Bonjour, j'aurais besoin d'aide pour cet exercice, svp. Transposez au discours indirect le passage suivant. Vous conserverez le temps du verbe introducteur de paroles.
Alors M. d'Hubières intervint : - Ma femme s'est mal expliquée. Nous voulons l'adopter, mais il reviendra vous voir. S'il tourne bien, comme tout porte à croire, il sera notre héritier. Si nous avions, par hasard, des enfants, il partagerait également avec eux. Mais s'il ne répondait pas à nos soins, nous lui donnerions, à sa majorité, une somme de vingt mille francs, qui sera immédiatement déposée en son nom chez un notaire. Et, comme on a aussi pensé à vous, on vous servira jusqu'à votre mort, une rente de cent francs par mois. Avez-vous bien compris ? La fermière s'était levée, toute furieuse. - Vous voulez que j'vous vendions Charlot ? Ah ! mais non ; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère çà ! Ah ! mais non ! Ce serait abomination.
Le discours indirect consiste à rapporter une citation, les paroles de quelqu'un en les reformulant.
Ex : Il m'a dit: " tu es jolie" > il m'a dit que j'étais jolie.
Ici, le verbe introducteur de paroles est au passé simple, donc au passé.
Les verbes des paroles utilisées par M d'Hubières doivent donc être transcrits au passé, en observant cette règle :
passé composé dans les paroles de M d'Hubières > plus-que-parfait dans le discours indirect.
Ex : Alors M d'Hubières intervint : "ma femme s'est mal expliquée" >
Alors M d'Hubières intervint, en disant que sa femme s'était mal expliquée.
présent de l'indicatif et subjonctif présent> imparfait
Ex : " Nous voulons l'adopter" >
Ils voulaient l'adopter
Le futur simple devient conditionnel ( c'est ainsi qu'on exprime le futur dans le passé)
Ex : "mais il reviendra vous voir" >
" mais il reviendrait les voir"
Les pronoms nous deviennent ils, et vous aussi, car le narrateur ne s'inclut pas dans le vous. ( tu verras, cela entraîne des ambiguïtés : l'on ne sait plus trop qui est "ils" )
Alors M d'hubières intervint, en disant que sa femme s'était mal expliquée. Ils voulaient l'adopter, mais il reviendrait les voir. S'il tournait bien, comme tout porte à le croire, il serait leur héritier. S'ils avaient, par hasard, d'autres enfants, il partagerait également avec eux. Mais s'il ne répondait pas à leurs soins, ils lui donneraient, à sa majorité, une somme de vingt mille francs qui serait immédiatement déposée chez le notaire. Et, comme ils avaient aussi pensé à eux, ils leur serviraient jusqu'à leur mort, une rente de cent francs par mois. Avaient-ils bien compris ?
Je pense que tu pourrais continuer seul la suite.
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Matt3164
merci je vais essayer car c'est bien un exercice ou j'ai vraiment du mal
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Le discours indirect consiste à rapporter une citation, les paroles de quelqu'un en les reformulant.
Ex : Il m'a dit: " tu es jolie" > il m'a dit que j'étais jolie.
Ici, le verbe introducteur de paroles est au passé simple, donc au passé.
Les verbes des paroles utilisées par M d'Hubières doivent donc être transcrits au passé, en observant cette règle :
passé composé dans les paroles de M d'Hubières > plus-que-parfait dans le discours indirect.
Ex : Alors M d'Hubières intervint : "ma femme s'est mal expliquée" >
Alors M d'Hubières intervint, en disant que sa femme s'était mal expliquée.
présent de l'indicatif et subjonctif présent> imparfait
Ex : " Nous voulons l'adopter" >
Ils voulaient l'adopter
Le futur simple devient conditionnel ( c'est ainsi qu'on exprime le futur dans le passé)
Ex : "mais il reviendra vous voir" >
" mais il reviendrait les voir"
Les pronoms nous deviennent ils, et vous aussi, car le narrateur ne s'inclut pas dans le vous. ( tu verras, cela entraîne des ambiguïtés : l'on ne sait plus trop qui est "ils" )
Alors M d'hubières intervint, en disant que sa femme s'était mal expliquée. Ils voulaient l'adopter, mais il reviendrait les voir. S'il tournait bien, comme tout porte à le croire, il serait leur héritier. S'ils avaient, par hasard, d'autres enfants, il partagerait également avec eux. Mais s'il ne répondait pas à leurs soins, ils lui donneraient, à sa majorité, une somme de vingt mille francs qui serait immédiatement déposée chez le notaire. Et, comme ils avaient aussi pensé à eux, ils leur serviraient jusqu'à leur mort, une rente de cent francs par mois. Avaient-ils bien compris ?
Je pense que tu pourrais continuer seul la suite.