Bonjour, je ne trouve pas une réponse bien construite à ces questions:
1) qu'est ce qu'un journaliste ? Quelles sont ses obligations ? 2) Est-ce que l’on peut accorder notre confiance à tous les médias de la même façon ? Pouvez-vous m'aider s'il vous plait ? Merci d'avance
C’est le code du travail qui prévoit la définition du journaliste : « le journaliste professionnel est celui qui a pour occupation principale, régulière et rétribuée l’exercice de sa profession dans une ou plusieurs publications quotidiennes ou périodiques ou dans une ou plusieurs agences de presse et qui en tire le principal de ses ressources. La loi de 1986, relative à la liberté de communication a permis d’étendre la définition et d’assimiler les journalistes audio-visuels à ceux de la presse écrite. Le travail du journaliste est un travail de type intellectuel portant sur les faits d’actualité. Pour pouvoir revendiquer le titre de journaliste professionnel, il faut exercer une tâche consistant à une participation au processus de recherche (l’enquête, le reportage) à la mise en forme (rédaction) ou à la présentation au public de l’information. L’activité du journaliste doit être son occupation principale mais cela n’exclu pas des activités accessoires. Cette activité qui doit constituer l’essentiel de ses ressources peut se situer dans une ou plusieurs entreprises de presse. Pour être journaliste, il faut appartenir au service rédactionnel d’une publication éditée ou diffusée par une entreprise d’information. Par ailleurs, on considère comme personnel assimilé les correspondants et les collaborateurs d’une rédaction. Le code du travail distingue le journaliste du correspondant mais ne propose aucune définition légale de ce dernier. Parmi les collaborateurs, on peut citer les rédacteurs-traducteurs, les rédacteurs-réviseurs, les reporters-dessinateurs ou encore les reporters-photographes. La seule exigence est que cette collaboration soit régulière et non occasionnelle. La fonction de journaliste implique la possession de la carte d’identité professionnelle. L’attribution de cette carte n’est pas soumise à des conditions de diplômes. Elle résulte du simple constat d’une activité journalistique. La carte ne conditionne pas l’entrée dans l’activité ou sa poursuite. La carte est délivrée par une commission présidée alternativement par un représentant des employeurs et des journalistes. Le candidat à l’obtention de cette carte doit déposer un dossier comportant divers éléments : un justificatif d’identité et de nationalité, un extrait de casier judiciaire, une déclaration sur l’honneur selon laquelle le journalisme est bien sa profession principale, régulière et rétribuée. L’indication des organes d’informations pour lesquelles il travail, l’indication, le cas échéant des autres occupations régulières et rétribuées et enfin l’engagement de faire connaître tout changement dans sa situation. Les demandes de renouvellement sont simplifiées par rapport à ce dossier. Enfin, il existe plusieurs types de cartes : la carte de stagiaire pour ceux qui ont moins de deux ans d’ancienneté dans la profession, la carte de titulaire, la carte provisoire pour les journalistes privée et la carte d’honoraires pour les retraités. Il existe deux types de recours contre les décisions de la commission de la carte. D’une part les recours devant la commission supérieure de la carte d’identité professionnelle des journalistes. Cette commission supérieure se compose d’un président qui est conseillé à la Cour de cassation, de deux magistrats de la Cour d’appel de Paris, d’un représentant des directeurs de journaux et d’un représentant des journalistes. Le délai de recours devant la commission supérieure est de 1mois à compter de la décision contestée, et les recours contre les décisions de la commission supérieure doivent être portés directement devant le conseil d’Etat.
Un journaliste est une personne qui doit t informer sur les dernières nouvelles de notre pays ou même dans le monde ses obligations sont de bien se renseigner pour nous informer. Non pas a tous les média on va plutôt accorder notre confiance au journal de 20 h ou 13 h et BFM tv
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C’est le code du travail qui prévoit la définition du journaliste : « le journaliste professionnel est celui qui a pour occupation principale, régulière et rétribuée l’exercice de sa profession dans une ou plusieurs publications quotidiennes ou périodiques ou dans une ou plusieurs agences de presse et qui en tire le principal de ses ressources. La loi de 1986, relative à la liberté de communication a permis d’étendre la définition et d’assimiler les journalistes audio-visuels à ceux de la presse écrite. Le travail du journaliste est un travail de type intellectuel portant sur les faits d’actualité. Pour pouvoir revendiquer le titre de journaliste professionnel, il faut exercer une tâche consistant à une participation au processus de recherche (l’enquête, le reportage) à la mise en forme (rédaction) ou à la présentation au public de l’information. L’activité du journaliste doit être son occupation principale mais cela n’exclu pas des activités accessoires. Cette activité qui doit constituer l’essentiel de ses ressources peut se situer dans une ou plusieurs entreprises de presse. Pour être journaliste, il faut appartenir au service rédactionnel d’une publication éditée ou diffusée par une entreprise d’information. Par ailleurs, on considère comme personnel assimilé les correspondants et les collaborateurs d’une rédaction. Le code du travail distingue le journaliste du correspondant mais ne propose aucune définition légale de ce dernier. Parmi les collaborateurs, on peut citer les rédacteurs-traducteurs, les rédacteurs-réviseurs, les reporters-dessinateurs ou encore les reporters-photographes. La seule exigence est que cette collaboration soit régulière et non occasionnelle. La fonction de journaliste implique la possession de la carte d’identité professionnelle. L’attribution de cette carte n’est pas soumise à des conditions de diplômes. Elle résulte du simple constat d’une activité journalistique. La carte ne conditionne pas l’entrée dans l’activité ou sa poursuite. La carte est délivrée par une commission présidée alternativement par un représentant des employeurs et des journalistes. Le candidat à l’obtention de cette carte doit déposer un dossier comportant divers éléments : un justificatif d’identité et de nationalité, un extrait de casier judiciaire, une déclaration sur l’honneur selon laquelle le journalisme est bien sa profession principale, régulière et rétribuée. L’indication des organes d’informations pour lesquelles il travail, l’indication, le cas échéant des autres occupations régulières et rétribuées et enfin l’engagement de faire connaître tout changement dans sa situation. Les demandes de renouvellement sont simplifiées par rapport à ce dossier. Enfin, il existe plusieurs types de cartes : la carte de stagiaire pour ceux qui ont moins de deux ans d’ancienneté dans la profession, la carte de titulaire, la carte provisoire pour les journalistes privée et la carte d’honoraires pour les retraités. Il existe deux types de recours contre les décisions de la commission de la carte. D’une part les recours devant la commission supérieure de la carte d’identité professionnelle des journalistes. Cette commission supérieure se compose d’un président qui est conseillé à la Cour de cassation, de deux magistrats de la Cour d’appel de Paris, d’un représentant des directeurs de journaux et d’un représentant des journalistes. Le délai de recours devant la commission supérieure est de 1mois à compter de la décision contestée, et les recours contre les décisions de la commission supérieure doivent être portés directement devant le conseil d’Etat.
Un journaliste est une personne qui doit t informer sur les dernières nouvelles de notre pays ou même dans le monde ses obligations sont de bien se renseigner pour nous informer. Non pas a tous les média on va plutôt accorder notre confiance au journal de 20 h ou 13 h et BFM tv