Bonjour est ce que quelqu’un pourrez m aider à faire cette rédaction Sujet de rédaction n°4 : La nouvelle fantastique de Maupassant « La morte » se termine par cette phrase : « Il paraît qu’on me ramassa, inanimé, au jour levant, auprès d’une tombe. » Vous imaginerez un dialogue entre le narrateur et la personne qui le retrouve inanimé près d’une tombe, par exemple le gardien du cimetière ou un gendarme. Le narrateur explique à son interlocuteur ce qu’il vient de vivre mais l’autre ne le croit pas. Pour la personne qui le trouve, le narrateur a juste fait un cauchemar ou bien il était ivre. Mais le narrateur est persuadé que ce qu’il a vu est réel. Soyez fidèles au contenu de la nouvelle (événements, personnages). Respectez les règles du dialogue (tirets, verbes de paroles – dire, répondre, s’écrier, ajouter, répliquer....). N’utilisez pas le passé simple dans les parties dialoguées mais seulement pour les verbes de paroles (dit-il, répondit, s’écria...). Ne recopiez pas le texte. Pour vous faciliter le travail, vous pouvez inventer un nom au narrateur (attention, le narrateur n’est pas l’auteur). Vous sauterez des lignes (écrivez une ligne sur deux).
Narrateur : Je m'appelle Pierre. Je viens de vivre une nuit effrayante, je suis persuadé que ce que j'ai vu était réel.
Gendarme : Bonjour monsieur, que faites-vous ici, près de cette tombe ?
Narrateur : Je viens de vivre un cauchemar, je...
Gendarme : Un cauchemar ? Vous êtes ivre, monsieur.
Narrateur : Non, je vous assure, j'ai vu une jeune femme morte se lever et marcher.
Gendarme : Allons, monsieur, cela n'est pas possible. Vous avez simplement fait un mauvais rêve.
Narrateur : Je vous jure que c'était réel. Elle m'a suivi, elle m'a poursuivi.
Gendarme : Vous avez peut-être bu trop de vin hier soir. Allons, je vais vous raccompagner chez vous.
Narrateur : Mais je vous dis la vérité, je...
Gendarme : Allons, monsieur, ne compliquez pas les choses. Venez avec moi, je vais m'occuper de vous.
Narrateur : (soupirant) Très bien, je viens avec vous. Mais je sais ce que j'ai vu, c'était réel.
Gendarme : Ne vous inquiétez pas, monsieur, vous oublierez tout cela demain matin.
Narrateur : J'espère que vous avez raison. Mais je suis certain que ce que j'ai vécu était bien réel.
Gendarme : Allons, monsieur, venez avec moi. Nous en reparlerons demain matin, lorsque vous serez sobre.
Narrateur : Très bien, je viens avec vous. Mais je sais ce que j'ai vu, je ne suis pas fou.
Gendarme : Allons, monsieur, tout ira bien. Venez avec moi ,je vais m'occuper de vous.
Narrateur : (soupirant) Très bien, je viens avec vous. Mais je sais ce que j'ai vu, c'était réel.
Gendarme : Ne vous inquiétez pas, monsieur, vous oublierez tout cela demain matin.
Narrateur : J'espère que vous avez raison. Mais je suis certain que ce que j'ai vécu était bien réel.
Gendarme : Allons, monsieur, venez avec moi. Nous en reparlerons demain matin, lorsque vous serez sobre.
Narrateur : Très bien, je viens avec vous. Mais je sais ce que j'ai vu, je ne suis pas fou.
Gendarme : Allons, monsieur, tout ira bien. Venez avec moi, je vais vous ramener chez vous.
Narrateur : (soupirant) Très bien, je viens avec vous. Mais je sais ce que j'ai vu, c'était réel.
Conclusion : Le narrateur Pierre est persuadé d'avoir vécu une expérience effrayante avec la morte, mais le gendarme ne le croit pas, pensant qu'il est simplement ivre ou qu'il a fait un mauvais rêve. Pierre est déterminé à prouver que ce qu'il a vu était réel, mais le gendarme insiste pour le ramener chez lui et lui promet de tout oublier demain matin.
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Réponse :
Narrateur : Je m'appelle Pierre. Je viens de vivre une nuit effrayante, je suis persuadé que ce que j'ai vu était réel.
Gendarme : Bonjour monsieur, que faites-vous ici, près de cette tombe ?
Narrateur : Je viens de vivre un cauchemar, je...
Gendarme : Un cauchemar ? Vous êtes ivre, monsieur.
Narrateur : Non, je vous assure, j'ai vu une jeune femme morte se lever et marcher.
Gendarme : Allons, monsieur, cela n'est pas possible. Vous avez simplement fait un mauvais rêve.
Narrateur : Je vous jure que c'était réel. Elle m'a suivi, elle m'a poursuivi.
Gendarme : Vous avez peut-être bu trop de vin hier soir. Allons, je vais vous raccompagner chez vous.
Narrateur : Mais je vous dis la vérité, je...
Gendarme : Allons, monsieur, ne compliquez pas les choses. Venez avec moi, je vais m'occuper de vous.
Narrateur : (soupirant) Très bien, je viens avec vous. Mais je sais ce que j'ai vu, c'était réel.
Gendarme : Ne vous inquiétez pas, monsieur, vous oublierez tout cela demain matin.
Narrateur : J'espère que vous avez raison. Mais je suis certain que ce que j'ai vécu était bien réel.
Gendarme : Allons, monsieur, venez avec moi. Nous en reparlerons demain matin, lorsque vous serez sobre.
Narrateur : Très bien, je viens avec vous. Mais je sais ce que j'ai vu, je ne suis pas fou.
Gendarme : Allons, monsieur, tout ira bien. Venez avec moi ,je vais m'occuper de vous.
Narrateur : (soupirant) Très bien, je viens avec vous. Mais je sais ce que j'ai vu, c'était réel.
Gendarme : Ne vous inquiétez pas, monsieur, vous oublierez tout cela demain matin.
Narrateur : J'espère que vous avez raison. Mais je suis certain que ce que j'ai vécu était bien réel.
Gendarme : Allons, monsieur, venez avec moi. Nous en reparlerons demain matin, lorsque vous serez sobre.
Narrateur : Très bien, je viens avec vous. Mais je sais ce que j'ai vu, je ne suis pas fou.
Gendarme : Allons, monsieur, tout ira bien. Venez avec moi, je vais vous ramener chez vous.
Narrateur : (soupirant) Très bien, je viens avec vous. Mais je sais ce que j'ai vu, c'était réel.
Conclusion : Le narrateur Pierre est persuadé d'avoir vécu une expérience effrayante avec la morte, mais le gendarme ne le croit pas, pensant qu'il est simplement ivre ou qu'il a fait un mauvais rêve. Pierre est déterminé à prouver que ce qu'il a vu était réel, mais le gendarme insiste pour le ramener chez lui et lui promet de tout oublier demain matin.