Un valet de chambre de madame la mère arrive et dit, tout effaré, qu'il y a des huissiers qui déménagent la maison de monsieur et de madame. Le marquis s'offense de cette aventure. La veuve l'encourage à aller punir ces coquins-là.
Après que le fils eut longtemps pleuré avec sa mère, il lui dit enfin qu'il ne fallait pas désespérer car cette jeune veuve l'aimait éperdument.
Il retourne donc chez sa maîtresse, la trouve en tête à tête avec un jeune officier fort aimable qui en le reconnaissant, lui demande ce qu'il vient faire en ces lieux, abandonnant ainsi sa mère. Il lui ordonne de repartir chez cette pauvre femme et de l'assurer qu'il lui veut toujours du bien et que si, lui, il veut rentrer dans sa companie, il lui donnera un bon engagement.
Le marquis, stupéfait, la rage au coeur, alla chercher son ancien gouverneur, déposa ses douleurs dans son sein, et lui demanda des conseils. Celui-ci lui proposa de se faire, comme lui, gouverneur d'enfants. Mais, hélas, il ne savait rien et il ne lui avait rien appris et il était la première cause de son malheur.
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Bonjour,
Un valet de chambre de madame la mère arrive et dit, tout effaré, qu'il y a des huissiers qui déménagent la maison de monsieur et de madame. Le marquis s'offense de cette aventure. La veuve l'encourage à aller punir ces coquins-là.
Après que le fils eut longtemps pleuré avec sa mère, il lui dit enfin qu'il ne fallait pas désespérer car cette jeune veuve l'aimait éperdument.
Il retourne donc chez sa maîtresse, la trouve en tête à tête avec un jeune officier fort aimable qui en le reconnaissant, lui demande ce qu'il vient faire en ces lieux, abandonnant ainsi sa mère. Il lui ordonne de repartir chez cette pauvre femme et de l'assurer qu'il lui veut toujours du bien et que si, lui, il veut rentrer dans sa companie, il lui donnera un bon engagement.
Le marquis, stupéfait, la rage au coeur, alla chercher son ancien gouverneur, déposa ses douleurs dans son sein, et lui demanda des conseils. Celui-ci lui proposa de se faire, comme lui, gouverneur d'enfants. Mais, hélas, il ne savait rien et il ne lui avait rien appris et il était la première cause de son malheur.
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