Bonsoir,
Alors voilà, je participe à la concours de nouvelle et il me reste juste un truc, il faut plus développer des choses, expliquer des choses, ect.
Est-ce que tu pourra me le faire please ? Voilà la nouvelle:
Longtemps, je me suis levée de bonne heure... J'étais une enfants sans problème, disait-on, bien élevée et toujours prête à rendre service. A l'école, mes résultats étaient moyens mais réguliers. J'étais entourée d'une famille "aimante et au dehors de mes camarades qui me ressemblaient" ce qui y a entre guillemet la prof me la souligné et à mit un point interrogation) Nous avions des jeux semblables et nous faisions le même sport. Comme moi, ils avaient une passion c'était la neige et nous attendions l'hiver avec impatience car notre école organisait des classes de neige et nous pouvions faire du ski. L'hiver était notre saison préféré et j'avoue qu'à cette époque de mon enfance je croyais encore au père Noël. L'hiver pour moi c'était magique, "tout était réuni pour faire de moi l'enfant le plus heureux." (ce qu'il y a entre guillemet la prof, elle a dit à expliquer). On m'avait dit, et je l'ai cru longtemps, que ce cher bonhomme habillé en rouge apportait nos cadeaux par la cheminée. J'avais décidé que ce soir là, "je me tiendrais éveiller à la guetter et le voir pour de bon" (ce qu'il y a entre guillemet, la prof à mit que c'est mal dit). C'est ce que je fis, "installé sur le fauteuil qui se trouvait face à la cheminée. Le soir de Noël, je me posais assisse en attendant minuit. J'ai dû veiller longtemps car de temps en temps ma tête fléchissait et je me reprenais brusquement, toujours les yeux fixée vers l'entrée de la cheminé" (ce qu'il y a entre guillemets, la prof elle à dit à développer et que la phrase : toujours les yeux fixée vers l'entrée de la cheminé est mal dit.) Mais fatiguée , je m'endormis. C'est la chant de coucou qui marquait les heures qui me réveilla. "J’entrouvis les yeux les yeux jusqu’à les écarquiller et là je vis mes parents poser les cadeaux autour du sapin enguirlandé." (ce qu'il y a entre guillemet, la prof elle a dit à développer les sentiments ressentis et le suspens.) Les yeux brouillés de larmes, constatant leur traîtrise, j'étais très malheureuse. Je n'ai âs voulu ouvrir mes cadeaux tout de suite, je suis allée me coucher dans ma chambre en sanglotant. "Qu'avaient-ils fait du père Nöel ? Où était-il passé ? Je ne comprenais rien" (ce qu'il y a entre guillemet, la prof elle a dit comique à développer par des hypothèses sur la disparition du père Noël.) Le lendemain matin, je me levais de bonne heure mais j'avais perdu ce sourire qui me rendait spécial. "Ma joie de vivre fut éteinte longtemps après. Quand enfin je décidais d'avoir une discussion franche avec mes parents sur le sujet. Il m'expliquèrent que ça leur était arrivé aussi à eux et que c'était comme ça qu'on grandissait. Les peines faisant partie de la vie. Jamais plus la magie de Noël opéra sur moi. Et me voilà plus grand et ce jour là encore je pensais à ce triste jour. Heureusement la neige, elle n'était pas une invention des grands, elle était là toujours au rendez vous." (ce qu'il y a entre guillemet la prof à dit que c'est mal dit) (Elle a aussi dit revoir la fin)
Merci de m'aidez s'il te plait.
Lista de comentários
Verified answer
Longtemps, je me suis levée de bonne heure... J'étais une enfant sans problème, disait-on, bien élevée et toujours prête à rendre service. A l'école, mes résultats étaient moyens mais réguliers. A la maison, l’amour et la tendresse de mes parents me plongeait dans un bonheur délicieux. A l’école, j’avais des amis agréables avec qui je partageais divers jeux. Comme moi, ils avaient une passion : la neige. Nous attendions l'hiver avec une immense impatience car notre école organisait des classes de neige et nous pouvions nous livrer aux jeux les plus fous , faire du ski, sculpter des bonhommes de neige ,ou tout simplement se lancer des poignées de neige à la figure. L'hiver était notre saison préféré père Noël. L'hiver pour moi c'était magique. J’avais tout pour être heureuse. Ne serait- ce que naïveté voluptueuse de croire innocemment aux miracles . On m'avait dit, et je l'ai cru longtemps, que ce cher bonhomme à la barbe blanche, habillé en rouge était celui qui apportait nos cadeaux de noël par la cheminée ;qu’il est tellement généreux qu’il pense à tous les enfants, riches et pauvres. Tant de bonté frappait mon imagination. J'avais décidé le soir de noël de rester éveillée, de faire le guet pour le voir. Je m’installai donc en face de la cheminé, espérant ne pas être surprise par le sommeil. Mais l attente fut longue et le bonhomme tardait à venir. La fatigue commença me gagner, ma tête fléchissait mais je me reprenais rapidement, déterminée à mener a terme ma garde Mais toujours rien , pas de trace du père Noel.Je ne me rappelle plus combien de temps j’étais restée dans cette position à surveiller la cheminée. Ne pouvant plus lutter contre un sommeil cuisant, je finis par m’endormir. Soudain un bruit léger me réveilla,J’entrouvris les yeux . J’entendis mon père chuchoter a ma mère « allez dépêche toi, elle risque de se réveiller, » Moi, je faisais semblant de dormir, mais je ne perdis rien a la scène. Je vis ma mère déposer les cadeaux autour du sapin. Une grande tristesse m’envahit, ils m’avaient menti, trahi ! Ce constant d’être prise pour une sotte capable de tout croire me révoltait. Je crois que j’ai beaucoup pleuré cette nuit la. Le lendemain mes parents étaient étonnés de voir ma froideur devant les cadeaux .Je n'ai pas voulu les ouvrir tout de suite, je suis allée me réfugier dans ma chambre le cœur gros. Mais pourquoi le père noël n’était-il pas venu ?A_t_il été retenu pour d’autres enfants,, ? Je le voyais courir dans tout les sens, encombrés de ses cadeaux, de se barbe blanche et ses habits rouges. Ma mère vint me retrouver dans ma chambre, elle avait deviné ma détresse .Elle m’expliqua que cela leur était arrivé et que c'était comme ça qu'on grandissait. Ce qui me chagrinait le plus, c’était la fin de ce doux rêve,. Donc Jamais plus la magie de Noël opérerait en moi. Je me trouvai brusquement propulsée et sans le vouloir à l’âge adulte, je n’étais plus une enfant ! Me voilà parmi les grandes personnes ! Je pense maintenant que j’ai regretté longtemps cette veillée. Ma curiosité a brisé une illusion exquise.