Bonjour svp c est noté il y a un poème et svp aidez moi juste a répondre a la première question svp c est a rendre pour demain « La plage de Guarujà*»
Il est quatorze heures nous sommes enfin à quai
J'ai découvert un paquet d'hommes à l'ombre dans l'ombre ramassée d'une grue
Certificats médicaux passeport douane
Je débarque
Je ne suis pas assis dans l'auto qui m'emporte mais dans la chaleur molle épaisse
rembourrée comme une carrosserie
Mes amis qui m'attendent depuis sept heures du matin sur le quai ensoleillé ont
encore tout juste la force de me serrer la main
Toute la ville retentit de jeunes klaxons qui se saluent
De jeunes klaxons qui nous raniment
De jeunes klaxons qui nous donnent faim
De jeunes klaxons qui nous mènent déjeuner sur la plage de Guarujà
Dans un restaurant rempli d'appareils à sous tirs électriques oiseaux mécaniques appareils
automatiques qui vous font les lignes de la main gramophones* qui vous disent la bonne aventure*
et où l'on mange de la bonne vieille cuisine brésilienne savoureuse épicée nègre indienne
« La plage de Guarujà », Feuilles de route, Blaise Cendrars, 1924
Guarujà : ville de l'état de São Paulo au Brésil.
Gramophone : appareil ancien qui permet de jouer un morceau de musique enregistré sur un disque.
Dire la bonne aventure : prédire quelque chose
Questions
1) Dans ce poème, quels sens sont sollicités ? Dans quel but ?
2) Lignes 9 à 12 : Observez comment les expansions du nom sont construites. Que montrent elles de la ville?
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Bonjour pouvez vous m'aidez svp (merci d 'avance) (20 points) Pouvez-vous m'améliorer ma problématique : En quoi la description de la société "utopique " met-elle en évidence à travers les yeux des lecteurs un tableau idéalisé mais aussi satirique ? VOICI LE TEXTE: Vingt belles filles de la garde reçurent Candide et Cacambo à la descente du carrosse, les conduisirent aux bains, les vêtirent de robes d'un tissu de duvet de colibri ; après quoi les grands officiers et les grandes officières de la couronne les menèrent à l'appartement de Sa Majesté, au milieu de deux files chacune de mille musiciens, selon l'usage ordinaire. Quand ils approchèrent de la salle du trône, Cacambo demanda à un grand officier comment il fallait s'y prendre pour saluer Sa Majesté ; si on se jetait à genoux ou ventre à terre ; si on mettait les mains sur la tête ou sur le derrière ; si on léchait la poussière de la salle ; en un mot, quelle était la cérémonie. « L'usage, dit le grand officier, est d'embrasser le roi et de le baiser des deux côtés. » Candide et Cacambo sautèrent au cou de Sa Majesté, qui les reçut avec toute la grâce imaginable et qui les pria poliment à souper. En attendant, on leur fit voir la ville, les édifices publics élevés jusqu'aux nues, les marchés ornés de mille colonnes, les fontaines d'eau pure, les fontaines d'eau rose, celles de liqueurs de canne de sucre, qui coulaient continuellement dans de grandes places, pavées d'une espèce de pierreries qui répandaient une odeur semblable à celle du gérofle et de la cannelle. Candide demanda à voir la cour de justice, le parlement ; on lui dit qu'il n'y en avait point, et qu'on ne plaidait jamais. Il s'informa s'il y avait des prisons, et on lui dit que non. Ce qui le surprit davantage, et qui lui fit le plus de plaisir, ce fut le palais des sciences, dans lequel il vit une galerie de deux mille pas, toute pleine d'instruments de mathématique et de physique
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