bonjour a tous besoin d'aide il faut faire 40ligne svp
SUJET D'IMAGINATION BREVET: Madame Rezeau raconte dans son journal intime cette première rencontre avec ses enfants. Vous reprendrez de façon fidèle les différents événements décrits en adoptant son point de vue. Vous devrez exprimer ses sentiments et ses pensées. Soyez fidèle au roman !
J'arrivais enfin au bout de cet épuisant et interminable voyage. Sur le quai, j'aperçus ces deux petites silhouettes répugnantes, les cheveux décoiffés, les genoux écorchés, les chaussures non cirés. Avant même d'avoir eu le temps de descendre la dernière marche du train, voilà qu'ils se précipitèrent vers moi comme deux petits sauvageons. Ils faillirent me faire trébucher. Mon tendre petit Marcel, effrayé, me lâcha la main et courut se cacher, il échappa complètement à ma vigilance. Dans un élan de colère, je leva la main et mis une gifle à Court-Bouillon pour lui remettre les idées bien en place. Il recula de trois pas et me fit place. Voilà la seule et unique façon d'apprendre les bonnes manières à ces vauriens. Je m'interrogeais sur ce qu'il avait appris auprès de leur vieille grand-mère? Certainement pas les bonnes manières! S'il avait eu la vie facile jusqu'ici, croyez-moi c'est bel et bien terminé! Qu'importe, je suis là à présent et je vais y remédier. En plus, Il a fallut que Monsieur Rezeau leur demande d'aller chercher et saluer leur petit frère, caché derrière une malle effrayé par leur comportement barbare. Après les avoir observé, j'intimais l'ordre à ces deux garnements de prendre nos valises sur le quai. Elles trônaient sur le quai sans que ces deux fainéant ne se propose à les porter. Pensaient-ils que j'allais transporter mes valises telle une mule après un si long voyage? hum, il se trompait. Le pire, c'est que Court-bouillon semblait rechigner à la tâche et faisait semblant de ne pouvoir porter ma valise. Comme si elle pesait une tonne. En voyant cela, Je lui mis un bon gros coup de pied au tibia pour le réveiller, le stimuler, et aussitôt il souleva la valise sans peine. Je fixais Court-Bouillon droit dans les yeux, je vis sa malice et lui fit remarquer qu'il pouvait parfaitement soulever ma valise sans aucun problème. Il pensait peut-être que je ne verrais pas son petit manège. Si petit et si fourbe déjà. J'entends bien lui mener la vie dure. Je vois bien qu'ils ont profité du grand âge de leur grand-mère sénile. Attendez garnement, je vais vous en donnez des coups de bâton pour vous apprendre les bonnes manières. Bande d'incapable, bande de petits chenapans vous allez voir ce que vous allez voir! Rira bien qui rira le dernier.
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J'arrivais enfin au bout de cet épuisant et interminable voyage. Sur le quai, j'aperçus ces deux petites silhouettes répugnantes, les cheveux décoiffés, les genoux écorchés, les chaussures non cirés. Avant même d'avoir eu le temps de descendre la dernière marche du train, voilà qu'ils se précipitèrent vers moi comme deux petits sauvageons. Ils faillirent me faire trébucher. Mon tendre petit Marcel, effrayé, me lâcha la main et courut se cacher, il échappa complètement à ma vigilance. Dans un élan de colère, je leva la main et mis une gifle à Court-Bouillon pour lui remettre les idées bien en place. Il recula de trois pas et me fit place. Voilà la seule et unique façon d'apprendre les bonnes manières à ces vauriens. Je m'interrogeais sur ce qu'il avait appris auprès de leur vieille grand-mère? Certainement pas les bonnes manières! S'il avait eu la vie facile jusqu'ici, croyez-moi c'est bel et bien terminé! Qu'importe, je suis là à présent et je vais y remédier. En plus, Il a fallut que Monsieur Rezeau leur demande d'aller chercher et saluer leur petit frère, caché derrière une malle effrayé par leur comportement barbare. Après les avoir observé, j'intimais l'ordre à ces deux garnements de prendre nos valises sur le quai. Elles trônaient sur le quai sans que ces deux fainéant ne se propose à les porter. Pensaient-ils que j'allais transporter mes valises telle une mule après un si long voyage? hum, il se trompait. Le pire, c'est que Court-bouillon semblait rechigner à la tâche et faisait semblant de ne pouvoir porter ma valise. Comme si elle pesait une tonne. En voyant cela, Je lui mis un bon gros coup de pied au tibia pour le réveiller, le stimuler, et aussitôt il souleva la valise sans peine. Je fixais Court-Bouillon droit dans les yeux, je vis sa malice et lui fit remarquer qu'il pouvait parfaitement soulever ma valise sans aucun problème. Il pensait peut-être que je ne verrais pas son petit manège. Si petit et si fourbe déjà. J'entends bien lui mener la vie dure. Je vois bien qu'ils ont profité du grand âge de leur grand-mère sénile. Attendez garnement, je vais vous en donnez des coups de bâton pour vous apprendre les bonnes manières. Bande d'incapable, bande de petits chenapans vous allez voir ce que vous allez voir! Rira bien qui rira le dernier.