Bonjour , je suis en première année de CAP et j'ai de la difficultée à faire un texte structurée , je remercie celui ou celles qui pourrais bien m'aider . Le sujet est sur la peur de Maupassant (conte parut le 23 octobre 1882 dans le journal Le Gaulois ).
- Il faut expliquez , qu'elles auraient été votre propres réactions dans de telles circonstances . (( faire une quinzaine de ligne ) . Aidez - moi SVP je vous revaudrais cela. j'offre 15 points pour les personnes pouvant m'aider .
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Commentaires (1)
Bonjour Sandrine :) (je mets tes idées, en essayant de structurer)(donc j'écris le plan entre parenthèses, ça ne fait pas partie du texte) (Mise en situation / introduction) Le navire était perdu au milieu de la mer, battu et rebattu par le mouvement des eaux noires. C'était bien un énorme rocher qui lui perçait le ventre. Nous pouvions rester là des heures et des heures avant d'espérer le moindre secours.L'eau commençait à s'engouffrer peu à peu, la noyade nous guettait tous au moindre mouvement. (1er paragraphe : la montée de la peur) Je sentais l'anxiété grimper en moi, m'envahir peu à peu. Je devais lutter, surtout ne pas me laisser paralyser par ce sentiment aussi noir et envahissant que la nuit et que la catastrophe qui nous arrêtait là. Je devais réagir. Si moi, capitaine, je me laissais aller, c'en serait fini de mon équipage et de tous les passagers. Si moi je ne savais pas réagir, alors personne ne le saurait, les rênes et le pouvoir étaient entre mes mains. Mon rôle était celui du chef de famille, du gouverneur, du commandant, il fallait que je sauve tout ce monde là. Je commençais à respirer plus calmement. (2è paragraphe : la réaction : on s'organise) J'appelais mon équipage, je rendais chacun responsable d'un secteur du bateau : surveillance des eaux qui montent, évacuation des passagers si le bateau penchait trop. Au cas où l'endroit restait accessible, il fallait que chacun soit occupé pour éviter de céder à la panique et ne pas créer ce genre de mouvement horriblement contagieux qui enfle très vite et impossible à endiguer (=à stopper). La panique est destructrice. La tâche attribuée à chacun était de veiller soit sur un plus faible, soit sur un plus petit, afin de garder ses sens en alertes et son cerveau en éveil. Je passais de quartier en quartier, surveillant mes hommes, réconfortant les passagers, toujours rassurés de voir le capitaine, et envoyant régulièrement des signaux d'alerte par radio. (conclusion) Nous avons tenu. Six heures durant. Je suis fier de moi. Je suis fier de mon équipage, fier de mes passagers. Tout le monde a réussi à garder espoir, à ne pas perdre pied, à ne pas céder à la panique. Enfin les secours sont arrivés.
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(je mets tes idées, en essayant de structurer)(donc j'écris le plan entre parenthèses, ça ne fait pas partie du texte)
(Mise en situation / introduction)
Le navire était perdu au milieu de la mer, battu et rebattu par le mouvement des eaux noires. C'était bien un énorme rocher qui lui perçait le ventre. Nous pouvions rester là des heures et des heures avant d'espérer le moindre secours.L'eau commençait à s'engouffrer peu à peu, la noyade nous guettait tous au moindre mouvement.
(1er paragraphe : la montée de la peur)
Je sentais l'anxiété grimper en moi, m'envahir peu à peu. Je devais lutter, surtout ne pas me laisser paralyser par ce sentiment aussi noir et envahissant que la nuit et que la catastrophe qui nous arrêtait là. Je devais réagir. Si moi, capitaine, je me laissais aller, c'en serait fini de mon équipage et de tous les passagers. Si moi je ne savais pas réagir, alors personne ne le saurait, les rênes et le pouvoir étaient entre mes mains. Mon rôle était celui du chef de famille, du gouverneur, du commandant, il fallait que je sauve tout ce monde là. Je commençais à respirer plus calmement.
(2è paragraphe : la réaction : on s'organise)
J'appelais mon équipage, je rendais chacun responsable d'un secteur du bateau : surveillance des eaux qui montent, évacuation des passagers si le bateau penchait trop. Au cas où l'endroit restait accessible, il fallait que chacun soit occupé pour éviter de céder à la panique et ne pas créer ce genre de mouvement horriblement contagieux qui enfle très vite et impossible à endiguer (=à stopper). La panique est destructrice. La tâche attribuée à chacun était de veiller soit sur un plus faible, soit sur un plus petit, afin de garder ses sens en alertes et son cerveau en éveil. Je passais de quartier en quartier, surveillant mes hommes, réconfortant les passagers, toujours rassurés de voir le capitaine, et envoyant régulièrement des signaux d'alerte par radio.
(conclusion)
Nous avons tenu. Six heures durant. Je suis fier de moi. Je suis fier de mon équipage, fier de mes passagers. Tout le monde a réussi à garder espoir, à ne pas perdre pied, à ne pas céder à la panique. Enfin les secours sont arrivés.