bonjour pourriez vous m'aider à trouver les procédés littéraires svp j'ai du mal et je bloque depuis hier
Françaises, je vous le répète encore devons-nous à la hauteur de nos desances, brisons nos fer Il est temps enfin que les femmes sortent de leur honteuse nullité ou l'ignorance l'orgueil et l'injustice des hommes les tiennent asservies depuis si longtemps replacons-nous au temps où nos meres, les Gauloises et les fieres Germaines', deliberucat dans le assemblées publiques, combattaient à coté de leurs époux pour repousser les ennemis de la liberté Françaises, le même sang coule toujours dans nos veines ; ce que nous avons fait à Beauvais, à Versailles, les 5 et 6 octobre er dans plusieurs autres circonstances importantes a décisives, prouve que nous nous ne sommes pas étrangères aux sentiments magnanimes' Reprenons donc poure energie: car si nous voulons conserver notre liberté, il faut que nous nous prépariom a faire les choses les plus sublimes Dans le moment actuel, à cause de la corruption des meurs, elles nous paraitront extraordinaires, peut-être même impossibles; mais bientôt par l'effet des progrès de l'esprit public et des lumières, elles ne seront plus pour nous.que simples et faciles. Citoyennes, pourquoi n'entrerions-nous pas en concurrence avec les hommes prétendent-ils seuls avoir des droits à la gloire ? Non, non... Et nous aussi nous voulons mériter une couronne civique et briguer l'honneur de mourir pour une liberté qui nous est peut-être plus cher qu'a eu, puisque les ciforts du despotisme s appesan- tissaient encore plus durement sur nos teres que sur les leurs. Oui... généreuses citoyennes, vous toutes qui m'entender armons-nous allons nous Bercer deux ou trois fois par semainc aux Champs-Elystes, ou au champ de la Fédération : ouvrons une liste d'Amazones françaises ; et que toutes celles qui aimenr véritablement leur patris viennent sy inscrite (...
Françaises, je vous le répète encore, élevons-nous à la hauteur de nos destinées ; brisons nos fers (métaphore) ; il est temps enfin que les femmes sortent de leur honteuse nullité (hyperbole) , où l'ignorance, l'orgueil, et l'injustice des hommes (énumération) les tiennent asservies (métaphore) depuis si longtemps ; replaçons-nous au temps où nos mères, les Gauloises et les fières Germaines, délibéraient dans les assemblées publiques, combattaient à côté de leurs époux pour repousser les ennemis de la Liberté. (périphrase)
Françaises (anaphore) , le même sang coule toujours dans nos veines ; ce que nous avons fait à Beauvais, à Versailles, les 5 et 6 octobre, et dans plusieurs autres circonstances importantes et décisives, prouve que nous ne sommes pas étrangères aux sentiments magnanimes. Reprenons donc notre énergie ; car si nous voulons conserver notre Liberté, il faut que nous nous préparions à faire les choses les plus sublimes (hyperbole). Dans le moment actuel, à cause de la corruption des mœurs, elles nous paraîtront extraordinaires, peut-être même impossibles(antithèse) ; mais bientôt par l'effet des progrès de l'esprit public et des lumières, elles ne seront plus pour nous que simples et faciles.
Citoyennes, pourquoi n'entrerions-nous pas en concurrence avec les hommes. Prétendent-ils seuls avoir des droits à la gloire ; non, non.... Et nous aussi nous voulons mériter une couronne civique (métaphore) , et briguer l'honneur de mourir pour une liberté qui nous est peut-être plus chère qu'à eux, puisque les efforts du despotisme s'appesantissaient encore plus durement sur nos têtes que sur les leurs.
Oui... généreuses Citoyennes, vous toutes qui m'entendez, armons-nous, (métaphore) allons nous exercer deux ou trois fois par semaine aux Champs-Élysées, ou au Champ de la Fédération ; ouvrons une liste d'Amazones Françaises ; et que toutes celles qui aiment véritablement leur Patrie, viennent s'y inscrire ;
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Françaises, je vous le répète encore, élevons-nous à la hauteur de nos destinées ; brisons nos fers (métaphore) ; il est temps enfin que les femmes sortent de leur honteuse nullité (hyperbole) , où l'ignorance, l'orgueil, et l'injustice des hommes (énumération) les tiennent asservies (métaphore) depuis si longtemps ; replaçons-nous au temps où nos mères, les Gauloises et les fières Germaines, délibéraient dans les assemblées publiques, combattaient à côté de leurs époux pour repousser les ennemis de la Liberté. (périphrase)
Françaises (anaphore) , le même sang coule toujours dans nos veines ; ce que nous avons fait à Beauvais, à Versailles, les 5 et 6 octobre, et dans plusieurs autres circonstances importantes et décisives, prouve que nous ne sommes pas étrangères aux sentiments magnanimes. Reprenons donc notre énergie ; car si nous voulons conserver notre Liberté, il faut que nous nous préparions à faire les choses les plus sublimes (hyperbole). Dans le moment actuel, à cause de la corruption des mœurs, elles nous paraîtront extraordinaires, peut-être même impossibles (antithèse) ; mais bientôt par l'effet des progrès de l'esprit public et des lumières, elles ne seront plus pour nous que simples et faciles.
Citoyennes, pourquoi n'entrerions-nous pas en concurrence avec les hommes. Prétendent-ils seuls avoir des droits à la gloire ; non, non.... Et nous aussi nous voulons mériter une couronne civique (métaphore) , et briguer l'honneur de mourir pour une liberté qui nous est peut-être plus chère qu'à eux, puisque les efforts du despotisme s'appesantissaient encore plus durement sur nos têtes que sur les leurs.
Oui... généreuses Citoyennes, vous toutes qui m'entendez, armons-nous, (métaphore) allons nous exercer deux ou trois fois par semaine aux Champs-Élysées, ou au Champ de la Fédération ; ouvrons une liste d'Amazones Françaises ; et que toutes celles qui aiment véritablement leur Patrie, viennent s'y inscrire ;