Bonjour, quelqu'un peut me signaler les fautes d'orthographe si il y en a svp ? Merci !
Plusieurs éléments montrent que l’aveu de Mme de Clèves est pudique. Tout d’abord, il y a l’euphémisme dans les citations : « Il est vrai que j’ai des raisons de m’éloigner de la cour » (l.496) et « si j’ai des sentiments qui vous déplaisent » (l.503). Dans son discours Mme de Clèves dit avoir des « raisons » de s’éloigner de la cour. Plus tard dans son discours, elle déclare avoir des « sentiments » qui déplairait à son mari. Elle aurait donc des sentiments pour quelqu’un d’autre que son mari. Le mot « sentiment » dit ici par Mme de Clèves insinue que les « raisons » de s’éloigner de la cour sont enfaites des sentiments. Ce qui veut dire que Mme de Clèves à des sentiments pour une personne de la cour comme elle voulait s’en éloigner. Donc Mme de Clèves change ces mots afin de ne pas trop choqué son mari M de Clèves en disant directement qu’elle aime quelqu’un d’autre que lui, c’est donc un euphémisme. Cet euphémisme montre la pudeur de Mme de Clèves car elle a honte d’avouer directement ses sentiments, donc elle atténue ses propos. Puis, il y a une hyperbole ainsi que des politesses exagérés dans les citations : « en se jetant à ses genoux » (l.493) ; « à ses genoux le visage couvert de larmes » (l,511) et « Je vous demande mille pardons » (l.502-503). Mme de Clèves exagère presque ses manières de politesses. En se « jetant » sur les genoux de M de Clèves et en ayant « le visage couvert de larmes », elle rend la scène plus tragique qu’elle ne l’ait. Elle rend également la scène tragique via une hyperbole lorsqu’elle demande « mille pardons », cela montre à qu’elle point elle est désolé. Ce qui montre l’innocence de Mme de Clèves et donc sa pudeur. De plus, il y a la modéstie de Mme de Clèves qui est un élément qui rend la scène d’aveu publique dans les citations : « me conserver digne d’être à vous » (l.502) et « il faut avoir plus d’amitié et d’estime pour un mari que l’on en a jamais eu. » (l.505-506). Mme de Clèves se considère inférieur à M de Clèves notamment lorsqu’elle souhaite être « digne d’être a vous » en parlant de M de Clèves, elle se rabaisse donc en disant vouloir être digne d’appartenir à M de Clèves tel un objet. Elle déclare également « estime pour un mari », ce qui appuis le fait qu’elle le considère supérieur à elle. En effet, la modéstie de Mme de Clèves montre bien la pudeur de la scène. En conclusion, ce qui rend cette scène pudique est l’euphémisme et l’hyperbole utilisé et la politesse exagéré ainsi que la modestie dont fait preuve Mme de Clèves.
Plusieurs éléments montrent que l’aveu de Mme de Clèves est pudique. Tout d’abord, il y a l’euphémisme dans les citations : « Il est vrai que j’ai des raisons de m’éloigner de la cour » (l.496) et « si j’ai des sentiments qui vous déplaisent » (l.503). Dans son discours Mme de Clèves dit avoir des « raisons » de s’éloigner de la cour. Plus tard dans son discours, elle déclare avoir des « sentiments » qui déplairait à son mari. Elle aurait donc des sentiments pour quelqu’un d’autre que son mari. Le mot « sentiment » dit ici par Mme de Clèves insinue que les « raisons » de s’éloigner de la cour sont en faites des sentiments. Ce qui veut dire que Mme de Clèves à des sentiments pour une personne de la cour comme elle voulait s’en éloigner. Donc Mme de Clèves change ces mots afin de ne pas trop choqué son mari M de Clèves en disant directement qu’elle aime quelqu’un d’autre que lui, c’est donc un euphémisme. Cet euphémisme montre la pudeur de Mme de Clèves car elle a honte d’avouer directement ses sentiments, donc elle atténue ses propos. Puis, il y a une hyperbole ainsi que des politesses exagérés dans les citations : « en se jetant à ses genoux » (l.493) ; « à ses genoux le visage couvert de larmes » (l,511) et « Je vous demande mille pardons » (l.502-503). Mme de Clèves exagère presque ses manières de politesses. En se « jetant » sur les genoux de M de Clèves et en ayant « le visage couvert de larmes », elle rend la scène plus tragique qu’elle ne l’ait. Elle rend également la scène tragique via une hyperbole lorsqu’elle demande « mille pardons », cela montre à qu’elle point elle est désolé. Ce qui montre l’innocence de Mme de Clèves et donc sa pudeur. De plus, il y a la modéstie de Mme de Clèves qui est un élément qui rend la scène d’aveu publique dans les citations : « me conserver digne d’être à vous » (l.502) et « il faut avoir plus d’amitié et d’estime pour un mari que l’on en a jamais eu. » (l.505-506). Mme de Clèves se considère inférieur à M de Clèves notamment lorsqu’elle souhaite être « digne d’être a vous » en parlant de M de Clèves, elle se rabaisse donc en disant vouloir être digne d’appartenir à M de Clèves tel un objet. Elle déclare également « estime pour un mari », ce qui appuis le fait qu’elle le considère supérieur à elle. En effet, la modéstie de Mme de Clèves montre bien la pudeur de la scène. En conclusion, ce qui rend cette scène pudique est l’euphémisme et l’hyperbole utilisé et la politesse exagéré ainsi que la modestie dont fait preuve Mme de Clèves.
mohamedmnt
Deux réponses. "jumelles".!!!! À qui appartient en premier lieu la paternité de la réponse ? Peut-être à M. Google.
niogret2m
A celui qui répond en premier ! d'ailleurs il y a des différences entre les réponses pour qui lit bien. Google n'est pas concerné. Pas de mauvais esprit SVP.
mazig
Vous n'avez pas à vous suffoquer de cette remarque désobligeante si vous ne vous sentez pas concerné . Il faut reconnaître aussi que parfois le doute a le mérite de conscientiser les plagieurs. Bonne journée niogret2M.
Plus tard dans son discours, elle déclare avoir des « sentiments » qui déplairaient à son mari.
Le mot « sentiment » évoqué ici par Mme de Clèves insinue que les « raisons » de s’éloigner de la cour sont en fait des sentiments.
Ce qui veut dire que Mme de Clèves à des sentiments pour une personne de la cour comme elle voulait s’en éloigner. (je ne comprends pas le sens de la phrase et cela semble être une répétition de ce que tu as dis précédemment)
Donc Mme de Clèves change ces mots afin de ne pas trop choquer son mari M de Clèves en disant directement qu’elle aime quelqu’un d’autre que lui, c’est donc un euphémisme.
Cet euphémisme montre la pudeur de Mme de Clèves car elle a honte (si tu veux dire qu'elle a honte il va falloir le justifier avec le texte) d’avouer directement ses sentiments, donc elle atténue ses propos.
Puis, il y a une hyperbole ainsi que des politesses exagérées dans les citations
ses manières de politesse (même si cette formulation me semble redondante)
la scène plus tragique qu'elle ne l'est
elle est désolée
se considère inférieure
ce qui appuie
l’euphémisme et l’hyperbole qui sontutilisés , la politesse exagérée ainsi que la modestie dont fait preuve Mme de Clèves.
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Plusieurs éléments montrent que l’aveu de Mme de Clèves est pudique. Tout d’abord, il y a l’euphémisme dans les citations : « Il est vrai que j’ai des raisons de m’éloigner de la cour » (l.496) et « si j’ai des sentiments qui vous déplaisent » (l.503). Dans son discours Mme de Clèves dit avoir des « raisons » de s’éloigner de la cour. Plus tard dans son discours, elle déclare avoir des « sentiments » qui déplairait à son mari. Elle aurait donc des sentiments pour quelqu’un d’autre que son mari. Le mot « sentiment » dit ici par Mme de Clèves insinue que les « raisons » de s’éloigner de la cour sont en faites des sentiments. Ce qui veut dire que Mme de Clèves à des sentiments pour une personne de la cour comme elle voulait s’en éloigner. Donc Mme de Clèves change ces mots afin de ne pas trop choqué son mari M de Clèves en disant directement qu’elle aime quelqu’un d’autre que lui, c’est donc un euphémisme. Cet euphémisme montre la pudeur de Mme de Clèves car elle a honte d’avouer directement ses sentiments, donc elle atténue ses propos. Puis, il y a une hyperbole ainsi que des politesses exagérés dans les citations : « en se jetant à ses genoux » (l.493) ; « à ses genoux le visage couvert de larmes » (l,511) et « Je vous demande mille pardons » (l.502-503). Mme de Clèves exagère presque ses manières de politesses. En se « jetant » sur les genoux de M de Clèves et en ayant « le visage couvert de larmes », elle rend la scène plus tragique qu’elle ne l’ait. Elle rend également la scène tragique via une hyperbole lorsqu’elle demande « mille pardons », cela montre à qu’elle point elle est désolé. Ce qui montre l’innocence de Mme de Clèves et donc sa pudeur. De plus, il y a la modéstie de Mme de Clèves qui est un élément qui rend la scène d’aveu publique dans les citations : « me conserver digne d’être à vous » (l.502) et « il faut avoir plus d’amitié et d’estime pour un mari que l’on en a jamais eu. » (l.505-506). Mme de Clèves se considère inférieur à M de Clèves notamment lorsqu’elle souhaite être « digne d’être a vous » en parlant de M de Clèves, elle se rabaisse donc en disant vouloir être digne d’appartenir à M de Clèves tel un objet. Elle déclare également « estime pour un mari », ce qui appuis le fait qu’elle le considère supérieur à elle. En effet, la modéstie de Mme de Clèves montre bien la pudeur de la scène. En conclusion, ce qui rend cette scène pudique est l’euphémisme et l’hyperbole utilisé et la politesse exagéré ainsi que la modestie dont fait preuve Mme de Clèves.
déplairaient
en fait
choquer
exagérées
politesse
est
quel
désolée
modestie
inférieure
appuie
utilisée
exagérée
Bonjour,
Plus tard dans son discours, elle déclare avoir des « sentiments » qui déplairaient à son mari.
Le mot « sentiment » évoqué ici par Mme de Clèves insinue que les « raisons » de s’éloigner de la cour sont en fait des sentiments.
Ce qui veut dire que Mme de Clèves à des sentiments pour une personne de la cour comme elle voulait s’en éloigner. (je ne comprends pas le sens de la phrase et cela semble être une répétition de ce que tu as dis précédemment)
Donc Mme de Clèves change ces mots afin de ne pas trop choquer son mari M de Clèves en disant directement qu’elle aime quelqu’un d’autre que lui, c’est donc un euphémisme.
Cet euphémisme montre la pudeur de Mme de Clèves car elle a honte (si tu veux dire qu'elle a honte il va falloir le justifier avec le texte) d’avouer directement ses sentiments, donc elle atténue ses propos.
Puis, il y a une hyperbole ainsi que des politesses exagérées dans les citations
ses manières de politesse (même si cette formulation me semble redondante)
la scène plus tragique qu'elle ne l'est
elle est désolée
se considère inférieure
ce qui appuie
l’euphémisme et l’hyperbole qui sont utilisés , la politesse exagérée ainsi que la modestie dont fait preuve Mme de Clèves.