Bonjour, pouvez-vous m'aidez à répondre à cette question s'il vous plaît, je ne trouve pas les moyens stylistiques. "Jai pensé à tes grenades, à ta baïonnette et à tes armes : maintenant c'est ta femme que je te vois, ainsi que ton visage et ce qu'il y a de commun en nous" Expliquez les moyens stylistiques que l'auteur a utilisées pour mettre en valeur cette phrase qui marque la prise de conscience du narrateur. Appuyer vous sur des éléments du texte. Répondez par une réponse structurée.
"J'ai pensé à tes grenades, à ta baïonnette et à tes armes..." c'est une énumération de mots au pluriels. Tous sont féminins.
Il y a un contraste entre cette énumération de pluriels et le mot "femme" qui est seul dans la phrase et au singulier. De plus quand tu regardes le sens des mots grenade, baïonnette, armes, ce sont des armes meurtrières et le mot "femme" qui est seul ramène à la douceur. C'est un contraste. Ce contraste entre "J'ai pensé à tes grenades, à ta baïonnette et à tes armes :" et "maintenant c'est ta femme que je te vois" est aussi visible par le temps des verbes employés : " j'ai pensé" est au passé composé "je vois" est au présent tu as à nouveau un contraste, le complément circonstanciel de temps "maintenant" met en valeur le contraste entre les deux phrases il en marque la transition.
"c'est ta femme que je te vois, ainsi que ton visage" les mots "visage" et "femme" évoquent l'être humain, la douceur, l'identité les termes "baïonnette" "armes" "grenades" évoquent la guerre, le mort, la destruction.
Si les deux phrases analysées avant évoquaient l'opposition "et ce qu'il y a de commun en nous" parle d'un point "commun" pour citer. Ces deux personnages sont rivaux ? Ennemis ? Pour poursuivre une analyse stylistique le reste du texte serait nécessaire...
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Réponse :
"J'ai pensé à tes grenades, à ta baïonnette et à tes armes..." c'est une énumération de mots au pluriels. Tous sont féminins.
Il y a un contraste entre cette énumération de pluriels et le mot "femme" qui est seul dans la phrase et au singulier. De plus quand tu regardes le sens des mots grenade, baïonnette, armes, ce sont des armes meurtrières et le mot "femme" qui est seul ramène à la douceur. C'est un contraste. Ce contraste entre "J'ai pensé à tes grenades, à ta baïonnette et à tes armes :" et "maintenant c'est ta femme que je te vois" est aussi visible par le temps des verbes employés : " j'ai pensé" est au passé composé "je vois" est au présent tu as à nouveau un contraste, le complément circonstanciel de temps "maintenant" met en valeur le contraste entre les deux phrases il en marque la transition.
"c'est ta femme que je te vois, ainsi que ton visage" les mots "visage" et "femme" évoquent l'être humain, la douceur, l'identité les termes "baïonnette" "armes" "grenades" évoquent la guerre, le mort, la destruction.
Si les deux phrases analysées avant évoquaient l'opposition "et ce qu'il y a de commun en nous" parle d'un point "commun" pour citer. Ces deux personnages sont rivaux ? Ennemis ? Pour poursuivre une analyse stylistique le reste du texte serait nécessaire...
J'espère que ça ira.