Bonjour j'ai besoin d'aide pour de la réecriture en français :) Je compte sur vous pour m'aider, merci :)
Vous réécrirez cet extrait en le mettant au présent et en remplaçant la première personne du singulier par la première personne du pluriel.
A la tombée de la nuit, je suis monté vers le plateau par cette route qui domine la ville. C’était si étrange. Les Allemands sont à une dizaine de kilomètres. Ils entreront dans la ville demain matin sans doute. Et c’était un soir comme tous les soirs. Les gens prenaient le frais devant les portes. La débâcle a fini de s’écouler vers le sud et nous étions seuls sur la route.
17 juin 1940 Voilà, c’est fini. Un vieil homme qui n’a plus même la voix d’un homme nous a signifié à midi trente que cette nuit il avait demandé la paix. Je pense à toute la jeunesse. Il était cruel de la voir partir à la guerre. Mais est-il moins cruel de la contraindre à vivre dans un pays déshonoré? Je ne croirai jamais que les hommes soient faits pour la guerre. Mais je sais qu’ils ne sont pas non plus faits pour la servitude.»
Question Par quelle expression, l'auteur désigne-t-il le maréchal Pétain au début du texte ? Quelle est la figure de style utilisée ? Quelle image Jean Guéhenno donne-t-il du maréchal ?
Vous réécrirez cet extrait en le mettant au présent et en remplaçant la première personne du singulier par la première personne du pluriel.
A la tombée de la nuit, nous montons vers le plateau par cette route qui domine la ville. C’est si étrange. Les Allemands sont à une dizaine de kilomètres. Ils entreront dans la ville demain matin sans doute. Et c’est un soir comme tous les soirs. Les gens prennent le frais devant les portes. La débâcle finit de s’écouler vers le sud et nous sommes seuls sur la route.
17 juin 1940 Voilà, c’est fini. Un vieil homme qui n’a plus même la voix d’un homme nous a signifié à midi trente que cette nuit il avait demandé la paix. Je pense à toute la jeunesse. Il était cruel de la voir partir à la guerre. Mais est-il moins cruel de la contraindre à vivre dans un pays déshonoré? Je ne croirai jamais que les hommes soient faits pour la guerre. Mais je sais qu’ils ne sont pas non plus faits pour la servitude.»
Question Par quelle expression, l'auteur désigne-t-il le maréchal Pétain au début du texte ? Un vieil homme
Quelle est la figure de style utilisée ? Une paraphrase
Quelle image Jean Guéhenno donne-t-il du maréchal ? Il nous donne l'image d'un homme fini, déshonoré et sans plus aucun espoir.
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Bonjour,Vous réécrirez cet extrait en le mettant au présent et en remplaçant la première personne du singulier par la première personne du pluriel.
A la tombée de la nuit, nous montons vers le plateau par cette route qui domine la ville. C’est si étrange. Les Allemands sont à une dizaine de kilomètres. Ils entreront dans la ville demain matin sans doute. Et c’est un soir comme tous les soirs. Les gens prennent le frais devant les portes. La débâcle finit de s’écouler vers le sud et nous sommes seuls sur la route.
17 juin 1940
Voilà, c’est fini. Un vieil homme qui n’a plus même la voix d’un homme nous a signifié à midi trente que cette nuit il avait demandé la paix.
Je pense à toute la jeunesse. Il était cruel de la voir partir à la guerre. Mais est-il moins cruel de la contraindre à vivre dans un pays déshonoré? Je ne croirai jamais que les hommes soient faits pour la guerre. Mais je sais qu’ils ne sont pas non plus faits pour la servitude.»
Question
Par quelle expression, l'auteur désigne-t-il le maréchal Pétain au début du texte ?
Un vieil homme
Quelle est la figure de style utilisée ?
Une paraphrase
Quelle image Jean Guéhenno donne-t-il du maréchal ?
Il nous donne l'image d'un homme fini, déshonoré et sans plus aucun espoir.