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donado
@donado
June 2021
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Bonjour, si vous pouviez me donner un petit coud de main, svp ?!
"Je me demandais, bien que ce soit sans importance, quel était le motif de la dispute."
1.Indiquer la fonction de la proposition subordonnée introduite par bien
que et la classe grammaticale de la subordonnée introduite par quel.
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maudmarine
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"Je me demandais, bien que ce soit sans importance, quel était le motif de la dispute."
1.
Indiquer la fonction de la proposition subordonnée introduite par bien que et la classe grammaticale de la subordonnée introduite par quel
.
- Bien que : Subordonnée circonstancielle
- Quel : Déterminant interrogatif
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sihemsirieix
Quel était le motif : cette subordonnée a la fonction d'un COD ; bien que : une proposition dite concessive (ou oppositive)
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donado
June 2021 | 0 Respostas
Bonjour, Je me demandais, bien que ce soit sans importance, quel était le motif de la dispute. 1.Indiquer la fonction de la proposition subordonnée introduite par bien que et la classe grammaticale de la subordonnée introduite par quel.
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Donado
April 2019 | 0 Respostas
Lequel de ces 3 coeurs ne bat pas correctement ? Justifier. Sachant que 1 carreau= 1 seconde.
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Donado
April 2019 | 0 Respostas
Bonjour à tous, Récrivez l'extrait suivant à la première personne en faisant du narrateur un personnage féminin:Il n’avait jamais dit cela à Maou, ni à grand-mère Aurelia, nià personne. Au contraire, il l’avait voulu très fort, ça l’avait brûlé, il nepouvait plus dormir, à Marseille, dans le petit appartement de grand-mèreAurelia. Ça l’avait brûlé et enfiévré, dans le train qui roulait vers Bordeaux.Il ne voulait plus entendre de voix, ni voir de visages. Il fallait fermer sesyeux, boucher ses oreilles, pour que tout soit facile. Il voulait êtrequelqu’un d’autre, quelqu’un de fort, qui ne parle pas, qui ne pleure pas, quin’a pas le cœur qui bat ni le ventre qui fait mal.Si on peut me donner un coup de main ? Svp ! Merci !
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Donado
April 2019 | 0 Respostas
Bonjour à tous, Dans les phrases suivantes donner la valeur des verbes soulignés à l'imparfait:- Et comme elle ne répondait pas, il se glissait hors de la couchette.- Tandis qu'il se déplaçait, il voyait le filament briller à travers chaque fente.- L'air était gris, étouffant et humide.- Les membrures craquaient dans le travail de la houle, qui poussait, retenait, poussait encore.Si quelqu'un pourrait e donner un peu d'aide ? Svp ! Merci !
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Donado
April 2019 | 0 Respostas
Bonjour à tous, voilà moi et le français ça fait 2 alors si quelque un d'entre vous pourriez m'aider ça m'arrangerai bien ! Merci d'avance !Fintan et sa mère Maou viennent de s’embarquer pourl’Afrique. Ils doivent y retrouver le père de Fintan, que le garçon n’a jamaisvu. « Il était une fois, un pays où onarrivait après un long voyage, un pays où on arrivait quand on avait toutoublié, quand on ne savait même plus qui on était… » La voix de grand-mère Aurelia résonnaitencore sur la mer. Dans le creux dur de la couchette, avec la vibration desmachines dans son corps, Fintan écoutait la voix qui parlait toute seule, quicherchait à retenir le fil de l’autre vie. Déjà il avait mal d’oublier.« Je le déteste, je le déteste. Je ne veux pas partir, je ne veux pasaller là-bas. Je le déteste, il n’est pas mon père ! » Les membruresdu bateau craquaient à chaque vague. Fintan essayait d’entendre la respirationtranquille de sa mère. Il chuchotait fort : « Maou !Maou ! » Et comme elle ne répondait pas, il se glissait hors de lacouchette. La cabiné était éclairée par un jour au-dessus de la porte, sixfentes verticales. Il y avait une ampoule électrique juste de l’autre côté,dans le couloir. Tandis qu’il se déplaçait, il voyait le firmament briller àtravers chaque fente. C’était une cabine intérieure, sans hublot, ils n’avaientpas les moyens. L’air était gris, étouffant et humide. Les yeux grand ouverts,Fintan cherchait à voir la silhouette de sa mère, endormie sur l’autrecouchette, emportée, elle aussi, à l’envers sur l’océan en mouvement. Lesmembrures craquaient dans le travail de la houle, qui poussait, retenait,poussait encore. Fintan avait les yeux pleins de larmes,sans trop savoir pourquoi. Il avait mal au centre de son corps, là où lamémoire se défaisait, s’effaçait. « Je ne veux pas aller enAfrique. » Il n’avait jamais dit cela à Maou, ni à grand-mère Aurelia, nià personne. Au contraire, il l’avait voulu très fort, ça l’avait brûlé, il nepouvait plus dormir, à Marseille, dans le petit appartement de grand-mèreAurelia. Ça l’avait brûlé et enfiévré, dans le train qui roulait vers Bordeaux.Il ne voulait plus entendre de voix, ni voir de visages. Il fallait fermer sesyeux, boucher ses oreilles, pour que tout soit facile. Il voulait êtrequelqu’un d’autre, quelqu’un de fort, qui ne parle pas, qui ne pleure pas, quin’a pas le cœur qui bat ni le ventre qui fait mal.Les souvenirs douloureux 4.Relevez trois mots ou expressions appartenant au champ lexical du souvenir. 5.Expliquez l’image : « Déjà, il avait mal d’oublier » (l.6-7). 6.Quel temps trouve-t-onprincipalement dans le début du dernier paragraphe ? Expliquez pourquoi. 7. Quelles sensations physiques éprouveFintan ? Relevez deux expressions pour justifier votre réponse.8.« Ça l’avait brûlé et enfiévré, dans le train qui roulait versBordeaux. » (l. 25-26)Précisezà quelle classe grammaticale appartientça et ce qu’il représente. 9.«Il fallait fermer les yeux,boucher ses oreilles, pour que tout soit facile. » (l.28-29).a.Donnez la nature et la fonction dugroupe de mots soulignés. b. Expliquez le sens de cette phrase. 10.Quels sentiments contradictoiresaniment Fintan dans ce texte ?Développezvotre réponse dans un paragraphe en prenant appui sur le texte.
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Donado
April 2019 | 0 Respostas
Bonjours j'ai un devoir de type brevet à rendre mais je ne comprends pas grand chose alors est ce que quelqu'un peut me donner un peu d'aide svp ! Fintan et sa mère Maou viennent de s’embarquer pourl’Afrique. Ils doivent y retrouver le père de Fintan, que le garçon n’a jamaisvu. « Il était une fois, un pays où onarrivait après un long voyage, un pays où on arrivait quand on avait toutoublié, quand on ne savait même plus qui on était… » La voix de grand-mère Aurelia résonnaitencore sur la mer. Dans le creux dur de la couchette, avec la vibration desmachines dans son corps, Fintan écoutait la voix qui parlait toute seule, quicherchait à retenir le fil de l’autre vie. Déjà il avait mal d’oublier.« Je le déteste, je le déteste. Je ne veux pas partir, je ne veux pasaller là-bas. Je le déteste, il n’est pas mon père ! » Les membruresdu bateau craquaient à chaque vague. Fintan essayait d’entendre la respirationtranquille de sa mère. Il chuchotait fort : « Maou !Maou ! » Et comme elle ne répondait pas, il se glissait hors de lacouchette. La cabiné était éclairée par un jour au-dessus de la porte, sixfentes verticales. Il y avait une ampoule électrique juste de l’autre côté,dans le couloir. Tandis qu’il se déplaçait, il voyait le firmament briller àtravers chaque fente. C’était une cabine intérieure, sans hublot, ils n’avaientpas les moyens. L’air était gris, étouffant et humide. Les yeux grand ouverts,Fintan cherchait à voir la silhouette de sa mère, endormie sur l’autrecouchette, emportée, elle aussi, à l’envers sur l’océan en mouvement. Lesmembrures craquaient dans le travail de la houle, qui poussait, retenait,poussait encore. Fintan avait les yeux pleins de larmes,sans trop savoir pourquoi. Il avait mal au centre de son corps, là où lamémoire se défaisait, s’effaçait. « Je ne veux pas aller enAfrique. » Il n’avait jamais dit cela à Maou, ni à grand-mère Aurelia, nià personne. Au contraire, il l’avait voulu très fort, ça l’avait brûlé, il nepouvait plus dormir, à Marseille, dans le petit appartement de grand-mèreAurelia. Ça l’avait brûlé et enfiévré, dans le train qui roulait vers Bordeaux.Il ne voulait plus entendre de voix, ni voir de visages. Il fallait fermer sesyeux, boucher ses oreilles, pour que tout soit facile. Il voulait êtrequelqu’un d’autre, quelqu’un de fort, qui ne parle pas, qui ne pleure pas, quin’a pas le cœur qui bat ni le ventre qui fait mal.Les souvenirs douloureux 4.Relevez trois mots ou expressions appartenant au champ lexical du souvenir. 5.Expliquez l’image : « Déjà, il avait mal d’oublier » (l.6-7). 6.Quel temps trouve-t-onprincipalement dans le début du dernier paragraphe ? Expliquez pourquoi. 7. Quelles sensations physiques éprouveFintan ? Relevez deux expressions pour justifier votre réponse.8.« Ça l’avait brûlé et enfiévré, dans le train qui roulait versBordeaux. » (l. 25-26)Précisezà quelle classe grammaticale appartientça et ce qu’il représente. 9.«Il fallait fermer les yeux,boucher ses oreilles, pour que tout soit facile. » (l.28-29).a.Donnez la nature et la fonction dugroupe de mots soulignés. b. Expliquez le sens de cette phrase. 10.Quels sentiments contradictoiresaniment Fintan dans ce texte ?Développezvotre réponse dans un paragraphe en prenant appui sur le texte.
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"Je me demandais, bien que ce soit sans importance, quel était le motif de la dispute."1.Indiquer la fonction de la proposition subordonnée introduite par bien que et la classe grammaticale de la subordonnée introduite par quel.
- Bien que : Subordonnée circonstancielle
- Quel : Déterminant interrogatif