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Au XXIème siècle on constate que certains pays pauvres, anciennement colonisés ou non, commencent à se développer mais chacun à son rythme en respectant plus ou moins les trois piliers du développement durable. Comme exemple concret, on ne dit plus les pays sous-développés mais les pays en voie de développement. Leur nom et leur statut a récemment changé et ils sont en train de se développer tel que la Chine qui faisant partie de la famille des BRIKS avec l’Afrique du sud la Russie le Brésil et l’Inde sont dans cette catégorie les pays les plus avancés. 
Certains comme la Chine qui s’est développée très vite dépassent même de nos jours les pays du nord et devient la première puissance mondiale avec l’Amérique. 
Cependant ces pays se développent sans respecter les trois piliers du développement durable tel que la Chine qui devient le pays le plus pollué avec vingt villes des plus polluées au monde et pourtant malgré son taux de croissance de développement la population reste globalement aussi pauvre. 
Pour empêcher que cela arrive dans tous les pays, certains se dirigent vers la possibilité de se centrer plus sur le pilier écologique et se lancent dans des quartiers durables. Comme quartier durable on peut prendre l’exemple de Fribourg qui est une ville durable avec six éoliennes des micros centrales et des panneaux voltaïques ou Dongtan qui est une Eco ville de 86 km², qui pour son environnement détient une interdiction aux polluants et essaye de réduire les trajets. Elle utilise tout type d’énergie.
Mais ces Eco villes malgré le fait qu’elles aient une empreinte écologique très faible sont très chères et sont contraires à un but de mixité sociale. Cette dernière fait partie des objectifs de l’agenda 21 car en cas d’absence de mixité sociale a un impact sur l’environnement du fait que les migrations pendulaires sont de plus grandes distances pour les populations s’installant loin du centre. C’est pour cela que les villes mélangent les pavillons et les appartements.

L’industrialisation des pays de l’hémisphère nord a considérablement amélioré le niveau de vie de ses habitants en transformant leur mode de vie. Les campagnes se sont dépeuplées et les villes se sont développées, certaines sont devenues des mégalopoles. Ces transformations n’ont pas respecté l’environnement et ont entraîné des pollutions de l’eau, de l’air et du sol, qui provoquent aujourd’hui des problèmes de santé publique. En se développant, les villes ont entraîné des ségrégations sociales et spatiales entre les plus pauvres et les plus riches. Les pays du sud tentent de rattraper leur retard en appliquant les mêmes règles et deviennent à leur tour les pays les plus pollués du monde et les plus inégalitaires. Les pays du nord ont pris conscience des graves conséquences de leur développement non contrôlés. Ils tentent d’y remédier en aidant les pays du sud financièrement et en les conseillant pour ne pas reproduire les mêmes erreurs. Les pays les plus développés sont les plus gros consommateurs d’énergies. Comme les sources d’énergies ne sont pas inépuisables les dépenses d’énergie doivent être impérativement contrôlées par des économies, qui peuvent porter sur l’isolement des habitations, la réduction des trajets entre les habitations et les lieux de travail et sur les recherches d’énergies nouvelles renouvelables. Pour lutter contre les ségrégations sociales des grandes cités urbaines il est nécessaire que tous les habitants puissent accéder à tous les types de logement, ce qui implique une amélioration de leurs ressources financières par une meilleure répartition des richesses du pays dans lequel ils vivent.