Bonjour, aidez-moi pour ce sujet de dissertation svp: << Qui ne risque rien n'a rien>>
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nadahaouara
Bonjour : dans ce sujet tu dois d’abord comment par l’analyser: « qui ne risque rien n’a rien » signifie que pour avoir quelque chose il faut risquer quelque chose, dans ce cas tu peux te poser la question de la valeur de ce que tu vas gagner? Si tu ne risque rien, tu ne gagnes rien. Mais si tu risque quelque chose, est ce que ce que tu vas gagner sera suffisant pour compenser ce que tu as risqué? Pour le plan tu pourrais faire quelque chose du style: - en première partie la position que tu critiques: par exemple : mieux vaut ne rien risquer et ne rien n’avoir, plutôt que de risquer quelque chose pour n’avoir pas grand chose. Là tu pourrais parler du besoin, dans le sens où nous avons déjà ce dont nous avons besoin donc inutile de chercher à avoir + , ici tu peux citer Aristote qui soutient l’idée du finalisme c’est à dire: « La nature ne fait rien en vain » donc puisque qu’elle ne fait rien en vain c’est à dire tout ce qu’elle fait a un sens, rien n’est fait par hasard, dans ce cas les choses qu’elle fait son bien faite, nous ne devrions pas chercher +.
- en dernière partie la position que tu défends: qu’il faut risquer des choses pour en obtenir des meilleures : si on ne risque rien on est certain de ne rien avoir, alors que si on risque quelque chose, on peut gagner quelque chose sans pour autant perdre ce qu’on a fait, donc le risque en vaut la peine car sans cela on aurait rien de +. Tu peux parler il me semble de la liberté , par exemple avec sartre qui dit que nous sommes condamnés à être libres : en effet avec lui on peut faire ce que l’ont veut, seulement il faudra en assumer la conséquence donc c’est plutôt la question de la responsabilité qui se pose. Ici on peut s’en servir pour dire que puisque que l’homme est condamné à être libres, rien ne l’empêchera de risquer des choses, il est libre donc quoi qu’il risque il ne perdra rien puisqu’il aura toujours cette liberté selon sartre.
Tu peux aussi mettre une deuxième partie qui ferait une transition entre les deux , il faut citer d’autres auteurs bien sur. Tu dois rajouter des arguments supplémentaires, par exemple dans la dernière partie le désir d’aventure qui pourrait nous animer à risquer des choses, etc..
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Pour le plan tu pourrais faire quelque chose du style:
- en première partie la position que tu critiques: par exemple : mieux vaut ne rien risquer et ne rien n’avoir, plutôt que de risquer quelque chose pour n’avoir pas grand chose. Là tu pourrais parler du besoin, dans le sens où nous avons déjà ce dont nous avons besoin donc inutile de chercher à avoir + , ici tu peux citer Aristote qui soutient l’idée du finalisme c’est à dire: « La nature ne fait rien en vain » donc puisque qu’elle ne fait rien en vain c’est à dire tout ce qu’elle fait a un sens, rien n’est fait par hasard, dans ce cas les choses qu’elle fait son bien faite, nous ne devrions pas chercher +.
- en dernière partie la position que tu défends: qu’il faut risquer des choses pour en obtenir des meilleures : si on ne risque rien on est certain de ne rien avoir, alors que si on risque quelque chose, on peut gagner quelque chose sans pour autant perdre ce qu’on a fait, donc le risque en vaut la peine car sans cela on aurait rien de +. Tu peux parler il me semble de la liberté , par exemple avec sartre qui dit que nous sommes condamnés à être libres : en effet avec lui on peut faire ce que l’ont veut, seulement il faudra en assumer la conséquence donc c’est plutôt la question de la responsabilité qui se pose. Ici on peut s’en servir pour dire que puisque que l’homme est condamné à être libres, rien ne l’empêchera de risquer des choses, il est libre donc quoi qu’il risque il ne perdra rien puisqu’il aura toujours cette liberté selon sartre.
Tu peux aussi mettre une deuxième partie qui ferait une transition entre les deux , il faut citer d’autres auteurs bien sur. Tu dois rajouter des arguments supplémentaires, par exemple dans la dernière partie le désir d’aventure qui pourrait nous animer à risquer des choses, etc..