Bonjour, est-ce que vous pouvez m'aider à faire un commentaire littéraire svp en suivant l'exemple ci-dessous (pièce-jointe, en bleu) sur ces vers là : Scène 3 - Oreste v.593 Je ne crains pas enfin que Pyrrhus la retienne : Il n’a devant les yeux que sa chère Troyenne. […] Nous n’avons qu’à parler : c’en est fait. Quelle joie D’enlever à l’Epire une si belle proie ! Merci d'avance! :))