Alors voilà, j'ai un devoirs en français. Je dois écrire une nouvelle et j'ai vraiment pas d'imagination. Je vous donne la consigne : La nouvelle doit commencer par 'longtemps, je me suis réveillé de bonne humeur' et on doit intégré le mot 'neige' et elle doit être à la 1ére personne du singulier. J'ai déjà une idée mais j'arrive pas à écrire ma nouvelle.
Longtemps, je me suis réveillé de bonne humeur. J'étais un petit gaçon qui en sautant du lit avait la joie de vivre. J'allais vite dans la cuisine où m'attendais un copieux petit-déjeuner que j'avalais avec plaisir. Une fois ma douche prise j'enfilais, les jours de congés scolaires, une tenue confortable pour jouer avec mon chien au dehors ou rejoindre mes amis qui demeuraient non loin de chez moi. Les saisons passaient vite et si les vacances à la mer avec mes parents me faisaient plaisir , ce que j'attendais avec impatience c'était l'hiver. Cette saison froide amenait avec elle le cortège de mes plaisirs. J'attendais , certes, Noêl comme touts les enfants, mais ce que je souhaitais c'est qu'en ouvrant les volets de ma chambre, en venant me réveiller, ma mère me dise "la neige est là". Je sautais de joie et aussi dans mes aprés-ski pour m'abandonner en faisant des roulades sur le tapis blanc et poudreux qui recouvrait le gazon de notre jardin.
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Apleya
J'aime bien ta nouvelle, mais elle est trop simple.
Apleya
Moi, j'aimerai du jor qu'un gamin découvre que le pére noël n'existe pas (c'est la chute), jor le passage de l'enfance à l'adulte.
Apleya
Tu peux me le faire ? Plus longs que ça parce que ça doit comporté au minium une page simple (recto verso) et au ma maximum une double page.
maudmarine
Longtemps, je me suis réveillé de bonne humeur, car ma vie ressemblait à un conte de fées. J'allais travailler avec beaucoup de plaisir car mes collègues sont devenus mes amis et mon travail était très intéressant. Pourtant, aujourd'hui, à la veille de l'hiver, je n'ai plus rien, l'entreprise qui m'employait depuis plusieurs années a fermé et j'ai été licencié. La plupart de mes amis ne veulent même plus me voir tellement je suis devenu aigri et déprimé. De plus; c'est l'hiver et la neige tombe sans cesse, voilà une bonne excuse pour ne pas quitter mon appartement. Maintenant je ne veux même plus me lever, ni même me coucher d'ailleurs, car chaque matin au réveil les journées se répètent, les journées monotones, pas de travail, pas d'ami, juste un petit chien, mon fidèle ami, c'est seulement pour lui que je m'oblige à me lever pour le sortir faire ses besoins et pour le nourrir. La nouvelle société, balivernes, mais nous n'avons qu'une seule vie alors je vais me secouer, chercher un nouveau travail et me refaire de nouveaux amis pour être comme monsieur tout le monde.
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Apleya
J'aime bien vos deux textes. :3 Mais est-ce que vous pourriez essayer de me faire du jor un gamin qui découvre que le père noël n'existe pas : le passage de l'enfance à l'adulte. Et aussi un peu plus longs parce qu'il doit comporté au minium une page simple (recto verso) et au maximum une double page. (((:
maudmarine
C'est bizarre parce qu'une nouvelle c'est un récit court
Apleya
Je sais, mais c'est ma prof de français qui nous a dit que ça doit faire au minimum 1 page simple (recto verso) et au maximum une double page. Tu peux essayer de me le faire sur mon idée à moi, please ? :$ (je suis vraiment nul en français)
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Longtemps, je me suis réveillé de bonne humeur. J'étais un petit gaçon qui en sautant du lit avait la joie de vivre. J'allais vite dans la cuisine où m'attendais un copieux petit-déjeuner que j'avalais avec plaisir. Une fois ma douche prise j'enfilais, les jours de congés scolaires, une tenue confortable pour jouer avec mon chien au dehors ou rejoindre mes amis qui demeuraient non loin de chez moi.Les saisons passaient vite et si les vacances à la mer avec mes parents me faisaient plaisir , ce que j'attendais avec impatience c'était l'hiver.
Cette saison froide amenait avec elle le cortège de mes plaisirs. J'attendais , certes, Noêl comme touts les enfants, mais ce que je souhaitais c'est qu'en ouvrant les volets de ma chambre, en venant me réveiller, ma mère me dise "la neige est là".
Je sautais de joie et aussi dans mes aprés-ski pour m'abandonner en faisant des roulades sur le tapis blanc et poudreux qui recouvrait le gazon de notre jardin.