Bonjour pouvez vous m aidez svp ( merci d' avance)
il faut juste corriger les fautes d ' orthographes et de vocabulaires !
consigne écrire une critique de la guerre en utilisant 3 antiphrases et 1 phrase ironique
super la guerre est finit ! ( antiphrase) ,je ne comprends pas comment cette guerre a duré 4 ans, avec des millions de morts et de blessés, de simple soldat comme moi de 14 ans ont risqué leur vie,certe la guerre est finit mais par quoi commencer: les généraux étaient des petits anges(antiphrase), ils ne faisaient rien de leur temps et nous utiliser bêtement et nous laisser mourir et ces idiots de généraux n ' ont pas risquer un poile de leurs cheveux. Beaucoup de soldats adolescent comme moi ont risqué leurs vies et n' ont pas eu d' enfance, les Français et les allemand ont été parfait (ironie) cela était une catastrophe mondiale les deux nations aurait du faire la paix et vivre ensemble !
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Bonjour pouvez vous m'aidez svp (merci d 'avance) (20 points) Pouvez-vous m'améliorer ma problématique : En quoi la description de la société "utopique " met-elle en évidence à travers les yeux des lecteurs un tableau idéalisé mais aussi satirique ? VOICI LE TEXTE: Vingt belles filles de la garde reçurent Candide et Cacambo à la descente du carrosse, les conduisirent aux bains, les vêtirent de robes d'un tissu de duvet de colibri ; après quoi les grands officiers et les grandes officières de la couronne les menèrent à l'appartement de Sa Majesté, au milieu de deux files chacune de mille musiciens, selon l'usage ordinaire. Quand ils approchèrent de la salle du trône, Cacambo demanda à un grand officier comment il fallait s'y prendre pour saluer Sa Majesté ; si on se jetait à genoux ou ventre à terre ; si on mettait les mains sur la tête ou sur le derrière ; si on léchait la poussière de la salle ; en un mot, quelle était la cérémonie. « L'usage, dit le grand officier, est d'embrasser le roi et de le baiser des deux côtés. » Candide et Cacambo sautèrent au cou de Sa Majesté, qui les reçut avec toute la grâce imaginable et qui les pria poliment à souper. En attendant, on leur fit voir la ville, les édifices publics élevés jusqu'aux nues, les marchés ornés de mille colonnes, les fontaines d'eau pure, les fontaines d'eau rose, celles de liqueurs de canne de sucre, qui coulaient continuellement dans de grandes places, pavées d'une espèce de pierreries qui répandaient une odeur semblable à celle du gérofle et de la cannelle. Candide demanda à voir la cour de justice, le parlement ; on lui dit qu'il n'y en avait point, et qu'on ne plaidait jamais. Il s'informa s'il y avait des prisons, et on lui dit que non. Ce qui le surprit davantage, et qui lui fit le plus de plaisir, ce fut le palais des sciences, dans lequel il vit une galerie de deux mille pas, toute pleine d'instruments de mathématique et de physique
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