Bonjour j'ai un devoir à rendre à la rentrée en spé humanités (nouveau bac). Je devais lire les animaux dénaturés de Vercors (fait) mais je ne trouve pas mon plan pour les questions de ma prof (humanités pas philo). Il y en a 7 au total :
1. Ce récit vous semble-t-il totalement imaginaire ?
2. Quelles réflexions sur la nature humaine la découverte des tropis a-t-elle
provoquées ?
3. Comment devons-nous traiter les animaux?
4. Pouvons-nous traiter les animaux comme bon nous semble?
5. L’homme est-il supérieur à l’animal ?
6. Quel intérêt l’homme peut-il avoir à adopter une vision anthropomorphique de
l’animal ?
7. Le mode de vie des tropis présente-t-il une nouvelle culture ?
je ne dois qu'en choisir qu'une. J'espère que vous pourrez m'aider. Merci beaucoup
Explications : 1) Je n'ai pas connaissance de ce récit.
2) question de rapport entre l'animal et l'homme. Ils peuvent craindre l'homme, car ils font parties des animaux libres, certains disent sauvage, d'autres disent domestiques, pourtant, les deux peuvent craindre l'homme, à lui de considérer l'animal dans le respect de sa nature.
3) Bien évidemment, en dehors du fait que nous les tuons pour vivre, nous devons penser que ce sont des êtres vivant (au même titre que nous) ils peuvent souffrir,, ils ont les mêmes sensation que nous, protection de leur progéniture. la peur est semblable à la nôtre.
On doit les traiter avec respect, on ne peu parler d'amour, cela est réservé aux animaux domestiques (certains) les autres même avec le respect, la morale, nous les abattons, la question: que pensent ces ses gens qui le font étant leur métier? pitié ? plaisir? pas d'émotion?.
4) La réponse est non, absolument pas, il est un être vivant comme nous,mais bas et aime et protège ses petits, rien de différent par rapport à nous.
5) Oui, obligatoirement, nous pensons, l'animal est plus instinctif, nous écrivons, nous sommes dotés de plus de moyens que l'animal, nous fabriquons, nous cherchons, nous progressons alors que l'animal s'adapte.
6) Cela fait beaucoup partie de la mythologie, pensant qu'ils y a des bases inconnues, elles sont là, à quoi pensaient ceux qui ont écrit ces existences possibles, elles avaient leur place à l'époque, mais aujourd'hui, ne croyant pas aux mêmes choses, on continue de les apprendre, il y a donc une utilité.
7) Une culture de doute, de séparation ou peut être d'unité, tout dépend de notre façon de voir.
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Réponse : Bonjour,
Explications : 1) Je n'ai pas connaissance de ce récit.
2) question de rapport entre l'animal et l'homme. Ils peuvent craindre l'homme, car ils font parties des animaux libres, certains disent sauvage, d'autres disent domestiques, pourtant, les deux peuvent craindre l'homme, à lui de considérer l'animal dans le respect de sa nature.
3) Bien évidemment, en dehors du fait que nous les tuons pour vivre, nous devons penser que ce sont des êtres vivant (au même titre que nous) ils peuvent souffrir,, ils ont les mêmes sensation que nous, protection de leur progéniture. la peur est semblable à la nôtre.
On doit les traiter avec respect, on ne peu parler d'amour, cela est réservé aux animaux domestiques (certains) les autres même avec le respect, la morale, nous les abattons, la question: que pensent ces ses gens qui le font étant leur métier? pitié ? plaisir? pas d'émotion?.
4) La réponse est non, absolument pas, il est un être vivant comme nous,mais bas et aime et protège ses petits, rien de différent par rapport à nous.
5) Oui, obligatoirement, nous pensons, l'animal est plus instinctif, nous écrivons, nous sommes dotés de plus de moyens que l'animal, nous fabriquons, nous cherchons, nous progressons alors que l'animal s'adapte.
6) Cela fait beaucoup partie de la mythologie, pensant qu'ils y a des bases inconnues, elles sont là, à quoi pensaient ceux qui ont écrit ces existences possibles, elles avaient leur place à l'époque, mais aujourd'hui, ne croyant pas aux mêmes choses, on continue de les apprendre, il y a donc une utilité.
7) Une culture de doute, de séparation ou peut être d'unité, tout dépend de notre façon de voir.
Je souhaite vous avoir aidé.