Elles souffraient sans cesse, se sentant nées pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Elles souffraient de la pauvreté de leurslogements, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces choses, dont une autre femme de leur caste ne se serait même pas aperçue, les torturaient et Ies indignaient. La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elles des regrets désolés et des rêves éperdus [...] Elles avaient une amie riche, une camarade de couvent qu'elles ne voulaient plus aller voir, tant elles souffraient en revenant. Et elles pleuraient pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse.
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Bonjour
réécrivez ce passage en remplaçant elle par elles
Elles souffraient sans cesse, se sentant nées pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Elles souffraient de la pauvreté de leurs logements, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces choses, dont une autre femme de leur caste ne se serait même pas aperçue, les torturaient et Ies indignaient. La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elles des regrets désolés et des rêves éperdus [...] Elles avaient une amie riche, une camarade de couvent qu'elles ne voulaient plus aller voir, tant elles souffraient en revenant. Et elles pleuraient pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse.
Bonne journée☺☺☺