Bonjour, j'ai besoin d'aide avec cet exercice bien sur les 30 lignes sur brainly sont impossible c'est pour cela que je compléterais le récit pour que le nombre de ligne soit suffisant, je vous remercie d'avance !
Moi, Anne et Lina étions dans la Montagne. Il faisait froid en haut, sur le pic, même si c’était le mois d’aout. C’était un lundi, quand nous nous promenions, nous entendions un bruit. Nous pensions que c’était seulement le vent, nous n’y avons pas vraiment pensé, honnêtement. On aurai dit que le bruit nous suivait, puis je vis, que sur le côté du chemin, les arbustes bougeaient, où nos ombres se plaçaient. J’u très peur, et je montrai du doigt les mouvement des boules de verdures à Anne. Elle cria, Lina se retourna, elle était très en avance, mais les arbuste bougeaient sous son ombre, de même que pour moi et Anne. Elle accourut, et les arbustes changèrent de direction et l’accompagnèrent. Anne et moi-même regardaient avec horreur, et on se mit a crier ensemble, elle nous dit de se taire, mais quand elle s’aperçut de l’étrange phénomène, elle regarda devant elle, et elle cria dans une voix rauque : « serpent, serpent, serpent… », on n’entendait plus sa voix, elle devenait trop faible. Soudain, Lina tomba sur le chemin, et Anne se remit à crier.
Le lendemain, c’était mardi, Lina était vivante, mais Anne et moi n’avait aucune expérience médicales, et nous ne savons pas que faire. Après l’incident de lundi, nous l’avions transporté dans notre petit caravane et l’avions mis dans un bain froid. Elle avait retrouvé ses esprits après les bain indésirable dans lequel elle se réveilla. Notre journée n’était pas très intéressante ce jour-là, appart que Lina trouva un grand inflammation dans sa jambe. Après cela, sa jambe se raidit, et se paralysa d’un coup. Elle cria à cause de la douleur. Anne avait un médicament qui endormait, et elle en donna un à Lina, qui s’endormi très doucement, en criant pendant que l’inflammation s’agrandissait, et paralysait tout le côté droit de son corps.
Quand Lina se réveilla, moi et Anne dormaient sur huit chaises à côté en longueur, il faisait jour, at c’était déjà mercredi. Lina nous regardait attentivement, puis suivit des yeux la porte puis jusqu’à moi et Anne avec des yeux remplis d’horreur. Elle arriva à articuler sa bouche endoloris, et cria très fort. Cela réveilla Anne juste à temps de voir un serpent lui mordre la jambe puis redescendre et se diriger vers la porte, ou un homme l’attrapa et partit en courant. Anne s’écroula, et quelque heures plus tard, l’endroit où elle s’était fait mordre, se paralysa comme pour Lina un peu plus tôt.
Jeudi, j’était en colère, et je craignais trop de m’aventurer dehors, je savais que le serpent était près, car plusieurs fois, j’entendit un sifflement dehors la porte. Après m’être occuper de mes copines, je déjeunai quand je vis le même homme que le jour précèdent, avec une cage transportable pour chat, puis il l’ouvrit devant a porte de la maison et le laissa pénétrer dedans. Le monsieur ne pouvait pas me voir d’où je me situais, mais moi, je le voyais très bien. J’avais très peu que le serpent me trouve, donc je ramassai ma fourchette, et je la lançai sur la bête, et elle fut assommé après l’arrivée de mon assiette plein de salades, et puis mon couteau, qui trancha un bout de la queue du serpent. Le serpent était mort, et l’homme dehors ne pouvait le voir. Après avoir entendu le bruit, il devait penser que le serpent avait causé des dommages, mais c’était plutôt l’inverse. Il siffle doucement, je ne l’entendais presque pas, je pense que c’était pour rappeler sa bête féroce, mais en s’apercevant qu’elle ne venait pas, il entra dans la maison. Anne qui regarda tout de son matelas, étendit sa main, et attrapa le téléphone, elle était encore trop fiable pour parler. Lina parla au téléphone, pendant qu’Anne lui tenait, car les bras de Lina ne bougeaient plus. Elles appelèrent la police, qui arriva seulement trois minutes plus tard, car ils étaient en vacances dans un chalet un peu plus bas. Ils attrapèrent le responsable, et se débarrassa du serpent. Je sautai au cou de mes deux amis, en les remerciant, sinon j’aurai pus conter mon dernier jour. La police apporta Anne et Lina à l’hôpital, mais j’insistai de les accompagner.
Jamais je n’aurai cru vivre un épisode pareil pendant les vacances avec mes meilleurs amies.
staropal90
Bonjour, c'est encore moi, si tu as le temps je dois encore écrire un texte, la consigne exact est : Rédigez une dissertation de 200 mots dans laquelle vous décrivez une catastrophe naturelle dont vous avez été témoin. Si vous n'en avez jamais vu, imaginez ce que vous avez vu. (c'est en anglais) après si tu préfère l'écrire en français je ferais la traduction et si tu n'as pas le temps ce n est pas grave
alexiannerussier
si tu as posté la question, tu peux me donner le lien, merci!
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Réponse :
Moi, Anne et Lina étions dans la Montagne. Il faisait froid en haut, sur le pic, même si c’était le mois d’aout. C’était un lundi, quand nous nous promenions, nous entendions un bruit. Nous pensions que c’était seulement le vent, nous n’y avons pas vraiment pensé, honnêtement. On aurai dit que le bruit nous suivait, puis je vis, que sur le côté du chemin, les arbustes bougeaient, où nos ombres se plaçaient. J’u très peur, et je montrai du doigt les mouvement des boules de verdures à Anne. Elle cria, Lina se retourna, elle était très en avance, mais les arbuste bougeaient sous son ombre, de même que pour moi et Anne. Elle accourut, et les arbustes changèrent de direction et l’accompagnèrent. Anne et moi-même regardaient avec horreur, et on se mit a crier ensemble, elle nous dit de se taire, mais quand elle s’aperçut de l’étrange phénomène, elle regarda devant elle, et elle cria dans une voix rauque : « serpent, serpent, serpent… », on n’entendait plus sa voix, elle devenait trop faible. Soudain, Lina tomba sur le chemin, et Anne se remit à crier.
Le lendemain, c’était mardi, Lina était vivante, mais Anne et moi n’avait aucune expérience médicales, et nous ne savons pas que faire. Après l’incident de lundi, nous l’avions transporté dans notre petit caravane et l’avions mis dans un bain froid. Elle avait retrouvé ses esprits après les bain indésirable dans lequel elle se réveilla. Notre journée n’était pas très intéressante ce jour-là, appart que Lina trouva un grand inflammation dans sa jambe. Après cela, sa jambe se raidit, et se paralysa d’un coup. Elle cria à cause de la douleur. Anne avait un médicament qui endormait, et elle en donna un à Lina, qui s’endormi très doucement, en criant pendant que l’inflammation s’agrandissait, et paralysait tout le côté droit de son corps.
Quand Lina se réveilla, moi et Anne dormaient sur huit chaises à côté en longueur, il faisait jour, at c’était déjà mercredi. Lina nous regardait attentivement, puis suivit des yeux la porte puis jusqu’à moi et Anne avec des yeux remplis d’horreur. Elle arriva à articuler sa bouche endoloris, et cria très fort. Cela réveilla Anne juste à temps de voir un serpent lui mordre la jambe puis redescendre et se diriger vers la porte, ou un homme l’attrapa et partit en courant. Anne s’écroula, et quelque heures plus tard, l’endroit où elle s’était fait mordre, se paralysa comme pour Lina un peu plus tôt.
Jeudi, j’était en colère, et je craignais trop de m’aventurer dehors, je savais que le serpent était près, car plusieurs fois, j’entendit un sifflement dehors la porte. Après m’être occuper de mes copines, je déjeunai quand je vis le même homme que le jour précèdent, avec une cage transportable pour chat, puis il l’ouvrit devant a porte de la maison et le laissa pénétrer dedans. Le monsieur ne pouvait pas me voir d’où je me situais, mais moi, je le voyais très bien. J’avais très peu que le serpent me trouve, donc je ramassai ma fourchette, et je la lançai sur la bête, et elle fut assommé après l’arrivée de mon assiette plein de salades, et puis mon couteau, qui trancha un bout de la queue du serpent. Le serpent était mort, et l’homme dehors ne pouvait le voir. Après avoir entendu le bruit, il devait penser que le serpent avait causé des dommages, mais c’était plutôt l’inverse. Il siffle doucement, je ne l’entendais presque pas, je pense que c’était pour rappeler sa bête féroce, mais en s’apercevant qu’elle ne venait pas, il entra dans la maison. Anne qui regarda tout de son matelas, étendit sa main, et attrapa le téléphone, elle était encore trop fiable pour parler. Lina parla au téléphone, pendant qu’Anne lui tenait, car les bras de Lina ne bougeaient plus. Elles appelèrent la police, qui arriva seulement trois minutes plus tard, car ils étaient en vacances dans un chalet un peu plus bas. Ils attrapèrent le responsable, et se débarrassa du serpent. Je sautai au cou de mes deux amis, en les remerciant, sinon j’aurai pus conter mon dernier jour. La police apporta Anne et Lina à l’hôpital, mais j’insistai de les accompagner.
Jamais je n’aurai cru vivre un épisode pareil pendant les vacances avec mes meilleurs amies.
Explications :
Voila