Nul ne peut se guérir psychologiquement d’une expérience abasourdissante vécue en temps de guerre. Autrement dit la guerre est nocive car ceux qui ont subi ou qui ont été témoins des horreurs et des atrocités de ce fléau sont toujours traumatisés par les images de sang et de mort qui restent gravées pour toujours dans la mémoire et qui les hantent toutes leurs vies. Tel est le cas des soldats qui après la guerre, souffrent des cauchemars, du sentiment d’insécurité et de peur phobique et de tout ce qui leur rappelle les combats, le bombardement et les tortures.
La guerre est nocive également car elle a des conséquences économiques sur les personnes qui l’ont vécue. En effet, nombreux sont les gens qui perdent leur travail et qui se trouvent dans la pénurie. Ils trouvent beaucoup de mal à subvenir à leurs besoins surtout après une guerre destructive qui a tout démoli dans leurs pays. Et ce sont les plus démunis qui subissent le plus de telles répercussions. C’est dans ce sens que s’inscrit la citation de Jean Paul Sartre "Quand les riches font la guerre, ce sont les pauvres qui meurent".
Cependant, l’homme a la capacité d’oublier les souvenirs les plus horribles de la guerre. Les souffrances quelles que soient leur gravité peuvent représenter un stimulant qui incite la personne à changer sa vision du monde, à se reconstruire et se relier de nouvelles relations avec l’ennemi d’hier.
Sur le plan individuel, la personne dépasse certains cauchemars vécus en temps de guerre. C’est ainsi qu’elle poursuit sa vie en s’habituant et en s’adaptant aux nouvelles situations. Il a la capacité d’oublier les souvenirs traumatisants comme la mort et les supplices endurés comme il peut dépasser cela et être prêt à pardonner. Tel est le cas de Mandela, ce fameux prisonnier politique, qui a su dépasser ses douleurs et souffrances et a su pardonner ses ennemies. Il a réussi même à unir les blancs et les noirs de sa patrie.
Sur le plan national, l’homme poursuit sa vie pour se reconstruire et répondre à ses besoins. Il se trouve dans l’obligation de faire un effort, de travailler durement et d’être solidaires avec ses compatriotes afin construire de nouveau une société nouvelle pleine d’espoir et qui tire des leçons de son passé douloureux. On peut mentionner à cet égard la ville de Hiroshima, qui a pu renaître de ses cendres après la deuxième guerre mondiale et a su se reconstruire pour devenir l’une des régions les plus développées du monde.
Sur le plan international, l’être humain est capable d’oublier ses rancunes envers l’ennemi d’autrefois. Il peut même avoir avec lui des nouvelles relations horizontales et saines. Il est capable de coopérer avec lui et de tirer profit réciproquement l’un de l’autre. Citons à titre d’exemple les relations économiques après l’indépendance entre l’Algérie et la Tunisie, anciens colonisés français d’une part et la France leur colonisateurs d’autrefois.
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Bonjour
Nul ne peut se guérir psychologiquement d’une expérience abasourdissante vécue en temps de guerre. Autrement dit la guerre est nocive car ceux qui ont subi ou qui ont été témoins des horreurs et des atrocités de ce fléau sont toujours traumatisés par les images de sang et de mort qui restent gravées pour toujours dans la mémoire et qui les hantent toutes leurs vies. Tel est le cas des soldats qui après la guerre, souffrent des cauchemars, du sentiment d’insécurité et de peur phobique et de tout ce qui leur rappelle les combats, le bombardement et les tortures.
La guerre est nocive également car elle a des conséquences économiques sur les personnes qui l’ont vécue. En effet, nombreux sont les gens qui perdent leur travail et qui se trouvent dans la pénurie. Ils trouvent beaucoup de mal à subvenir à leurs besoins surtout après une guerre destructive qui a tout démoli dans leurs pays. Et ce sont les plus démunis qui subissent le plus de telles répercussions. C’est dans ce sens que s’inscrit la citation de Jean Paul Sartre "Quand les riches font la guerre, ce sont les pauvres qui meurent".
Cependant, l’homme a la capacité d’oublier les souvenirs les plus horribles de la guerre. Les souffrances quelles que soient leur gravité peuvent représenter un stimulant qui incite la personne à changer sa vision du monde, à se reconstruire et se relier de nouvelles relations avec l’ennemi d’hier.
Sur le plan individuel, la personne dépasse certains cauchemars vécus en temps de guerre. C’est ainsi qu’elle poursuit sa vie en s’habituant et en s’adaptant aux nouvelles situations. Il a la capacité d’oublier les souvenirs traumatisants comme la mort et les supplices endurés comme il peut dépasser cela et être prêt à pardonner. Tel est le cas de Mandela, ce fameux prisonnier politique, qui a su dépasser ses douleurs et souffrances et a su pardonner ses ennemies. Il a réussi même à unir les blancs et les noirs de sa patrie.
Sur le plan national, l’homme poursuit sa vie pour se reconstruire et répondre à ses besoins. Il se trouve dans l’obligation de faire un effort, de travailler durement et d’être solidaires avec ses compatriotes afin construire de nouveau une société nouvelle pleine d’espoir et qui tire des leçons de son passé douloureux. On peut mentionner à cet égard la ville de Hiroshima, qui a pu renaître de ses cendres après la deuxième guerre mondiale et a su se reconstruire pour devenir l’une des régions les plus développées du monde.
Sur le plan international, l’être humain est capable d’oublier ses rancunes envers l’ennemi d’autrefois. Il peut même avoir avec lui des nouvelles relations horizontales et saines. Il est capable de coopérer avec lui et de tirer profit réciproquement l’un de l’autre. Citons à titre d’exemple les relations économiques après l’indépendance entre l’Algérie et la Tunisie, anciens colonisés français d’une part et la France leur colonisateurs d’autrefois.