Bonjour, j'ai un DM pour demain très important il faut juste rajouter 2 remarques du narrateur indiquant qu'il s'inscrit dans la démarche réaliste de mon texte suivant :
"Je me situais dans une banque de Paris où mon tour n'était pas encore venu d'être reçut par ma banquière alors ne sachant que faire, je portais mon regard sur un homme à ma gauche, un banquier visiblement. Je regardais son visage en lame de couteau, ses lèvres minces et ses petits yeux noirs plissés, ses cheveux gras. Je le trouvais étrange, il restait plutôt loin de ses clients, cependant, il n'était pas vraiment agréable, il agissait tel un vautour au dessus de ses proies, prêt à attaquer à n'importe quel moment ... Rien ne donnait l'envie d'être reçu par cet homme. Il y avait devant lui, tout un tas de feuilles et de quoi écrire, tout semblait faire barrage, à la personne qui viendrait s'asseoir devant lui. Il voulait mettre des distances avec ses interlocuteurs cela ne faisait pas de doutes. De toutes façons qui aurait eu l'espérance de s'installer face à cet homme ? Je le voyais prendre des dossiers et les examiner avec une telle concentration, qu'il en était inquiétant. Il prit un instant, et regarda à nouveau ses feuilles et avec un rictus désagréable à voir il fit des calculs. Je l'entendais émettre quelques mots qui indiquaient qu'il était ravi de ses comptes.
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telephone16
"Je me situais dans une banque de Paris où mon tour n'était pas encore venu d'être reçu par ma banquière. Alors ne sachant que faire, je portai mon regard sur un homme à ma gauche, un banquier visiblement. Je regardais son visage en lame de couteau, ses lèvres minces, ses petits yeux noirs plissés, ses cheveux gras. Je le trouvais étrange, il restait plutôt éloigné de ses clients. Cependant, il n'était pas vraiment agréable, il agissait tel un vautour au dessus de ses proies, prêt à attaquer à n'importe quel moment ... Rien ne donnait l'envie d'être reçu par cet homme. Devant lui, tout un tas de feuilles et de quoi écrire, tout semblait faire barrage, à la personne qui viendrait s'asseoir devant lui. Il voulait mettre des distances avec ces interlocuteurs, cela ne faisait pas aucun doute. De toute façon qui aurait eu l'espoir de s'installer face à cet homme ? Je le voyais prendre des dossiers et les examiner avec une telle concentration, qu'il en était inquiétant. Il prit un instant, et regarda à nouveau ses feuilles, avec un rictus désagréable à voir, il fit des calculs. Je l'entendais émettre quelques mots qui indiquaient qu'il était ravi de ses comptes. Vraiment il était fait pour ce métier. Un regard à sa montre me fit ressentir qu'il attendait quelqu'un. Etrange cette façon des froncer ses sourcils, un sentiment inquiet me gagna, voulait-il converser avec autrui ou se donnait-il un air de contenance. Soudain, il éternua. Son visage prit une expression de gêne face à la clientèle, et nerveusement, chercha me semble-t-il un mouchoir !
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Rien ne donnait l'envie d'être reçu par cet homme. Devant lui, tout un tas de feuilles et de quoi écrire, tout semblait faire barrage, à la personne qui viendrait s'asseoir devant lui.
Il voulait mettre des distances avec ces interlocuteurs, cela ne faisait pas aucun doute.
De toute façon qui aurait eu l'espoir de s'installer face à cet homme ?
Je le voyais prendre des dossiers et les examiner avec une telle concentration, qu'il en était inquiétant. Il prit un instant, et regarda à nouveau ses feuilles, avec un rictus désagréable à voir, il fit des calculs. Je l'entendais émettre quelques mots qui indiquaient qu'il était ravi de ses comptes. Vraiment il était fait pour ce métier. Un regard à sa montre me fit ressentir qu'il attendait quelqu'un. Etrange cette façon des froncer ses sourcils, un sentiment inquiet me gagna, voulait-il converser avec autrui ou se donnait-il un air de contenance. Soudain, il éternua. Son visage prit une expression de gêne face à la clientèle, et nerveusement, chercha me semble-t-il un mouchoir !