Bonjour j'ai du mal à comprendre ce texte a partir de " il est possible "quelqu'un peut il m'expliquer svp ? Merci Celui qui laisse le monde, ou du moins son entourage, tracer pour lui le plan de sa vie n’a besoin que de la faculté d’imitation des singes. Celui qui choisit lui-même sa façon de vivre utilise toutes ses facultés : l’observation pour voir, le raisonnement et le jugement pour prévoir, l’activité pour recueillir les matériaux en vue d’une décision, le discernement pour décider et, quand il a décidé, la fermeté et la maîtrise de soi pour s’en tenir à sa décision délibérée. Il lui faut avoir et exercer ces qualités dans l’exacte mesure où il détermine sa conduite par son jugement et ses sentiments personnels. Il est possible qu’il soit sur une bonne voie et préservé de toute influence nuisible sans aucune de ces choses. Mais quelle sera sa valeur relative en tant qu’être humain ? Ce qui importe réellement, ce n’est pas seulement ce que font les hommes, mais le genre d’homme qu’ils sont en le faisant. Parmi les œuvres de l’homme que la vie s’ingénie à perfectionner et à embellir, la plus importante est sûrement l’homme lui-même.
Je ne suis pas sur si c'est cette réponse que tu cherche , mais je la met quand même , (on sait jamais, sa peut servir) .
Explications :
Dans son manifeste coécrit avec sa femme en 1859, De la liberté, John Stuart Mill se veut en faveur d'une politique basée sur le dialogue et la liberté individuelle d'opinion. Ainsi, la question est ici tournée sur le rôle des gouvernements dans la société économique, entre libéralisme pur et interventionnisme, mais aussi, sur le danger de l'opinion publique, notion chère aux libéraux et à John Stuart Mill.
Lista de comentários
Bonjour :)
Je ne suis pas sur si c'est cette réponse que tu cherche , mais je la met quand même , (on sait jamais, sa peut servir) .
Explications :
Dans son manifeste coécrit avec sa femme en 1859, De la liberté, John Stuart Mill se veut en faveur d'une politique basée sur le dialogue et la liberté individuelle d'opinion. Ainsi, la question est ici tournée sur le rôle des gouvernements dans la société économique, entre libéralisme pur et interventionnisme, mais aussi, sur le danger de l'opinion publique, notion chère aux libéraux et à John Stuart Mill.