bonjour j'ai besoin d'aide s'il vous plait je dois rediger un texte THÉÂTRAL mais je n'y arrive pas je vousdrai que le texte soit dans L'UNIVERS DE LA FANTAISIE. Les personnages principaux sont les suivant : Feyre (la reine) et Rhys(le roi) Ils habiterai dans le royaume de GREENDENVALD .
Voici le sujet : Sujet : Ecrivez un dialogue de type théâtral dans lequel deux personnages s'interrogent sur la façon de gouverner. Ceux-là sont en désaccord. L'un pense que celui qui gouverne une nation doit laisser de nombreuses libertés au peuple. L'autre pense que le dirigeant doit poser des lois strictes pour maîtriser ses faits et gestes. Vous présenterez les arguments des deux personnages et emploierez des termes qui montrent leur opposition. Pensez à utiliser des didascalies. N'utilisez pas d'expressions familières ou de mots familiers. Le texte doit avoir plus de 30 repliques . Merci d'avance de vitre aide
Personnages : - Feyre, la reine de Greendenvald - Rhys, le roi de Greendenvald
(La scène se déroule dans une grande salle du palais royal de Greendenvald. Feyre et Rhys sont assis autour d'une table.)
Feyre : (d'un air soucieux) Rhys, il est temps que nous parlions de la façon de gouverner notre royaume.
Rhys : (d'un ton arrogant) Ah bon ? Et pourquoi cette soudaine préoccupation, ma chère Feyre ? Notre gouvernance ne vous convient plus ?
Feyre : (d'un ton ferme) Je ne suis pas sûre que notre façon de gouverner soit la plus adaptée, Rhys. Nous pourrions faire mieux.
Rhys : (d'un air amusé) Et que suggérez-vous, Feyre ? Que nous abandonnions notre autorité et que nous laissions le peuple faire ce qu'il veut ?
Feyre : (calme) Non, pas du tout. Je propose simplement que nous soyons plus à l'écoute des besoins et des demandes de notre peuple. Peut-être que nous pourrions être moins rigides dans nos lois.
Rhys : (fronçant les sourcils) Mais comment pouvons-nous maintenir l'ordre si nous ne sommes pas fermes dans nos décisions ? Si nous devenons trop conciliants, le peuple perdra tout respect pour nous.
Feyre : (sincère) Je ne dis pas que nous devons être faibles, Rhys. Mais nous pourrions être plus justes dans nos lois. Écouter le peuple nous aiderait à mieux comprendre leurs besoins.
Rhys : (insistant) Mais qui décidera alors ce qui est juste ? Nous avons besoin de lois strictes pour maîtriser nos faits et gestes.
Feyre : (impatiente) Je ne suis pas en train de dire que nous devons tout accepter. Mais il y a un équilibre à trouver, Rhys. Nous devons être fermes, mais justes.
Rhys : (dédaigneux) Vous êtes trop indulgente, Feyre. Vous ne comprenez pas que nous avons besoin d'une main ferme pour gouverner notre royaume. Nous ne pouvons pas perdre le contrôle.
Feyre : (ferme) Et vous, Rhys, êtes trop autoritaire. Vous ne voyez pas que nous devons considérer les besoins de notre peuple. Nous ne pouvons pas les opprimer.
Rhys : (soupirant) Nous ne serons jamais d'accord sur ce point, Feyre. Mais nous pouvons convenir que nous avons besoin d'une gouvernance forte pour maintenir l'ordre dans notre royaume.
Feyre : (concluant) Oui, mais nous avons également besoin d'une gouvernance juste pour gagner la confiance de notre peuple.
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Personnages :
- Feyre, la reine de Greendenvald
- Rhys, le roi de Greendenvald
(La scène se déroule dans une grande salle du palais royal de Greendenvald. Feyre et Rhys sont assis autour d'une table.)
Feyre : (d'un air soucieux) Rhys, il est temps que nous parlions de la façon de gouverner notre royaume.
Rhys : (d'un ton arrogant) Ah bon ? Et pourquoi cette soudaine préoccupation, ma chère Feyre ? Notre gouvernance ne vous convient plus ?
Feyre : (d'un ton ferme) Je ne suis pas sûre que notre façon de gouverner soit la plus adaptée, Rhys. Nous pourrions faire mieux.
Rhys : (d'un air amusé) Et que suggérez-vous, Feyre ? Que nous abandonnions notre autorité et que nous laissions le peuple faire ce qu'il veut ?
Feyre : (calme) Non, pas du tout. Je propose simplement que nous soyons plus à l'écoute des besoins et des demandes de notre peuple. Peut-être que nous pourrions être moins rigides dans nos lois.
Rhys : (fronçant les sourcils) Mais comment pouvons-nous maintenir l'ordre si nous ne sommes pas fermes dans nos décisions ? Si nous devenons trop conciliants, le peuple perdra tout respect pour nous.
Feyre : (sincère) Je ne dis pas que nous devons être faibles, Rhys. Mais nous pourrions être plus justes dans nos lois. Écouter le peuple nous aiderait à mieux comprendre leurs besoins.
Rhys : (insistant) Mais qui décidera alors ce qui est juste ? Nous avons besoin de lois strictes pour maîtriser nos faits et gestes.
Feyre : (impatiente) Je ne suis pas en train de dire que nous devons tout accepter. Mais il y a un équilibre à trouver, Rhys. Nous devons être fermes, mais justes.
Rhys : (dédaigneux) Vous êtes trop indulgente, Feyre. Vous ne comprenez pas que nous avons besoin d'une main ferme pour gouverner notre royaume. Nous ne pouvons pas perdre le contrôle.
Feyre : (ferme) Et vous, Rhys, êtes trop autoritaire. Vous ne voyez pas que nous devons considérer les besoins de notre peuple. Nous ne pouvons pas les opprimer.
Rhys : (soupirant) Nous ne serons jamais d'accord sur ce point, Feyre. Mais nous pouvons convenir que nous avons besoin d'une gouvernance forte pour maintenir l'ordre dans notre royaume.
Feyre : (concluant) Oui, mais nous avons également besoin d'une gouvernance juste pour gagner la confiance de notre peuple.
(fin de la scène)