Bonjour j'ai besoin d'aide dans se devoir c'est pour demain.
Mettre le texte au présent et trouver les compléments circonstanciels de temps.
Texte:
Lorsque revient l'été,il lui fallut aller remuer la bête dans sa côte.C'était loin.Le goujat,plus furieux chaque matin,partait de son pas lourd à travers les blés.Les hommes qui travaillaient dans les terres lui criaient,par plaisanterie:
- Hé Zidore,tu f'ras mes compliments u Coco.
Il ne répondait point;mais il cassait,en passant,une baguette dans une haie et,dès qu'il avait déplacé l'attache du vieux cheval,il le laissait se remettre à brouter;puis approchant traîtreusement,il lui cinglait les jarrets.L'animal essayait de fuir,de ruer,d'échapper aux coups,et il tournait au bout de sa corde comme s'il eût été enfermé dans une piste.Et le gars le frappait avec rage,courant derrière,acharné,les dents serrées par la colère.Puis il s'en allait lentement,sans se retourner,tandis que le cheval le regardait partir de son œil de vieux,les côtes saillantes,essoufflé d'avoir trotté.Et il ne rebaissait vers l'herbe sa tête osseuse et blanche qu'après avoir vu disparaître au loin la blouse bleue du jeune paysan.
Voila le texte et merci davantage pour m'aider.
Mettre le texte au présent et trouver les compléments circonstanciels de temps.
Texte:
Lorsque revient l'été,il lui fallut aller remuer la bête dans sa côte.C'était loin.Le goujat,plus furieux chaque matin,partait de son pas lourd à travers les blés.Les hommes qui travaillaient dans les terres lui criaient,par plaisanterie:
- Hé Zidore,tu f'ras mes compliments u Coco.
Il ne répondait point;mais il cassait,en passant,une baguette dans une haie et,dès qu'il avait déplacé l'attache du vieux cheval,il le laissait se remettre à brouter;puis approchant traîtreusement,il lui cinglait les jarrets.L'animal essayait de fuir,de ruer,d'échapper aux coups,et il tournait au bout de sa corde comme s'il eût été enfermé dans une piste.Et le gars le frappait avec rage,courant derrière,acharné,les dents serrées par la colère.Puis il s'en allait lentement,sans se retourner,tandis que le cheval le regardait partir de son œil de vieux,les côtes saillantes,essoufflé d'avoir trotté.Et il ne rebaissait vers l'herbe sa tête osseuse et blanche qu'après avoir vu disparaître au loin la blouse bleue du jeune paysan.
Voila le texte et merci davantage pour m'aider.
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Lorsque revient l'été, il lui faut aller remuer la bête dans sa côte. C'est loin. Le goujat, plus furieux chaque matin, part de son pas lourd à travers les blés. Les hommes qui travaillent dans les terres lui crient, par plaisanterie :
- Hé Zidore, tu fais mes compliments u Coco.
Il ne répond point; mais il casse, en passant, une baguette dans une haie et, dès qu'il déplace l'attache du vieux cheval, il le laisse se remettre à brouter; puis approchant traîtreusement, il lui cingle les jarrets. L'animal essaie de fuir, de ruer, d'échapper aux coups, et il tourne au bout de sa corde comme s'il est enfermé dans une piste. Et le gars le frappe avec rage, courant derrière, acharné, les dents serrées par la colère. Puis il s'en va lentement, sans se retourner, tandis que le cheval le regarde partir de son œil de vieux, les côtes saillantes, essoufflé d'avoir trotté. Et il ne rebaisse vers l'herbe sa tête osseuse et blanche qu'après avoir vu disparaître au loin la blouse bleue du jeune paysan.