Une grande ville offre des infrastructures collectives plus nombreuses et plus variées qu'une petite ville. Parmi elles, on compte des réseaux de transports en commun, des écoles, bibliothèques, salles de répétition , salles de sport, infrastructures commerciales, soins hospitaliers, telles que l'offre culturelle est abondante et le confort de vie, meilleur que dans une petite ville. Cependant, les personnes qui vivent en ville connaissent l'anonymat et sans lien social fort, peuvent vivre dans la solitude. De même, le paysage urbain n'est souvent pas ressourçant et les nuisances sonores et autres peuvent devenir rapidement usantes. Les petites villes offrent peut-être moins d'infrastructures collectives mais ont souvent une vie associative florissante qui concourt à créer le lien social. La campagne n’est jamais très loin pour ceux qui en ressentent le besoin et les espaces verts sont plus présents que dans les tissus urbains très denses. Si la taille des petites villes est souvent plus humaine, elle oblige néanmoins à chercher les commerces spécialisés, les structures de soins ou les écoles des cycles supérieurs dans les grandes villes. C’est le prix à payer pour vivre dans un environnement où une relative qualité de vie a été préservée.
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maudmarine
Si la ville était un choix avantageux pour les hommes du début du siècle, nous retrouvons aujourd’hui presque tous ses avantages dans les régions même éloignées ou dans les petits villages. Se procurer des biens n’est plus un problème pour les habitants, la facilité du téléphone ou internet permettent de nous fournir tout ce dont nous avons besoin. En ce qui a trait aux services, c’est la même chose. Par contre, il est vrai que si nous aimons la vie mondaine, le peuple, les bruits de moteur, les odeurs, les grands magasins, il est effectivement difficile de vivre ailleurs qu'en grande ville. Pour ce qui est des études aussi, les universités n'existent pas ou quasiment pas dans les petites villes alors que les grandes en sont pleines et ont un large choix de matières. Je parlerai également du travail, il est clair que l'offre d'emploi est plus importante dans une ville avec une grande population, des entreprises, des groupes, alors que dans les petites villes, la mentalité est déjà différente, si nous arrivons d'une grande ville et que nous ne sommes pas natifs de ce village nous n'aurons pas la priorité du peu de travail proposé. Cependant, de plus en plus de monde se retire au calme car la vie en grande ville amène beaucoup de stress et nous rend agressif et pressé, et le cadre de vie peut-être amoindri par tous ces méfaits. Je dirais donc que la ville offre de moins en moins d’attraits et les gens qui continuent d’y habiter le font soit par manque de moyens, soit parce que leur travail les y oblige. Il s’agit rarement d’un choix personnel. Ce n’est certes pas une situation réjouissante, car il faut aussi penser que le danger est décuplé en ville et on est amené parfois à ne même pas sortir de chez soi par peur de se faire voler ou battre sans aucune raison, juste pour amuser la galerie.
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Une grande ville offre des infrastructures collectives plus nombreuses et plus variées qu'une petite ville. Parmi elles, on compte des réseaux de transports en commun, des écoles, bibliothèques, salles de répétition , salles de sport, infrastructures commerciales, soins hospitaliers, telles que l'offre culturelle est abondante et le confort de vie, meilleur que dans une petite ville.Cependant, les personnes qui vivent en ville connaissent l'anonymat et sans lien social fort, peuvent vivre dans la solitude. De même, le paysage urbain n'est souvent pas ressourçant et les nuisances sonores et autres peuvent devenir rapidement usantes.
Les petites villes offrent peut-être moins d'infrastructures collectives mais ont souvent une vie associative florissante qui concourt à créer le lien social. La campagne n’est jamais très loin pour ceux qui en ressentent le besoin et les espaces verts sont plus présents que dans les tissus urbains très denses.
Si la taille des petites villes est souvent plus humaine, elle oblige néanmoins à chercher les commerces spécialisés, les structures de soins ou les écoles des cycles supérieurs dans les grandes villes. C’est le prix à payer pour vivre dans un environnement où une relative qualité de vie a été préservée.
Cependant, de plus en plus de monde se retire au calme car la vie en grande ville amène beaucoup de stress et nous rend agressif et pressé, et le cadre de vie peut-être amoindri par tous ces méfaits.
Je dirais donc que la ville offre de moins en moins d’attraits et les gens qui continuent d’y habiter le font soit par manque de moyens, soit parce que leur travail les y oblige. Il s’agit rarement d’un choix personnel. Ce n’est certes pas une situation réjouissante, car il faut aussi penser que le danger est décuplé en ville et on est amené parfois à ne même pas sortir de chez soi par peur de se faire voler ou battre sans aucune raison, juste pour amuser la galerie.