1. Rica trouve la mode en France changeante, et les femmes capricieuses et asservies à ces changements et elles sont exigeantes. Ces changements peuvent même avoir des conséquences sur l'architecture des maisons. Ces préoccupations semblent pourtant futiles, elles ne durent qu'un temps. On les aura vite oubliées et on sera déjà à attendre celles que l'on ne connaît pas.
2. a. En critiquant leur hauteur immense, qui est une hyperbole, le narrateur moque le ridicule et l'extravagance de la mode française.
- des très hauts talons faisant office de piédestal
- le fils méconnaît le portrait de sa mère, tant l’habit avec lequel est est peinte lui paraît étranger,
- les visages au milieu d’elle-mêmes,
- les femmes avaient de la taille et des dents,
- les filles ne sont plus faites comme leur mère,
- la quantité prodigieuse de mouches qui disparaissent.
b. Le lecteur trouve le texte plaisant, plus facile à lire et n'a pas d'a priori sur les critiques que le narrateur relève.
c. L'auteur utilise l'humour, voire une caricature, pour parler de l’attitude capricieuse des Français dans le domaine de la mode vestimentaire. Il critique le suivisme et l'inconstance de la mode dans la société française.
3. Oui. Les femmes sont changeantes, capricieuses et suivent servilement la tendance vestimentaire. Le narrateur trouve cette mode fantaisiste, rapide, surprenante, extravagante, ridicule dans les costumes et les coiffures, mais adoptées par toutes les femmes, sous peine d'être déclarées antiques.
4. a. Dans le dernier paragraphe, le narrateur moque le fait que même le roi influence la mode en France.
b. On peut dire que le fanatisme des femmes pour la mode est similaire à la servitude des sujets. Le narrateur élargit l'asservissement à la mode à l'asservissement au roi. En vérité, il critique le fait que les sujets manquent de liberté en tout, socialement, psychologiquement, politiquement.
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Bonjour,
1. Rica trouve la mode en France changeante, et les femmes capricieuses et asservies à ces changements et elles sont exigeantes. Ces changements peuvent même avoir des conséquences sur l'architecture des maisons. Ces préoccupations semblent pourtant futiles, elles ne durent qu'un temps. On les aura vite oubliées et on sera déjà à attendre celles que l'on ne connaît pas.
2. a. En critiquant leur hauteur immense, qui est une hyperbole, le narrateur moque le ridicule et l'extravagance de la mode française.
- des très hauts talons faisant office de piédestal
- le fils méconnaît le portrait de sa mère, tant l’habit avec lequel est est peinte lui paraît étranger,
- les visages au milieu d’elle-mêmes,
- les femmes avaient de la taille et des dents,
- les filles ne sont plus faites comme leur mère,
- la quantité prodigieuse de mouches qui disparaissent.
b. Le lecteur trouve le texte plaisant, plus facile à lire et n'a pas d'a priori sur les critiques que le narrateur relève.
c. L'auteur utilise l'humour, voire une caricature, pour parler de l’attitude capricieuse des Français dans le domaine de la mode vestimentaire. Il critique le suivisme et l'inconstance de la mode dans la société française.
3. Oui. Les femmes sont changeantes, capricieuses et suivent servilement la tendance vestimentaire. Le narrateur trouve cette mode fantaisiste, rapide, surprenante, extravagante, ridicule dans les costumes et les coiffures, mais adoptées par toutes les femmes, sous peine d'être déclarées antiques.
4. a. Dans le dernier paragraphe, le narrateur moque le fait que même le roi influence la mode en France.
b. On peut dire que le fanatisme des femmes pour la mode est similaire à la servitude des sujets. Le narrateur élargit l'asservissement à la mode à l'asservissement au roi. En vérité, il critique le fait que les sujets manquent de liberté en tout, socialement, psychologiquement, politiquement.
j'espère t'avoir aidé
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