bonjour pourriez vous m'aider à trouver les procédés littéraires svp j'ai du mal et je bloque depuis hier Françaises, je vous le répète encore devons-nous à la hauteur de nos desances, brisons nos fer Il est temps enfin que les femmes sortent de leur honteuse nullité ou l'ignorance l'orgueil et l'injustice des hommes les tiennent asservies depuis si longtemps replacons-nous au temps où nos meres, les Gauloises et les fieres Germaines', deliberucat dans le assemblées publiques, combattaient à coté de leurs époux pour repousser les ennemis de la liberté Françaises, le même sang coule toujours dans nos veines ; ce que nous avons fait à Beauvais, à Versailles, les 5 et 6 octobre er dans plusieurs autres circonstances importantes a décisives, prouve que nous nous ne sommes pas étrangères aux sentiments magnanimes' Reprenons donc poure energie: car si nous voulons conserver notre liberté, il faut que nous nous prépariom a faire les choses les plus sublimes Dans le moment actuel, à cause de la corruption des meurs, elles nous paraitront extraordinaires, peut-être même impossibles; mais bientôt par l'effet des progrès de l'esprit public et des lumières, elles ne seront plus pour nous.que simples et faciles. Citoyennes, pourquoi n'entrerions-nous pas en concurrence avec les hommes prétendent-ils seuls avoir des droits à la gloire ? Non, non... Et nous aussi nous voulons mériter une couronne civique et briguer l'honneur de mourir pour une liberté qui nous est peut-être plus cher qu'a eu, puisque les ciforts du despotisme s appesan- tissaient encore plus durement sur nos teres que sur les leurs. Oui... généreuses citoyennes, vous toutes qui m'entender armons-nous allons nous Bercer deux ou trois fois par semainc aux Champs-Elystes, ou au champ de la Fédération : ouvrons une liste d'Amazones françaises ; et que toutes celles qui aimenr véritablement leur patris viennent sy inscrite (... ​
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Bonjour pouvez-vous m’aider s’il vous plaît Rosemary Dye turned into the small sandwich shop to which she always went. She stopped at the door to let a handsome young man in a green suit pass by. He, struck by the flush of her face and neck, smiled flirtatiously and held the door open with a vaguely gallant air. She smirked happily and stepped under his arm. She turned to murmur some thanks and stopped existing. The largest part of one of the glass display cases 1 blasted in her direction. Though fragmented before it reached her, the pieces of shrapnel and glass were still large enough to kill her instantly. […] The young man who had opened the door for her – he was thirty-four but still had unlined skin and thick hair, had always been thought younger than he was but what had irritated him in his early twenties now delighted 2 him, as he saw his old schoolfriends married or bald and he could still comfortably date girls ten years younger than he was – was also killed, though he took nearly twenty seconds to stop existing. […] Inside the sandwich shop (how unglamorous, how untremendous 3 – Northern Ireland has never dealt in epic murder sites) […], Kevin McCafferty stopped existing. […] So, thus, in short, an intricate, say some, mix of history, politics, circumstance and ordnance 4 resulted in the detonation of a one-hundred-pound bomb in the enclosed space of the front part of a small sandwich shop measuring twenty-two feet by twelve. Eureka Street, Robert McLiam Wilson, 1996. 1) Who are the characters present in the excerpt? What nationality could they be? 2) Find a title for each paragraph 3) Read l.1-6 and l.13-19. How are the characters presented? What effect does it produce? 4) Present this text and the situation it depicts. How does it make you feel? Useful vocabulary: This is quite + adj... I fi nd this story very + adj...
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