Bonjour je suis en 3eme et j'aurais besoin d'aide a propos d'un travaux sur un texte que je vais mettre
Merci d'avance a celui qui me le fera et m'aidera car ce travail est vraiment très important
a) Quelle figure de style est employée dans l’expression « Il est amer et doux » (v. 1) ? b) Sur quelle opposition se construit donc ensuite ce poème ? (1,5 points)
c) Dans la deuxième strophe, relevez des expressions qui montrent que la cloche est personnifiée. d) De quelle qualité Baudelaire pare-t-il la cloche ? Relevez trois adjectifs qualificatifs justifiant votre réponse. e) Quel est le ton général de cette strophe ? (2,5 points)
f) Le vers 7 est-il un alexandrin (« Jette fidèlement son cri religieux ») ? Quel phénomène remarquez-vous ? (1 point)
a) Quel est le sujet des deux tercets ? b) Comment ce sujet est-il mis en valeur ? (1,5 points)
Quel est, dans le poème, le point commun entre la cloche des deux premières strophes et l’âme des deux dernières ? Sur quel point Baudelaire les compare-t-il ? Relevez notamment un champ lexical présent dans l’ensemble du poème. (2 points)
a) Quelles sont les caractéristiques de l’âme dans les tercets ? Citez des expressions précises. b) En quoi la description de l’âme s’oppose-t-elle à celle de la cloche ? Vous vous appuierez notamment sur les comparaisons utilisées dans l’un et l’autre cas. (2 points)
) Quelles sont les connotations de la dernière strophe ? Citez précisément le texte pour répondre. b) Relevez les propositions subordonnées relatives qui caractérisent le « blessé ». c) En quoi peut-on dire qu’il y a une progression vers l’horreur ? (2,5 points) Quelles figures de style appuient cette progression ? Citez-en au moins deux.
LA CLOCHE FÊLÉE1
Il est amer et doux, pendant les nuits d’hiver,
D’écouter, près du feu qui palpite et qui fume,
Les souvenirs lointains lentement s’élever
Au bruit des carillons2 qui chantent dans la brume,
Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux
Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante,
Jette fidèlement son cri religieux,
Ainsi qu’un vieux soldat qui veille sous la tente !
Moi, mon âme est fêlée, et lorsqu’en ses ennuis
Elle veut de ses chants peupler l’air froid des nuits,
Il arrive souvent que sa voix affaiblie
Semble le râle3 épais d’un blessé qu’on oublie
Au bord d’un lac de sang, sous un grand tas de morts,
Et qui meurt, sans bouger, dans d’immenses efforts.
CHARLES BAUDELAIRE, « La cloche fêlée », Les Fleurs du mal, édition de 1861.
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a . Un oxymore
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