2. Le sujet de "vivez" est le pronom relatif QUI mis pour l'antécédent "frères humains".
5. Ce poème pathétique suscite notre compassion parce que le locuteur nous oblige à regarder ces pendus, ces condamnés et surtout le ton de ce poème est comme une supplique.
Les impératifs du texte : n'ayez, priez, ne soyez, priez.
La mise en garde : "ne soyez pas de notre confrérie" = ne faites pas comme nous et aussi : "n'ayez pas le coeur endurci".
Ces impératifs ont valeur de prière, de demande instance de pitié.
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Réponse :
2. Le sujet de "vivez" est le pronom relatif QUI mis pour l'antécédent "frères humains".
5. Ce poème pathétique suscite notre compassion parce que le locuteur nous oblige à regarder ces pendus, ces condamnés et surtout le ton de ce poème est comme une supplique.
Les impératifs du texte : n'ayez, priez, ne soyez, priez.
La mise en garde : "ne soyez pas de notre confrérie" = ne faites pas comme nous et aussi : "n'ayez pas le coeur endurci".
Ces impératifs ont valeur de prière, de demande instance de pitié.
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