Exercice 2 Consigne Réécrivez ce texte en remplaçant prit par prend et faites toutes les modifications nécessaires.
Tout à coup le feu prit un étrange degré d’activité ; une lueur blafarde illumina la chambre, et je vis clairement que ce que j’avais pris pour de vaines peintures était la réalité ; car les prunelles de ces êtres encadrés remuaient, scintillaient d’une façon singulière ; leurs lèvres s’ouvraient et se fermaient comme des lèvres de gens qui parlent, mais je n’entendais rien que le tic-tac de la pendule et le sifflement de la bise d’automne. La pendule sonna onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps, et, lorsqu’il fut éteint tout à fait… [...] Les bougies s’allumèrent toutes seules ; le soufflet, sans qu’aucun être visible lui imprimât le mouvement, se prit à souffler le feu, en râlant comme un vieillard asthmatique, pendant que les pincettes fourgonnaient dans les tisons et que la pelle relevait les cendres. Ensuite une cafetière se jeta en bas d’une table où elle était posée, et se dirigea, clopin-clopant, vers le foyer, où elle se plaça entre les tisons.
Tout à coup le feu prend un étrange degré d’activité ; une lueur blafarde illumine la chambre, et je vois clairement que ce que je prend pour de vaines peintures est la réalité ; car les prunelles de ces êtres encadrés remuent, scintillent d’une façon singulière ; leurs lèvres s’ouvrent et se ferment comme des lèvres de gens qui parlent, mais je n’entends rien que le tic-tac de la pendule et le sifflement de la bise d’automne.
La pendule sonne onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps, et, lorsqu’il est éteint tout à fait…
[...] Les bougies s’allument toutes seules ; le soufflet, sans qu’aucun être visible lui imprime le mouvement, se prend à souffler le feu, en râlant comme un vieillard asthmatique, pendant que les pincettes fourgonnent dans les tisons et que la pelle relève les cendres.
Ensuite une cafetière se jette en bas d’une table où elle est posée, et se dirige, clopin-clopant, vers le foyer, où elle se place entre les tisons.
Lista de comentários
Réponse :
Bonjour,
Tout à coup le feu prend un étrange degré d’activité ; une lueur blafarde illumine la chambre, et je vois clairement que ce que je prend pour de vaines peintures est la réalité ; car les prunelles de ces êtres encadrés remuent, scintillent d’une façon singulière ; leurs lèvres s’ouvrent et se ferment comme des lèvres de gens qui parlent, mais je n’entends rien que le tic-tac de la pendule et le sifflement de la bise d’automne.
La pendule sonne onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps, et, lorsqu’il est éteint tout à fait…
[...] Les bougies s’allument toutes seules ; le soufflet, sans qu’aucun être visible lui imprime le mouvement, se prend à souffler le feu, en râlant comme un vieillard asthmatique, pendant que les pincettes fourgonnent dans les tisons et que la pelle relève les cendres.
Ensuite une cafetière se jette en bas d’une table où elle est posée, et se dirige, clopin-clopant, vers le foyer, où elle se place entre les tisons.
Bon courage ! ;)