Bonjour pouvez vous m'aider sur cet exercice sur les proba svp!
Dans une région, les météorologistes ont constaté, à l’aide de relevés sur une longue période, que :
S’il fait sec un jour, il y a cinq chances sur six pour qu’il fasse sec le lendemain.
S’il fait un temps humide un jour, il y a deux chances sur trois pour qu’il fasse humide le lendemain.
Nous sommes lundi dans cette région et il fait sec.
Quelle est la probabilité pour qu’il fasse sec mercredi ?
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Bonjour à tous, j'ai une explication de texte a faire en philo sur ce texte et j'ai du mal a la faire. Merci d'avance: Le Japonais en colère sourit, l'Occidental rougit et frappe du pied ou bien pâlit et parle d'une voix sifflante. (…) L'équipement psychophysiologique laisse ouvertes quantité de possibilités et il n'y a pas plus ici que dans le domaine des instincts une nature humaine donnée une fois pour toutes. L’usage qu’un homme fera de son corps est transcendant à l’égard de ce corps comme être simplement biologique. Il n’est pas plus naturel ou pas moins conventionnel de crier dans la colère ou d’embrasser dans l’amour que d’appeler table une table. Les sentiments et les conduites passionnelles sont inventées comme les mots. Même ceux qui, comme la paternité, paraissent inscrits dans le corps humain, sont des institutions. Il est impossible de superposer chez l’homme une première couche de comportements que l’on appellerait “naturels” et un monde culturel ou spirituel fabriqué. Tout est fabriqué et tout est naturel chez l’homme, comme on voudra dire, en ce sens qu’il n’est pas un mot, pas une conduite qui ne doive quelque chose à l’être biologique - et qui en même temps ne se dérobe à la simplicité de la vie animale, ne détourne de leur sens les conduites vitales, par une sorte d’échappement et par un génie de l’équivoque qui pourrait servir à définir l’homme.
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Bonjour je n'arrive pas a faire mon devoir: pouvez vous m'aider? Merci Il faut trouver un comique de mots, de caractère, de gestes et de situation et justifier sa réponse. C'est dans la scène 7 des Précieuses Ridicules de Molière. SCÈNE VII MASCARILLE, DEUX PORTEURS. MASCARILLE.- Holà, porteurs, holà. Là, là, là, là, là, là. Je pense que ces marauds-là ont dessein de me briser, à force de heurter contre les murailles, et les pavés. 1er PORTEUR.- Dame, c’est que la porte est étroite. Vous avez voulu aussi, que nous soyons entrés jusqu’ici. MASCARILLE.- Je le crois bien. Voudriez-vous, faquins, que j’exposasse l’embonpoint de mes plumes aux inclémences de la saison pluvieuse, et que j’allasse imprimer mes souliers en boue ? Allez, ôtez votre chaise d’ici. 2e PORTEUR.- Payez-nous donc, s’il vous plaît, Monsieur. MASCARILLE.- Hem ? 2e PORTEUR.- Je dis, Monsieur, que vous nous donniez de l’argent, s’il vous plaît. MASCARILLE, lui donnant un soufflet.- Comment, coquin, demander de l’argent à une personne de ma qualité ? 2e PORTEUR.- Est-ce ainsi, qu’on paye les pauvres gens ? et votre qualité nous donne-t-elle à dîner ? MASCARILLE.- Ah, ah, ah, je vous apprendrai à vous connaître. Ces canailles-là s’osent jouer à moi. 1er PORTEUR, prenant un des bâtons de sa chaise.- Çà, payez-nous vitement. MASCARILLE.- Quoi ? 1er PORTEUR.- Je dis, que je veux avoir de l’argent, tout à l’heure. MASCARILLE.- Il est raisonnable. 1er PORTEUR.- Vite donc. MASCARILLE.- Oui-da, tu parles comme il faut, toi ; mais l’autre est un coquin, qui ne sait ce qu’il dit. Tiens es-tu content ? 1er PORTEUR.- Non je ne suis pas content, vous avez donné un soufflet à mon camarade, et... MASCARILLE.- Doucement, tiens, voilà pour le soufflet. On obtient tout de moi, quand on s’y prend de la bonne façon. Allez, venez me reprendre tantôt, pour aller au Louvre au petit coucher.
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