Les subordonnées relatives commencent toujours par un pronom relatif qui remplace le nom placé juste avant, appelé l'antécédent. La fonction d'une relative est de compléter le nom.
Les subordonnées complétives, elles, complètent un nom.
EX : 1. "que j'aide à faire ses devoirs" > PSR (proposition subordonnée relative) car complète le nom "enfant"
2. "que tu viennes me parler ce soir " > Proposition subordonnée complétive car complète le verbe "veux"
Je pense que tu pourras faire la suite seul.
PS : Pour rappel, une proposition subordonnée est un ensemble de mots articulés à un verbe généralement conjugué. Les subordonnées sont dépendantes des propositons principales : détachées de ces dernières, elles ne portent pas de sens. Mais les principales, elles, signifient toujours quelque chose, même sans la subordonnée. C'est aini qu'on reconnaît une subordonnée d'une principale.
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semfy
1. Relative, car "que j'aide à faire ses devoirs" est un complément du nom "enfant" et apporte une information supplémentaire sur celui-ci. 2. Complétive, car "que tu viennes me parler ce soir" est l'objet direct du verbe "veux" et complète le sens de la phrase principale. 3. Complétive, car "que tu ne veux pas venir" est l'objet direct du verbe "entends" et complète le sens de la phrase principale. 4. Relative, car "que nous avons préparé" est un complément du nom "spectacle" et apporte une information supplémentaire sur celui-ci.
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Les subordonnées relatives commencent toujours par un pronom relatif qui remplace le nom placé juste avant, appelé l'antécédent. La fonction d'une relative est de compléter le nom.
Les subordonnées complétives, elles, complètent un nom.
EX : 1. "que j'aide à faire ses devoirs" > PSR (proposition subordonnée relative) car complète le nom "enfant"
2. "que tu viennes me parler ce soir " > Proposition subordonnée complétive car complète le verbe "veux"
Je pense que tu pourras faire la suite seul.
PS : Pour rappel, une proposition subordonnée est un ensemble de mots articulés à un verbe généralement conjugué. Les subordonnées sont dépendantes des propositons principales : détachées de ces dernières, elles ne portent pas de sens. Mais les principales, elles, signifient toujours quelque chose, même sans la subordonnée. C'est aini qu'on reconnaît une subordonnée d'une principale.
2. Complétive, car "que tu viennes me parler ce soir" est l'objet direct du verbe "veux" et complète le sens de la phrase principale.
3. Complétive, car "que tu ne veux pas venir" est l'objet direct du verbe "entends" et complète le sens de la phrase principale.
4. Relative, car "que nous avons préparé" est un complément du nom "spectacle" et apporte une information supplémentaire sur celui-ci.