Bonjour pouvez vous m'aider pour cet exercice svp, merci. Dans le texte suivant, donnez la nature et la fonction des compléments circonstanciels entre parenthèses. Cette période de vide ne m'a pas paru longue, mais terrible, vraiment terrible. (Puis) je revins à moi. Quelque part, tout près, le glas sonnait. Tous les chiens du voisinage hurlaient et, (dans le buisson) juste (devant la fenêtre) brisée, un rossignol chantait. Douleur, terreur, faiblesse, tout m'engourdissait. Le champ du rossignol, je le pris pour la voix de ma mère, revenue sur terre (pour me consoler). Tout le bruit devait avoir réveillé les servantes car je pus entendre leur pieds nus courir (sur le palier). Je les appelai, elles entrèrent et hurlèrent quand elles découvrirent ce qui s'était passé, (quand elles reconnurent le corps étendu près de moi). Le vent s'engouffra (une fois encore) dans la pièce et la porte se referma (en claquant). Elles soulevèrent (alors) le cadavre de ma mère, attendirent que je me fusse levée, puis le reposèrent (délicatement) sur le lit et le recouvrirent. Toutes étaient si énervées, (si effrayées que je leur ordonnai de redescendre dans la salle à manger et d'y boire un verre de vin chacune). Une seconde, la porte se rouvrit, puis claqua (de nouveau). Les servantes hurlèrent et se retirèrent (en désordre), (dans la salle à manger). Je déposai toutes les fleurs que je pus trouver (sur la poitrine de maman).
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1) Indiquez la valeur des Compléments Circonstanciels entre parenthèses (Entre les énormes nuages noirs) apparaissait (parfois) un rayon de lune qui éclairait tout le paysage ; je pus de la sorte me rendre compte que j'étais parvenu au bord de ce qui ressemblait vraiment à une forêt d'ifs et de cyprès. (Comme la neige avait cessé de tomber), je quittai mon abri (pour aller voir de plus près). Je me dis que peut-être je trouverais (là) une maison, fût-elle en ruine, qui me serait un refuge plus sûr. Longeant la lisière du bois, je m'aperçus que j'en étais séparé par un mur bas ; mais (un peu plus loin), j'y trouvais une brèche. (A cet endroit), la forêt de cyprès s'ouvrait en deux rangées parallèles (pour former une allée) conduisant à une masse carrée qui devait être un bâtiment. Mais (au moment précis où je l'aperçus), des nuages voilèrent la lune, et c'est (dans l'obscurité) la plus complète que je remontai l'allée. Je frissonnais de froid tout (en marchant), mais un refuge m'attendait en cet espoir guidait mes pas ; en réalité, j'avançais (tel un aveugle). Je m'arrêtai, étonné du silence soudain. L'orage était passé ; et, en sympathie eût-on dit avec le calme de la nature, mon coeur semblait cesser de battre. Cela ne dura qu'un instant, car la lune surgit (à nouveau) d'entre les nuages et je vis que j'étais (dans un cimetière) et que le grand bâtiment carré, (au bout de l'allée), était un grand tombeau de marbre, blanc (comme la neige) qui le recouvrait presque entièrement et recouvrait le cimetière tout entier.
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