Réponse:

Témoin de la vie des tranchées, Ferdinand retrace ses années de rat-combattant au côté du soldat Juvenet qui la pris sous sa protection. Il partage la vie quotidienne des poilus les changements d'affectation les offensives mais aussi les permissions, l'attente avide d'informations, et la naissance des rumeurs les plus persistantes la solitude et surtout la peur. Échappant aux campagnes de dératisation.

Explications:

L'auteur a participé à la première guerre mondiale et a été vite envoyé au front.