Bonjour pouvez vous m ' aidez svp (merci d ' avance)
il faut juste corriger les erreurs d ' orthographes et de vocabulaire
consigne d ' écrivez un champs de bataille au présent !

Ma chère grand-mère, Jeudi 17 Décembre 1916

Le 1è Décembre vers l 'aube dans l 'est de la France ,tout allez bien et tout le monde avaient le sourire pour une fois, nos portions de nourritures sont minimes, il fait un froid de canard que je ne sens même plus mes orteils. Un nuit d ' hiver, je m ' endors d 'épuisement dans une tranchée mais soudain un obus explose , il me perce les tympans et la poussière se dissipe dans l ' atmosphère, je vois mes camarades entassés les uns sur les autres et des bras tombent au ciel et reçois plein de sans sur moi. Nous devons attaquer le camp adverse, c 'est mon tour d ' y aller j ' ai peur , mes mains tremblent et le cœur palpitant à cent mille à l ' heure, je vois une pluie d ' obus qui fait trembler le sol on aurait dit une avalanche de météorite et les soldats crient, chaque seconde je vois des morts la mort a une odeur que je n'oublierais jamais. C ' est le chaos, le décor est apocalyptique: le champ de bataille est en ruine des trous d ' obus dans le sol sont énormes. Trois questions tournent en boucle dans mon esprit : vais-je continuer ? Vais-je me laisser mourir? Vais-je pouvoir rentrer à la maison? Cette vision de l ' enfer est celle de notre quotidien, moi jeune soldat mais nous nous étions la assis, debout, couché pour défendre la France
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Bonjour pouvez vous m'aidez svp (merci d 'avance) (20 points) Pouvez-vous m'améliorer ma problématique : En quoi la description de la société "utopique " met-elle en évidence à travers les yeux des lecteurs un tableau idéalisé mais aussi satirique ? VOICI LE TEXTE: Vingt belles filles de la garde reçurent Candide et Cacambo à la descente du carrosse, les conduisirent aux bains, les vêtirent de robes d'un tissu de duvet de colibri ; après quoi les grands officiers et les grandes officières de la couronne les menèrent à l'appartement de Sa Majesté, au milieu de deux files chacune de mille musiciens, selon l'usage ordinaire. Quand ils approchèrent de la salle du trône, Cacambo demanda à un grand officier comment il fallait s'y prendre pour saluer Sa Majesté ; si on se jetait à genoux ou ventre à terre ; si on mettait les mains sur la tête ou sur le derrière ; si on léchait la poussière de la salle ; en un mot, quelle était la cérémonie. « L'usage, dit le grand officier, est d'embrasser le roi et de le baiser des deux côtés. » Candide et Cacambo sautèrent au cou de Sa Majesté, qui les reçut avec toute la grâce imaginable et qui les pria poliment à souper. En attendant, on leur fit voir la ville, les édifices publics élevés jusqu'aux nues, les marchés ornés de mille colonnes, les fontaines d'eau pure, les fontaines d'eau rose, celles de liqueurs de canne de sucre, qui coulaient continuellement dans de grandes places, pavées d'une espèce de pierreries qui répandaient une odeur semblable à celle du gérofle et de la cannelle. Candide demanda à voir la cour de justice, le parlement ; on lui dit qu'il n'y en avait point, et qu'on ne plaidait jamais. Il s'informa s'il y avait des prisons, et on lui dit que non. Ce qui le surprit davantage, et qui lui fit le plus de plaisir, ce fut le palais des sciences, dans lequel il vit une galerie de deux mille pas, toute pleine d'instruments de mathématique et de physique
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