Bonjour j'ai besoin d'aide aidermoi s'il vous plait reecrivez ce texte en remplaçant Renart par les gupils et le présent par le passé ( par rappport a ce texte )
Il quitte la Cour un peu avant l’heure de, sans daigner saluer personne : au fond de lui-même il les défie, à l’exception du roi et de son épouse, Madame Fière l’orgueilleuse, qui est d’une grande courtoisie et d’une grande beauté [...] Il éperonne son cheval, et s’en va au grand trot. Il arrive à proximité de la haie où Couard s’était couché. Sa faim est plus grande que de coutume, et il n’a aucune envie de jeûner : il pénètre aussitôt dans la haie. Couard, voyant cela, est pris de frayeur : la peur le fait se lever [...] Et Renart le pique de son bourdon. [...]
Réécrivez ce texte en remplaçant Renart par les goupils et le présent par le passé ( par rapport à ce texte )
Ils quittèrent la Cour un peu avant l’heure de, sans daigner saluer personne : au fond d'eux-mêmes ils les défiaient, à l’exception du roi et de son épouse, Madame Fière l’orgueilleuse, qui était d’une grande courtoisie et d’une grande beauté [...] Ils éperonnèrent leur cheval, et s’en allèrent au grand trot. Ils arrivèrent à proximité de la haie où Couard s’était couché. Leur faim était plus grande que de coutume, et ils n’eurent aucune envie de jeûner : ils pénètrèrent aussitôt dans la haie. Couard, voyant cela, fut pris de frayeur : la peur le fit se lever [...] Et Renart le piqua de son bourdon. [...]
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Bonsoir,Réécrivez ce texte en remplaçant Renart par les goupils et le présent par le passé ( par rapport à ce texte )
Ils quittèrent la Cour un peu avant l’heure de, sans daigner saluer
personne : au fond d'eux-mêmes ils les défiaient, à l’exception du roi et de son épouse, Madame Fière l’orgueilleuse, qui était d’une grande courtoisie et d’une grande beauté [...]
Ils éperonnèrent leur cheval, et s’en allèrent au grand trot. Ils arrivèrent à proximité de la haie où Couard s’était couché. Leur faim était plus grande que de coutume, et ils n’eurent aucune envie de jeûner : ils pénètrèrent aussitôt dans la haie. Couard, voyant cela, fut pris de frayeur : la peur le fit se lever [...]
Et Renart le piqua de son bourdon. [...]