Bonjour, pourriez-vous me corriger ce poème que je dois rendre pour demain s'il vous plait ?
Consigne : Rédiger un poème en décasyllabes qui raconte le message d'amour que Tristan aurait pu écrire à Yseult en utilisant la fin'amor.
Admirez cette adorable châtaigne, Celle qui sur son grand châtaigner règne Jour et nuit et mature doucement. Celle qui me ravie si aisément, Me fait rêver les soirées hivernales Au coin du feu où de mon bon régal Nous dégustions son savoureux cœur chaud. La voyez-vous ? C'est elle tout en haut. Celle que je ne peux pas attraper, Pas même sur la pointe de mes pieds ! Celle qui m'est pour toujours défendue De son amas d'épines confondues ! Celle-ci cache pourtant dans son cœur Un secret aussi puissant que moqueur Qui est dans sa coque si condensé, Qu'accablé, il tente de s'éclipser. Auriez-vous pu naître d'un fraisier Plutôt que d'un royale châtaigner : Vous seriez alors bien plus atteignable Et je serais ainsi moins pitoyable. Un an que nous ne nous sommes revus ! Je me sens de mon cœur plus dépourvu Que jamais. Puissions nous voir une fois, Une ultime, simple fois. Autrefois Je n'aurai pu un seule instant savoir Qu'un jour parmi tant d'autre il pusse échoir Un sentiment tellement douloureux Qu'évoque un emportement amoureux. Il n'y a rien de plus insoutenable Qui m'est actuellement distinguable ! Il n' y aura mot de plus que j'embrouille Car c'est devant vous que je m'agenouille. Cependant, sans vous je ne peux ni vivre Ni arrêter le malheur me poursuivre. Ma souffrance a atteint son apogée Et ne cesse pas de me ravager
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Admirez cette adorable châtaigne,
Celle qui sur son grand châtaigner règne
Jour et nuit et mature doucement.
Celle qui me ravie si aisément,
Me fait rêver les soirées hivernales
Au coin du feu où de mon bon régal
Nous dégustions son savoureux cœur chaud.
La voyez-vous ? C'est elle tout en haut.
Celle que je ne peux pas attraper,
Pas même sur la pointe de mes pieds !
Celle qui m'est pour toujours défendue
De son amas d'épines confondues !
Celle-ci cache pourtant dans son cœur
Un secret aussi puissant que moqueur
Qui est dans sa coque si condensé,
Qu'accablé, il tente de s'éclipser.
Auriez-vous pu naître d'un fraisier il manque une syllabe tu pourrais mettre "Mais" au début de ce vers ?
Plutôt que d'un royale châtaigner :
Vous seriez alors bien plus atteignable
Et je serais ainsi moins pitoyable.
Un an que nous ne nous sommes revus !
Je me sens de mon cœur plus dépourvu
Que jamais. Puissions nous voir une fois,
Une ultime, simple fois. Autrefois
Je n'aurai pu un seul(pas de "e") instant savoir
Qu'un jour parmi tant d'autre il pusse échoir
Un sentiment tellement douloureux
Qu'évoque un emportement amoureux.
Il n'y a rien de plus insoutenable
Qui m'est actuellement distinguable !
Il n' y aura mot de plus que j'embrouille
Car c'est devant vous que je m'agenouille.
Cependant, sans vous je ne peux ni vivre
Ni arrêter le malheur me poursuivre.
Ma souffrance a atteint son apogée
Et ne cesse pas de me ravager
Voilà j'espère que ça t'aide !