosphère calme et paisible. Par exemple, il dit: “La lune éclairait les champs de blé et les collines verdoyantes. Le vent faisait frémir les feuilles des arbres et les étoiles scintillaient dans le ciel. C’était un spectacle magnifique, qui me remplissait d’une douce mélancolie”.
3) Deux passages où le narrateur a choisi d’accélérer le temps sont ceux où il raconte son arrestation par la police et son procès. Il utilise des phrases courtes et des verbes d’action qui créent une impression de rapidité et de tension. Par exemple, il dit: “Ils ont défoncé la porte et m’ont menotté. Ils m’ont jeté dans une voiture et m’ont emmené au poste. Là, ils m’ont interrogé pendant des heures, sans me laisser parler” ou “Le juge m’a condamné à mort sans écouter ma défense. Il a prononcé la sentence avec un air de dégoût. Je n’ai pas eu le temps de dire un mot”.
4) L’histoire n’est pas racontée dans l’ordre chronologique. Le narrateur commence par évoquer la nuit où il a commis le meurtre, puis il revient en arrière pour expliquer les circonstances qui l’ont poussé à agir ainsi. Il alterne ensuite entre le présent, où il attend son exécution, et le passé, où il raconte les différentes étapes de son parcours judiciaire. Il utilise des indicateurs temporels pour marquer les changements de période. Par exemple, il dit: “C’était il y a six mois” ou “Aujourd’hui, c’est le jour de mon exécution”.