salut, je voudrai bien que vous m'aidiez dans cette exercice. Enfaite il s'agit d'enrichir ce texte par décrire les personnages les événements les lieux.... La veille de notre départ, je revai Léa. Je lui annonçai la nouvelle. Elle me prit par la main et m'emmena à notre coin. Nous nous étendîmes sur l'herbe. Léa se releva, me tendit quelque chose, déposa sur ma joie un baiser et disparut. mercii de vouloir m'aider
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Manonguilty
La veille de notre départ, je rêvai Léa. J'avais peur de sa réaction, et le coeur battant je lui annonçai la nouvelle. Ses yeux s'agrandirent de surprise et je crus qu'elle allait pleurer. Pourtant, elle me prit par la main et m'emmena à notre coin. C'était notre coin à nous, notre paradis, notre univers. Nous étions comme seuls au monde et nous étions heureux. Nous nous étendîmes sur l'herbe. Aucun de nous ne parlait. Même dans le silence nous nous comprenions, nous étions comme connecté. Je fermai les yeux, j'humai son parfum, peut-être pour la dernière fois. Un sanglot commença à poindre au creux de ma poitrine. Mais j'allais être fort, simplement pour qu'elle ait le meilleur souvenir de moi. Quelque minutes plus tard, Léa se releva, me tendit quelque chose, déposa sur ma joue un baiser et disparut. Je voyais sa silhouette élancée courir dans l'herber, s'effaçant peut à peu de mon champ de vision. J'ouvris la paume de ma main, et cette fois mes yeux ne purent contenir le torrent de larmes que j'avais essayé d'occulter toute la journée. Une petite bleue pierre luisaient sous les rayons chauds de cette matinée d'automne. Aussi bleu que le ciel. Aussi bleu que ses yeux.
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Nous nous étendîmes sur l'herbe. Aucun de nous ne parlait. Même dans le silence nous nous comprenions, nous étions comme connecté. Je fermai les yeux, j'humai son parfum, peut-être pour la dernière fois. Un sanglot commença à poindre au creux de ma poitrine. Mais j'allais être fort, simplement pour qu'elle ait le meilleur souvenir de moi. Quelque minutes plus tard, Léa se releva, me tendit quelque chose, déposa sur ma joue un baiser et disparut. Je voyais sa silhouette élancée courir dans l'herber, s'effaçant peut à peu de mon champ de vision. J'ouvris la paume de ma main, et cette fois mes yeux ne purent contenir le torrent de larmes que j'avais essayé d'occulter toute la journée. Une petite bleue pierre luisaient sous les rayons chauds de cette matinée d'automne. Aussi bleu que le ciel. Aussi bleu que ses yeux.
En espérant t'avoir aidé ;)