Bonjour j’ai une rédaction à faire et je voudrais que quelqu’un puisse m’aider à y répondre svp voici le sujet: Au XIXème siècle, un jeune campagnard se rend pour la première fois dans une grande ville : imaginez ce qu’il découvre et la manière dont il le voit. C’est Important SVP
Monter à paris était son rêve. Il n'était pas approuvé par ses parents qui menaient une vie bourgeoise en province mais les journaux qu'il lisait en cachette, des amis qui lui écrivaient, lui avaient monté la tête comme disait son père et un soir, il déclara vouloir partir et découvrir la capitale. Pour lui, on ne réussissait qu'à Paris. persuadé que ce serait une déconvenue, le père ne lui alloua qu'une petite rente qui ne permettrait pas de faire des folies. Il arriva donc dans une grande gare et fut d'abord ébloui par l'animation, la foule. Il sortit sur un grand boulevard et sortit de sa poche un petit billet qui contenait une adresse gardée précieusement. C'était celle d'un ami peintre qui s'était installé dans la capitale depuis deux ans. Sur l'avenue qu'il remontait à pied, que de voitures à cheval ! Que de promeneurs avec haut de forme et canne. Il avait le tournis, il éprouva une véritable l'ivresse. Il marcha longtemps, longea la Seine, sortit des rues aux grands immeubles haussmanniens. Il arrivait vers des quartiers ouvriers plus modestes, les rues devenaient ruelles, les eaux usées dégoulinaient de partout. Il trouva, après s'être renseigné plus d'une fois, et monta un escalier difficile et frappa à la porte du cinquième étage.
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Monter à paris était son rêve. Il n'était pas approuvé par ses parents qui menaient une vie bourgeoise en province mais les journaux qu'il lisait en cachette, des amis qui lui écrivaient, lui avaient monté la tête comme disait son père et un soir, il déclara vouloir partir et découvrir la capitale. Pour lui, on ne réussissait qu'à Paris. persuadé que ce serait une déconvenue, le père ne lui alloua qu'une petite rente qui ne permettrait pas de faire des folies. Il arriva donc dans une grande gare et fut d'abord ébloui par l'animation, la foule. Il sortit sur un grand boulevard et sortit de sa poche un petit billet qui contenait une adresse gardée précieusement. C'était celle d'un ami peintre qui s'était installé dans la capitale depuis deux ans. Sur l'avenue qu'il remontait à pied, que de voitures à cheval ! Que de promeneurs avec haut de forme et canne. Il avait le tournis, il éprouva une véritable l'ivresse. Il marcha longtemps, longea la Seine, sortit des rues aux grands immeubles haussmanniens. Il arrivait vers des quartiers ouvriers plus modestes, les rues devenaient ruelles, les eaux usées dégoulinaient de partout. Il trouva, après s'être renseigné plus d'une fois, et monta un escalier difficile et frappa à la porte du cinquième étage.
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