Bonjour! SVP je voudrais que vous m'aidiez dans un devoir. Il s'agit de relever le champs lexical et les figures de style de ce poéme:
L'automneSalut ! bois couronnés d'un reste de verdure !
Feuillages jaunissants sur les gazons épars !
Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature
Convient à la douleur et plaît à mes regards !
Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire,
J'aime à revoir encor, pour la dernière fois,
Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois !
Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire,
A ses regards voilés, je trouve plus d'attraits,
C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourire
Des lèvres que la mort va fermer pour jamais !
Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie,
Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui,
Je me retourne encore, et d'un regard d'envie
Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui !
Merci d'avance
L'automneSalut ! bois couronnés d'un reste de verdure !
Feuillages jaunissants sur les gazons épars !
Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature
Convient à la douleur et plaît à mes regards !
Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire,
J'aime à revoir encor, pour la dernière fois,
Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois !
Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire,
A ses regards voilés, je trouve plus d'attraits,
C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourire
Des lèvres que la mort va fermer pour jamais !
Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie,
Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui,
Je me retourne encore, et d'un regard d'envie
Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui !
Merci d'avance
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Champ lexical :- La nature : feuillage ; gazon ; sentier ; soleil ; bois ; automne ; nature ;
- La mort ou la disparition : adieu ; mort ; expire ; épars ; deuil ; reste ; douleur ; pâlissant ; dernier ; jamais ; faible ; fermer ; pleurant ; évanoui
Figures de style :
- La métaphore :
La nature en automne est comparée à l'adieu d'un ami et au dernier sourire des lèvres que la mort va fermer pour jamais.
La nature d'automne fait penser l'auteur à la mort : le deuil de la nature convient à la douleur et plaît à mes regards ou à ses regards voilés, je trouve plus d’attraits
- La personnification :
Personnification des bois qui pourraient être des rois couronnés.
Personnification du sentier solitaire, de la nature en deuil, la nature expire, elle a des regards voilés.
La nature devient la confidente de l'auteur.
- L'antithèse :
La douleur et le plaisir plait (deux sentiments opposés)
Un calice mêlé de nectar et de fiel qu'il videra jusqu'à la vie. Sa vie et présentée comme ce nectar qu'il va boire et qui va le faire mourir
Reste d'espoir avec regrets
La belle et douce nature lui manquerait
- La comparaison :
Le poète se compare à une fleur : elle tombe, je meurs.
Lorsque la fleur meurt elle livre ses parfums au zéphire, et l'auteur livre un son triste et mélodieux qui est le poème