Bonjour j’aurais besoin d’aide pour une rédaction, dont le sujet est: vous vivez en l'an 2050, et l'homme augmenté n'est plus une fiction... Racontez. Merci d’avance bonne journée
Les forces de l'ordre recherchent encore activement numéro 2567, l'homme augmenté s'étant échappé du CNRS, déclama la voix monotone d'une journaliste à la télévision. Monsieur Evans leva les yeux au ciel, excédé. Cela faisait désormais près d'une semaine que cet homme augmenté avait disparu de la circulation et était sur toutes les lèvres. Les chances de le retrouver étaient si minces qu'il se demandait ce qu'avait les autorités à s'acharner ainsi. Puis, il s'intéressa de nouveau aux dires de cette journaliste, qui parlait maintenant de la vie du fugitif.
Ces dernières années, de nouvelles technologies de pointe virent le jour et les chercheurs les plus éminents du monde entier se concertèrent dans le but de créer cet homme bionique, capable de tout, commença t-elle. Au bout de dizaines d'années d'études, ces derniers réalisèrent un exploit, et le premier homme bionique vit le jour mais il ne s'agissait que d'une version bêta qui s'étant révélée défectueuse. Après de nombreux autres essais infructueux, numéro 2567 apparut et devint le plus grand espoir de la science.
Quelle ironie que leur si précieuse expérience disparaisse du jour au lendemain, se dit monsieur Evans. Puis les paroles de la journaliste le rappelèrent à l'ordre : Il voyait plus loin, dans le noir et ne connaissait pas la fatigue. Il vieillissait moins vite, était de constitution solide et ne risquait pas d'être touché par une maladie. Grâce aux progrès techniques, ses capacités mentales et physiques se démultiplièrent au delà des limites du possible. Encore mieux, se dit Evans, Ils n'ont vraiment aucune chance !
Homme avancé, bionique, l'homme à trois milliards de dollars, ou bien numéro 2567, on lui en avait donné des noms. Pourtant, personne ne pouvait se douter qu'il se cachait désormais sous celui de monsieur Evans, un jeune professeur de littérature à Oxford. Assis confortablement dans son divan, ce dernier regardait tranquillement la télévision, un sourire narquois aux lèvres.
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Les forces de l'ordre recherchent encore activement numéro 2567, l'homme augmenté s'étant échappé du CNRS, déclama la voix monotone d'une journaliste à la télévision. Monsieur Evans leva les yeux au ciel, excédé. Cela faisait désormais près d'une semaine que cet homme augmenté avait disparu de la circulation et était sur toutes les lèvres. Les chances de le retrouver étaient si minces qu'il se demandait ce qu'avait les autorités à s'acharner ainsi. Puis, il s'intéressa de nouveau aux dires de cette journaliste, qui parlait maintenant de la vie du fugitif.
Ces dernières années, de nouvelles technologies de pointe virent le jour et les chercheurs les plus éminents du monde entier se concertèrent dans le but de créer cet homme bionique, capable de tout, commença t-elle. Au bout de dizaines d'années d'études, ces derniers réalisèrent un exploit, et le premier homme bionique vit le jour mais il ne s'agissait que d'une version bêta qui s'étant révélée défectueuse. Après de nombreux autres essais infructueux, numéro 2567 apparut et devint le plus grand espoir de la science.
Quelle ironie que leur si précieuse expérience disparaisse du jour au lendemain, se dit monsieur Evans. Puis les paroles de la journaliste le rappelèrent à l'ordre : Il voyait plus loin, dans le noir et ne connaissait pas la fatigue. Il vieillissait moins vite, était de constitution solide et ne risquait pas d'être touché par une maladie. Grâce aux progrès techniques, ses capacités mentales et physiques se démultiplièrent au delà des limites du possible. Encore mieux, se dit Evans, Ils n'ont vraiment aucune chance !
Homme avancé, bionique, l'homme à trois milliards de dollars, ou bien numéro 2567, on lui en avait donné des noms. Pourtant, personne ne pouvait se douter qu'il se cachait désormais sous celui de monsieur Evans, un jeune professeur de littérature à Oxford. Assis confortablement dans son divan, ce dernier regardait tranquillement la télévision, un sourire narquois aux lèvres.