bonjour pouvez vous m'aider sur le poeme de louise labé "je vis, je meurs" je dois argumentez si oui ou nn la poetesse utilise la poesie pour célébrer l'amour merci de m'aider
Réponse :salut j'ai fait une lecture analytique sur ce poème en 1er en espérant que cela t'aide
Explications : Louise Labé est l'une des premières figure féminin de la littérature française. A une époque ou peu de femmes avaient la possibilité de s'exprimer dans le champ artistique. Labé auteur de 16°siècle appartient a une école poétique que l'on appelle l'école Lyonnaise qui regroupe des auteurs dont l'inspiration vient du poète italien Pétrarque auquel ils empreint le goût de l'élégance, l'usage du sonnet, les thèmes amoureux. Labé s'est surtout illustrée par la composition d'une poésie sentimentale sous la forme de sonnets. «Je vis, je meurs» est son texte le plus connu. Ici, ce texte composé de deux quatrains et de deux tercets évoquent les difficultés du sentiment amoureux soumis aux contradictions les plus intenses.
I) Expression du désordre de l'amour:
1. Le corps soumis aux sensations opposés
Le vocabulaire des sensations opposés est très présent dans le poème comme la mention du chaud et du froid. On trouve dans tous le poème des l’antithèse. Ce procédé met en évidence les contradictions, les paradoxes du sentiment amoureux. On constata qu'il y a une simultanéité de ces sentiments contradictoires «j'ai chaud en endurant froidure». Ces sensations sont très déstabilisante pour cet individus. On peut également relever et s'appuyer sur l'expression «est trop molle et trop dure».
2. La dualité des sentiments
Toutes les antithèses du texte insistes sur la dualité des sentiments, avec la joie d'une part et la douleur d'autre part.
-champ lexical de la joie: « ris », « joie », « plaisir ».
-champ lexical de la douleur: « douleur », « tourments », « malheur », « ennuis ».
« ennuis » a un sens beaucoup plus fort au 16°siècle = tourment.
L'expression de ce déchirement et d'autant plus fort que les termes employé on une grande intensité, de ce point de vue « grands ennuis » peut être considéré comme hyperbolique.
3. La fusion des contraires
L'effet majeur de toutes ces antithèses s'est d’illustrer la confusion des sens et des sentiments, puisque chaque terme est accompagné de son contraire.
-vers 1 « je vis, je meurs »
Ce désordre psychologique provoqué par le sentiment amoureux est exprimé de multiple manière
-juxtaposition : « je vis, je meurs »
-coordination : « je me brûle et je me noie »
-expansion du nom (expression qui précise le nom) : « grands ennuis entremêles de joie »
toutes ces confusions souligne le pouvoir de l'amour.
II) Le pouvoir de l'amour
1. L’excès des sentiments
Les sentiments éprouvé par la personne qui aime sont excessive car il passe d'un extrême à l'autre, passe de la joie la plus intense au désespoir le plus profond, on peut cité l’antithèse vers 5 « ris »/ « larmoie ».
-C'est une passion hyperbolique qui renvoie à l’étymologie du mot passion = patrior = subir.
-Une passion hyperbolique par l’intermédiaire de termes forts :
Les sentiments amoureux contradictoires aboutisse a une véritable confusion temporel. Dans le dernier tercet, passé et présent se confonde :
-Le présent : illusion de joie
-passé : état de malheur
exemple : « je crois être tranquille » = souffrance/état d'avant.
Ce que l'on constate c'est que les saisons se mêlent en un seul instant :
-« je sèche et je verdoie » = connotation « sèche »/été, « verdoie »/printemps. Connotation végétale sont à mettre d'un côté d'une perte d'identité.
3. La destruction des certitudes
Au file du poème toutes les certitudes disparaisse puisque des sentiments des sensations contraires coexiste.
Du point de vue de la temporalité, des moments bref côtoie des moments d'éternité. Les tercets commence par l'affirmation du pouvoir de l'amour :
-« Ainsi l'amour » cet amour personnifié tyrannise l'amante, d'autant plus que celle-ci apparaît en fonction COD donc elle subit.
-Dans ce même vers « amour inconstant me mène » on note une allitération en [m] qui donne un caractère heurté, syncopé au rythme, elle montre la difficulté du sentiment amoureux.
L'amour a tout pouvoir et celle qui aime ne peut que subir indéfiniment son despotisme.
Ce poème met en scène les conséquences de la passion amoureuse, où la personne qui aime devient la victime de ses sentiments. Ici, ce qui est mis en scène, c'est un véritable déchirement de l'être amoureux. Ce déchirement se fonde sur des sensations, des sentiments contradictoires. Dans le poème « Il n'y a pas d'amour heureux », Louis Aragon évoque la même difficulté d'aimer, Mais également l'intensité du sentiment éprouvé, son caractère unique.
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Réponse :salut j'ai fait une lecture analytique sur ce poème en 1er en espérant que cela t'aide
Explications : Louise Labé est l'une des premières figure féminin de la littérature française. A une époque ou peu de femmes avaient la possibilité de s'exprimer dans le champ artistique. Labé auteur de 16°siècle appartient a une école poétique que l'on appelle l'école Lyonnaise qui regroupe des auteurs dont l'inspiration vient du poète italien Pétrarque auquel ils empreint le goût de l'élégance, l'usage du sonnet, les thèmes amoureux. Labé s'est surtout illustrée par la composition d'une poésie sentimentale sous la forme de sonnets. «Je vis, je meurs» est son texte le plus connu. Ici, ce texte composé de deux quatrains et de deux tercets évoquent les difficultés du sentiment amoureux soumis aux contradictions les plus intenses.
I) Expression du désordre de l'amour:
1. Le corps soumis aux sensations opposés
Le vocabulaire des sensations opposés est très présent dans le poème comme la mention du chaud et du froid. On trouve dans tous le poème des l’antithèse. Ce procédé met en évidence les contradictions, les paradoxes du sentiment amoureux. On constata qu'il y a une simultanéité de ces sentiments contradictoires «j'ai chaud en endurant froidure». Ces sensations sont très déstabilisante pour cet individus. On peut également relever et s'appuyer sur l'expression «est trop molle et trop dure».
2. La dualité des sentiments
Toutes les antithèses du texte insistes sur la dualité des sentiments, avec la joie d'une part et la douleur d'autre part.
-champ lexical de la joie: « ris », « joie », « plaisir ».
-champ lexical de la douleur: « douleur », « tourments », « malheur », « ennuis ».
« ennuis » a un sens beaucoup plus fort au 16°siècle = tourment.
L'expression de ce déchirement et d'autant plus fort que les termes employé on une grande intensité, de ce point de vue « grands ennuis » peut être considéré comme hyperbolique.
3. La fusion des contraires
L'effet majeur de toutes ces antithèses s'est d’illustrer la confusion des sens et des sentiments, puisque chaque terme est accompagné de son contraire.
-vers 1 « je vis, je meurs »
Ce désordre psychologique provoqué par le sentiment amoureux est exprimé de multiple manière
-juxtaposition : « je vis, je meurs »
-coordination : « je me brûle et je me noie »
-expansion du nom (expression qui précise le nom) : « grands ennuis entremêles de joie »
toutes ces confusions souligne le pouvoir de l'amour.
II) Le pouvoir de l'amour
1. L’excès des sentiments
Les sentiments éprouvé par la personne qui aime sont excessive car il passe d'un extrême à l'autre, passe de la joie la plus intense au désespoir le plus profond, on peut cité l’antithèse vers 5 « ris »/ « larmoie ».
-C'est une passion hyperbolique qui renvoie à l’étymologie du mot passion = patrior = subir.
-Une passion hyperbolique par l’intermédiaire de termes forts :
-adj intensifiant « extrême » dans « chaud extrême », « maints griefs tourments ».
pénible
2. La confusion temporel
Les sentiments amoureux contradictoires aboutisse a une véritable confusion temporel. Dans le dernier tercet, passé et présent se confonde :
-Le présent : illusion de joie
-passé : état de malheur
exemple : « je crois être tranquille » = souffrance/état d'avant.
Ce que l'on constate c'est que les saisons se mêlent en un seul instant :
-« je sèche et je verdoie » = connotation « sèche »/été, « verdoie »/printemps. Connotation végétale sont à mettre d'un côté d'une perte d'identité.
3. La destruction des certitudes
Au file du poème toutes les certitudes disparaisse puisque des sentiments des sensations contraires coexiste.
Du point de vue de la temporalité, des moments bref côtoie des moments d'éternité. Les tercets commence par l'affirmation du pouvoir de l'amour :
-« Ainsi l'amour » cet amour personnifié tyrannise l'amante, d'autant plus que celle-ci apparaît en fonction COD donc elle subit.
-Dans ce même vers « amour inconstant me mène » on note une allitération en [m] qui donne un caractère heurté, syncopé au rythme, elle montre la difficulté du sentiment amoureux.
L'amour a tout pouvoir et celle qui aime ne peut que subir indéfiniment son despotisme.
Ce poème met en scène les conséquences de la passion amoureuse, où la personne qui aime devient la victime de ses sentiments. Ici, ce qui est mis en scène, c'est un véritable déchirement de l'être amoureux. Ce déchirement se fonde sur des sensations, des sentiments contradictoires. Dans le poème « Il n'y a pas d'amour heureux », Louis Aragon évoque la même difficulté d'aimer, Mais également l'intensité du sentiment éprouvé, son caractère unique.