Je courrais, je savais qu'il me suivait . Dans la pénombre, je me retournais, et le voyais derrière moi, cavalant pour me rattraper, un couteau à la main. Que me voulait-il ? Je venais juste de sortir des cours lorsqu'il à commencé à me suivre .
Je décidais de tourner à droite, dans une petite ruelle, me cachant dans la grande benne à ordures . J'avais quelques secondes d'avance sur lui. Je pris le temps de respirer, d'inspirer. Je sentais l'angoisse monter. Des tonnes de questions se posaient dans ma tête : Rentrerais-je un jour ma petite maison, Retournerais-je à l'école comme tout le monde... Pire, reverrais-je ma famille que j'aime tant ? Ma mère, qui me prépare toujours mon sac pour l'école, mon père qui s'occupe toujours de mon repas avant que je partes, ma soeur, qui est toujours là pour me remonter le moral lorsqu'il est au plus bas.. Mais il ne fallait pas que je succombe à ce tracas . Je décidais de sécher mes larmes, de m’essuyer mes paumes de mains sur mon jean et me forçais à arrêter de trembler. Je serrais les dents et pris mon courage a deux mains.
Lorsque je fus sorti de la benne, il était là, devant moi, son sourire blanc et sadique dans le noir . Je le fixais et lui hurlais de me laisser même si je recommençais à trembler et que mes genoux devenait aussi mou que de la guimauve...
Mais je me réveillais, en sursaut. Ce n'était qu'un rêve ? J'étais tout de même en sueur ... Pour tenter de me réconforter, je décidais d'aller me préparer un gros bol de lait chaud .
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Je courrais, je savais qu'il me suivait . Dans la pénombre, je me retournais, et le voyais derrière moi, cavalant pour me rattraper, un couteau à la main. Que me voulait-il ? Je venais juste de sortir des cours lorsqu'il à commencé à me suivre .
Je décidais de tourner à droite, dans une petite ruelle, me cachant dans la grande benne à ordures . J'avais quelques secondes d'avance sur lui. Je pris le temps de respirer, d'inspirer. Je sentais l'angoisse monter. Des tonnes de questions se posaient dans ma tête : Rentrerais-je un jour ma petite maison, Retournerais-je à l'école comme tout le monde... Pire, reverrais-je ma famille que j'aime tant ? Ma mère, qui me prépare toujours mon sac pour l'école, mon père qui s'occupe toujours de mon repas avant que je partes, ma soeur, qui est toujours là pour me remonter le moral lorsqu'il est au plus bas.. Mais il ne fallait pas que je succombe à ce tracas . Je décidais de sécher mes larmes, de m’essuyer mes paumes de mains sur mon jean et me forçais à arrêter de trembler. Je serrais les dents et pris mon courage a deux mains.
Lorsque je fus sorti de la benne, il était là, devant moi, son sourire blanc et sadique dans le noir . Je le fixais et lui hurlais de me laisser même si je recommençais à trembler et que mes genoux devenait aussi mou que de la guimauve...
Mais je me réveillais, en sursaut. Ce n'était qu'un rêve ? J'étais tout de même en sueur ... Pour tenter de me réconforter, je décidais d'aller me préparer un gros bol de lait chaud .
Voilà voilà ^^