C'est ce que se répètent les deux vilains poulains.
Un vieux cheval sentant le poids des ans peser
Redoutait la vieillesse
Et chaque jour il travaillait avec plus de tristesse.
Il fit un soir venir ses deux jeunes poulains
-" Qui voudra bien demain d'un vieux cheval prendre soin ?
Je le sais, je le sens ma mort n'est pas loin.
Qui me succèdera dans ce vaste domaine ? "
Le plus jeune prétexta un écurie étroite
Pas de place pour le père il était désolé.
Le second, paresseux détestait les sillons,
Il l'affirma très haut en levant le menton.
Chacun bien sûr pensait à l'héritage
Mais de cela n'osait faire étalage.
La mort sortit son aiguillon
Du vieux cheval il ne fut plus question.
Les deux poulains ravis, se parlent, se concertent
Heureux d'envisager tant de chance offerte.
Arrive le paysan matois finaud comme il se doit
Il comprend et bien vite
Que cette descendante est pour le moins maudite.
La décision est prise il les vend illico
Il vendit à bon prix ce bien triste duo.
Ils partirent pour le Nord
Là où tous les jours il bruine.
Sans être consultés, descendirent dans la mine.
Dans le noir leur restait incrustée dans l'échine
Une idée de remords d'un si triste destin
Et de n'avoir pas plus tôt considéré la fin.
Explications :
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ayahajiz
Bonsoir, pouvez- vous svp m'aider en français svppp. Je vous en supplie aider moi svp. ;( IL faut répondre au questions de la poème. Merci d'avance et bonne
ayahajiz
Svp aider moi je vous en supplie c'est très urgen car je dois le rendre aujourd'hui
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Réponse : Le cheval et les deux poulains
En toute chose il faut considérer la fin
C'est ce que se répètent les deux vilains poulains.
Un vieux cheval sentant le poids des ans peser
Redoutait la vieillesse
Et chaque jour il travaillait avec plus de tristesse.
Il fit un soir venir ses deux jeunes poulains
-" Qui voudra bien demain d'un vieux cheval prendre soin ?
Je le sais, je le sens ma mort n'est pas loin.
Qui me succèdera dans ce vaste domaine ? "
Le plus jeune prétexta un écurie étroite
Pas de place pour le père il était désolé.
Le second, paresseux détestait les sillons,
Il l'affirma très haut en levant le menton.
Chacun bien sûr pensait à l'héritage
Mais de cela n'osait faire étalage.
La mort sortit son aiguillon
Du vieux cheval il ne fut plus question.
Les deux poulains ravis, se parlent, se concertent
Heureux d'envisager tant de chance offerte.
Arrive le paysan matois finaud comme il se doit
Il comprend et bien vite
Que cette descendante est pour le moins maudite.
La décision est prise il les vend illico
Il vendit à bon prix ce bien triste duo.
Ils partirent pour le Nord
Là où tous les jours il bruine.
Sans être consultés, descendirent dans la mine.
Dans le noir leur restait incrustée dans l'échine
Une idée de remords d'un si triste destin
Et de n'avoir pas plus tôt considéré la fin.
Explications :
IL faut répondre au questions de la poème.
Merci d'avance et bonne