Bonjour pouvez m'aide rediriger ce redation s'il vous plait . Tout en respectant la consigne .
Sujet de rédaction
Tu vas lire ci-dessous le sujet de rédaction . Attention ! tu dois suivre scrupuleusement les consignes qui te sont données ensuite.
Sujet : Tu es dans le train et tout à coup entre dans ton compartiment un voyageur tenant en laisse un énorme doberman. Il s’installe et le détache… Raconte la scène et imagine la suite, en décrivant tes sentiments.
Consignes : · Tu rédiges ce devoir au BROUILLON. · Choisis le temps de référence (passé simple OU présent de l’indicatif , reporte-toi au tableau des temps placé sous le sujet d’autres rédactions) · Le narrateur est présent, c’est bien TOI qui es dans le train et qui racontes. · Compose un devoir en trois parties :
Ce samedi matin-là, c'était le début du week-end. Je devais en profiter pour aller rendre une petite visite familiale à mes grands - parents que je n'avais pas revus depuis quelques mois. Il faisait beau sous un soleil lumineux.
Je décidai de prendre le train puisque c'était le moyen le plus sûr et le plus rapide pour arriver à destination. Au moment où mes parents me déposaient à la gare, je m'aperçus que la grande salle d'attente était pleine, les quais de la gare étaient bonds de voyageurs. Je fis un signe de la main à mes parents avant de rejoindre le quai. Il fallait un peu jouer des coudes pour passer entre les gens. Heureusement pour deux journées de séjour, je n'étais pas trop chargé, une petite valise à la main m'avait suffit et je m'étais procuré le billet aller-retour la veille de mon départ.
A peine avais-je vérifié mon billet de train que l'annonce de son arrivée jaillit du haut-parleur. Après une très légère bousculade, je réussis, tant bien que mal, à me glisser dans le train à la recherche de mon wagon, ma place étant déjà réservée. Je le trouvai assez vite puis je m'engouffrai dans le compartiment et pris la place qui était la mienne en poussant un gros OUF de soulagement. Par un heureux hasard, j'étais seul dans la voiture, j'en profitai pour allonger les jambes afin de les soulager.
C'est précisément à ce moment-là qu'un voyageur poussa la porte et entra dans la voiture tirant un gros doberman derrière lui.
" Mon Dieu, quel monstre " pensai-je en fixant les yeux sur l'énorme chien. Je vis alors le Monsieur sourire tandis qu'il se débarrassait de ses bagages. Je lui rendis son salut en me poussant un peu. Après s'être installé confortablement le voyageur s'ébroua un peu.
Puis dans un geste rapide, il détacha le gros chien qu'il avait tenu en laisse. Le chien poussa une sorte de grognement de satisfaction, puis il bailla en tirant une langue pâteuse. Une grosse frayeur me saisit. Je me poussai pour m'en éloigner. J'étais devenu pâle, je tremblais un peu craignant de voir l'animal se jeter sur moi. Il me regarda de nouveau et poussa un autre grognement, agitant sa queue dans tous les sens.Il s'assit sur le plancher de la voiture et me regarda fixement. Son propriétaire semblait ne pas se rendre compte du trouble qui m'avait envahi à la vue de son chien. Transpirant, j'essayais malgré tout de conserver mon sang-froid, ce qui était plutôt difficile dans ces conditions d'épouvante qui étaient les miennes. Je me raclais alors le fond de ma gorge pour m e rassurer. C'est justement à cet instant-là que le voyageur s'aperçut de ma grande frayeur. Il tenta de me tranquilliser, affirmant que son chien n'était pas du tout dangereux, tout énorme qu'il fut. Qu'il était doux comme un agneau prétendit-il. Je n'étais pas obligé de la croire. Pour appuyer ses dires, il sortit une muselière en cuir de ses bagages pour la fixer sur la gueule encore béante du doberman. Ce geste finit par me rassurer et m'apaiser. Le chien, un peu dompté, finit par s'endormir.
Quelques minutes plus tard, un contrôleur nous annonça que le train arrivait à destination. J'étais soulagé. J'avais hâte de quitter cette voiture et de m'éloigner de ce "monstre." Puis notre train finit par s'arrêter à la gare où je devais descendre. Je me levai, pris ma valise et quittai la voiture doucement en évitant de bousculer le chien endormi. Après un dernier coup d'oeil rapide, je sortis précipitamment, soulagé et riant presque de la peur que le doberman avait fait naître en moi.
Je faillis crier. Je me retiens posant une main sur ma bouche
issasy715
en faite j'ai une question tu as terminer l'histoire . svp
kalkullex
ATTENTION: j'aurais dû supprimer les deux dernières phrases. Supprimez-les à partir de " Je faillis crier. Je me retins posant une main sur ma bouche. Le chien se mit à grogner: la peur me saisit." Ces deux dernières phrases sont déjà dans la rédaction. J'ai oublié de les retirer. Alors, enlevez-les:
issasy715
Merci hier c'est toi qui m'envoyer en fêtez je compare le rédaction pour m'inspire sur une pour l'instinct je le tiens . je garde si y pas mieusx .
Lista de comentários
Réponse :
Ce samedi matin-là, c'était le début du week-end. Je devais en profiter pour aller rendre une petite visite familiale à mes grands - parents que je n'avais pas revus depuis quelques mois. Il faisait beau sous un soleil lumineux.
Je décidai de prendre le train puisque c'était le moyen le plus sûr et le plus rapide pour arriver à destination. Au moment où mes parents me déposaient à la gare, je m'aperçus que la grande salle d'attente était pleine, les quais de la gare étaient bonds de voyageurs. Je fis un signe de la main à mes parents avant de rejoindre le quai. Il fallait un peu jouer des coudes pour passer entre les gens. Heureusement pour deux journées de séjour, je n'étais pas trop chargé, une petite valise à la main m'avait suffit et je m'étais procuré le billet aller-retour la veille de mon départ.
A peine avais-je vérifié mon billet de train que l'annonce de son arrivée jaillit du haut-parleur. Après une très légère bousculade, je réussis, tant bien que mal, à me glisser dans le train à la recherche de mon wagon, ma place étant déjà réservée. Je le trouvai assez vite puis je m'engouffrai dans le compartiment et pris la place qui était la mienne en poussant un gros OUF de soulagement. Par un heureux hasard, j'étais seul dans la voiture, j'en profitai pour allonger les jambes afin de les soulager.
C'est précisément à ce moment-là qu'un voyageur poussa la porte et entra dans la voiture tirant un gros doberman derrière lui.
" Mon Dieu, quel monstre " pensai-je en fixant les yeux sur l'énorme chien. Je vis alors le Monsieur sourire tandis qu'il se débarrassait de ses bagages. Je lui rendis son salut en me poussant un peu. Après s'être installé confortablement le voyageur s'ébroua un peu.
Puis dans un geste rapide, il détacha le gros chien qu'il avait tenu en laisse. Le chien poussa une sorte de grognement de satisfaction, puis il bailla en tirant une langue pâteuse. Une grosse frayeur me saisit. Je me poussai pour m'en éloigner. J'étais devenu pâle, je tremblais un peu craignant de voir l'animal se jeter sur moi. Il me regarda de nouveau et poussa un autre grognement, agitant sa queue dans tous les sens.Il s'assit sur le plancher de la voiture et me regarda fixement. Son propriétaire semblait ne pas se rendre compte du trouble qui m'avait envahi à la vue de son chien. Transpirant, j'essayais malgré tout de conserver mon sang-froid, ce qui était plutôt difficile dans ces conditions d'épouvante qui étaient les miennes. Je me raclais alors le fond de ma gorge pour m e rassurer. C'est justement à cet instant-là que le voyageur s'aperçut de ma grande frayeur. Il tenta de me tranquilliser, affirmant que son chien n'était pas du tout dangereux, tout énorme qu'il fut. Qu'il était doux comme un agneau prétendit-il. Je n'étais pas obligé de la croire. Pour appuyer ses dires, il sortit une muselière en cuir de ses bagages pour la fixer sur la gueule encore béante du doberman. Ce geste finit par me rassurer et m'apaiser. Le chien, un peu dompté, finit par s'endormir.
Quelques minutes plus tard, un contrôleur nous annonça que le train arrivait à destination. J'étais soulagé. J'avais hâte de quitter cette voiture et de m'éloigner de ce "monstre." Puis notre train finit par s'arrêter à la gare où je devais descendre. Je me levai, pris ma valise et quittai la voiture doucement en évitant de bousculer le chien endormi. Après un dernier coup d'oeil rapide, je sortis précipitamment, soulagé et riant presque de la peur que le doberman avait fait naître en moi.
Je faillis crier. Je me retiens posant une main sur ma bouche
Le chien se mit à grogner: la peur me saisit
Explications :